Une histoire de golf extraordinaire

L’histoire se passe à Rome lorsque les cardinaux informent le pape François d’une proposition de Benjamin Netanyahu, premier ministre d’Israël.

Ce dernier désire organiser un match de golf entre lui et le Saint-Père afin d’améliorer les relations entre les deux hommes et les deux religions. Puisque le pape François n’a jamais touché à un bâton de golf, il demande conseil à ses subalternes qui lui suggèrent de faire appel à Jack Nicklaus, un très bon catholique. On le nommera cardinal honoraire afin de représenter dignement la Vatican sur le parcours de golf.

Benjamin Netanyahu: un golfeur rusé.

Benjamin Netanyahu: un golfeur plutôt rusé.

Très heureux, Nicklaus accepte avec empressement la proposition du Vatican. Quelques jours plus tard, il rentre à Rome pour voir le Saint-Père et lui dire: «J’ai joué du très bon golf durant ma carrière, mais jamais comme je viens de le faire. J’étais sans doute inspiré par le Seigneur. Je frappais la balle à 300 verges, mes coups de fer très précis et mon putter fonctionnait à merveille. Mon jeu était quasiment miraculeux. J’ai cependant une mauvaise nouvelle à vous apprendre».

«De quoi s’agit-il?», demande le Saint-Père.

«Eh bien, j’ai perdu par trois coups contre le Rabbin Tiger Woods!»