- Le congédiement des John Tortorella est survenu plus vite que prévu. On s’attendait à ce que GLEN SATHER lui accorde une autre chance parce que la saison qui s’achève a été abrégée par un lock-out et que «Torto» a dû se débrouiller sans une couple de joueurs-clés.
- Sather, qui a bâti la dynastie des Oilers durant les années 1980, a jugé que Tortorella n’était pas capable de soutirer le maximum de ses joueurs, en particulier BRAD RICHARDS, et il a décidé que le moment était venu de «tirer la plogue». Il lui fallait un coupable et il a choisi l’entraîneur. Dans cette histoire, il ne faudrait pas oublier que Sather n’a RIEN GAGNÉ depuis qu’il occupe la chaise de directeur général des Rangers, soit plus ou moins 13 ans. Il a remercié cinq entraîneurs, mais il est aussi coupable que tout ce monde-là.
- Natif de Boston, John Tortorella est l’entraîneur américain le plus titré de la LNH. Il a mené le Lightning de Tampa Bay à la conquête de la coupe Stanley en 2004. Il est très émotif, très exigeant envers ses joueurs et très impoli envers les journalistes.
MARCEL BONIN EN DEUIL DE SA FEMME
- MARCEL BONIN, ancien ailier droit du Canadien, des Red Wings et des As de Québec, est en deuil de son épouse SIMONE. Elle est décédée à l’hôpital de Joliette dans la nuit de mardi à mecredi. Mes plus vives condoléances à Marcel et à toute sa famille.
- BARRY BONDS ne change pas en vieillissant. Il a déclaré cette semaine: «MIGUEL CABRERA est présentement le meilleur frappeur du baseball majeur, mais il est loin d’être aussi bon que moi».
- KENNY PERRY, Fred Funk, David Frost et Brad Faxon sont les premiers gros noms à s’inscrire à L’OMNIUM DE MONTRÉAL. Le tournoi aura lieu du 6 au 8 septembre sur le parcours de la VALLÉE DU RICHELIEU.
- Tout un duel en perspective entre les RED WINGS et les Blackhawks, ce soir, à Chicago. Mon petit doigt me dit que les Blackhawks mériteront le droit d’affronter les KINGS de Los Angeles en finale de conférence.
Le mot d’humour
Sur une affiche, le monsieur avait inscrit: «Ici, c’est moi le patron». Un employé est passé par là et il a ajouté: «Votre femme a téléphoné et elle veut récupérer sa pancarte!»