Le chroniqueur sportif Albert Ladouceur, de Québec, a reçu des centaines de témoignages de sympathie depuis que le médecin lui a annoncé qu’il souffrait d’un cancer virulent.
Mario Leclerc, Bertrand Raymond, Alain Crête et Charles Perreault lui ont rendu visite afin de le réconforter. Jacques Demers a eu une couple de conversations avec lui. Tout le monde tente de l’encourager de son mieux, mais ce n’est pas une situation facile à vivre.
«Mon moral n’est pas mauvais, m’a-t-il confié lorsque je l’ai joint à l’hôpital samedi matin. Je suis fataliste de nature. Je suis atteint d’un cancer féroce qui ne se guérit pas. Je m’accroche de mon mieux avec le soutien de ma belle Céline. Mon premier objectif, c’est de terminer l’année 2013».
Je connais Albert Ladouceur depuis plus de 35 ans. Lorsque j’ai refusé de déménager à Québec pour couvrir les Nordiques à la fin des années 1970, c’est lui qui a été embauché par Claude Bédard pour faire équipe avec le regretté Claude Cadorette. Albert a ensuite connu une très belle carrière dans la Vieille capitale. Je ne lui connais que des amis dans le monde du sport.
Comme tous les autres, je suis incrédule et impuissant. Tout ce que je peux faire, c’est prier pour lui. Lâche pas, Albert.
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