Je vous ai déjà raconté que les séries de championnat du baseball majeur avaient le vilain défaut de s’éterniser jusqu’à minuit et même 1h. du matin, mais ça n’empêche pas les mordus (comme moi) de rester collés devant le téléviseur. Comme l’a si bien dit un vieux sage, tu ne peux pas empêcher un coeur d’aimer!
Quoi qu’on en dise, le baseball demeure un merveilleux spectacle, encore plus au temps des feuilles mortes. Avant le premier match de la série Giants-Tigers, j’ai fouillé dans mes souvenirs des «World Series» et j’ai trouvé 30 raisons d’aimer tant ce sport et cette période de l’année:
- Les circuits de Mickey Mantle, de Reggie Jackson et de Big Papi.
- Les balles de feu de Sandy Koufax, de Bob Gibson et de Don Gullett.
- Sparky Anderson et la Big Red Machine (Rose, Morgan, Bench et Perez).
- Tom Seaver, Jerry Koosman et les Miracle Mets.
- Le duo parfait: Brooks et Frank Robinson.
- Les grimaces de Billy Martin, Tommy Lasorda, Earl Weaver et Yogi Berra.
- Les pirouettes d’Ozzie Smith, le magicien au gant doré.
- Les Yankees de la fin des années 1990 avec Joe Torre, Derek Jeter, Bernie Williams, Paul O’Neill et Jim Leyritz.
- Le formidable trio de Greg Maddux, Tom Glavine et John Smoltz.
- Le catch de Willie Mays contre Vic Wertz et celui de Joe Rudi aux dépens de Johnny Bench.
- Les trois victoires de Lew Burdette en 1957, puis celles de Bob Gibson et de Mickey Lolich (1967-68).
- Le spectacle éblouissant offert par Roberto Clemente en 1971.
- Dick Williams et sa bande de moustachus: Catfish, Blue Moon, Rollie, Vida Blue, Campaneris, Bando, Reggie et compagnie.
- Tug McGraw et son slogan «You gotta believe».
- Les bijoux royaux de George Brett et de Bret Saberhagen.
- Les prouesses de Paul Blair et de Cesar Geronimo au champ centre.
- La captivante série de 1975 avec Luis Tiant, Bill Lee, Bernie Carbo, Joe Morgan, Dwight Evans, Fred Lynn et j’en passe.
- Don Larsen qui saute dans les bras de Yogi après sa partie parfaite.
- Willie Stargell et la famille des Pirates (1979).
- Les coups de canon de Barry Bonds dans une cause perdante (2002).
- Bob Turley, Moose Skowron, Tony Kubek, Joe Pepitone, Gil McDougald et Elston Howard.
- La balle glissante (et quasiment intouchable) de Mariano Rivera.
- Capitaine Crochet (Sparky Anderson).
- Les coups de théâtre de Bill Mazeroski, Carlton Fisk, Kirk Gibson et Joe Carter.
- Le balayage des Dodgers contre les Yankees en 1963 et leur cuisante défaite contre Baltimore trois ans plus tard.
- Le Yankee Stadium, Fenway Park, Busch Stadium et Chavez Ravine.
- Le duo Curt Schilling-Randy Johnson chez les DiamondBacks.
- Les balles tombantes d’Andy Pettite.
- Les légendes de Babe Ruth, Joe DiMaggio, Stan Musial, Joe Medwick, Lou Boudreau et Dizzie Dean.
- Le catch de Bobby Richardson aux dépens de Willie McCovey et le jeu-clé de Roger Maris au champ droit.
P.S. Vous en avez d’autres? Faites-moi signe.