• Ajoutez le nom de JOCELYNE BOURASSA à la liste des fans d’EUGÉNIE BOUCHARD. «Elle sera portée par la foule lors du prochain tournoi de la coupe Rogers, comme je l’ai été en 1973 (au tournoi La Canadienne). Je lui souhaite tout le succès possible», de dire Jojo.
• Rio, Rio! Ce que les BRÉSILIENS doivent être malheureux suite à la déconfiture de leur équipe contre l’Allemagne. À moindre échelle, c’est comme si le CANADIEN se faisait planter par les Buins dans un septième match au Centre Bell.
  

  Le champion olympique était parmi les invité au tournoi annuel du Parc du Domaine Vert. Il est maintenant gérant de l’aréna de Rosemère.

• UN BEL APRÈS-MIDI À MIRABEL: Même si je suis arrivé à la dernière seconde à cause du trafic, j’ai passé un très bel après-midi au club QUATRE DOMAINES de Mirabel dans le cadre du 25e tournoi du PARC DU DOMAINE VERT. Mes compagnons de jeu étaient BEN LEDUC, ancien mentor de Raymond Bourque, ALAIN ROY, ex-directeur des loisirs à Rosemère, et YVAN VANIER. La fête était organisée par JEAN DAVID et NANCY GADOURY, de concert avec SERGE DION et de nombreux bénévoles. Parmi les invités, il y avait GAÉTAN BOUCHER, notre plus grand olympien, et DANY DUBÉ, analyste des matchs du Canadien à 98,5 FM. Tous les échos dans une prochaine chronique.
• À la fin de la soirée, on a souligné les 25 ans de dévouement de JEAN DAVID en lui présentant un chandail des Bruins autographié par RAYMOND BOURQUE. L’ancien gérant du club de balle Central Bar-B.Q. était très ému.
• DAVE LÉVESQUE déborde d’optimisme concernant sa participation à l’Omnium canadien au club ROYAL MONTRÉAL, mais il ne devrait pas se mettre la barre trop haute. Son premier objectif devrait être d’éviter la coupure.
• BOBBY HULL A TOUT CHANGÉ: L’autre jour, je suis tombé par accident sur un documentaire au sujet de BOBBY HULL à ESPN Classic. L’ancien joueur étoile des Blackhawks n’a pas encore digéré la défaite de son équipe contre le CANADIEN en 1971. Les plus âgés se souviendront que les Hawks ont perdu le septième match devant leurs partisans après avoir pris une avance de 2-0. Hull a failli procurer une avance de trois buts à son équipe, mais son boulet de canon a touché la barre horizontale. JACQUES LEMAIRE a ensuite réduit la marge, puis HENRI RICHARD a marqué le but égalisateur et celui de la victoire. Il s’agissait de la dernière conquête de la coupe Stanley pour JEAN BÉLIVEAU et JOHN FERGUSON.
  

  Bobby Hull: son passage aux Jets de Winnipeg a bouleversé l’échelle des salaires dans le hockey professionnel.

• Un an plus tard, BOBBY HULL a quitté Chicago à regret parce que le propriétaire BILL WIRTZ refusait de le payer à sa juste valeur. Il a fait le saut dans l’Association mondiale avec les JETS DE WINNIPEG. Comment pouvait-il refuser un contrat garanti d’un million de dollars? C’était une fortune à l’époque. En signant avec les Jets, Hull a donné de la crédibilité à la nouvelle ligue et fait bondir les salaires des autres joueurs. «Lorsque Bobby a signé son fabuleux contrat, j’ai doublé mon salaire», rappelle son ancien coéquipier STAN MIKITA.
• À Winnipeg, le GOLDEN JET a formé un trio du tonnerre avec les jeunes Suédois ULF NILSSON et ANDERS HEDBERG. Il a aussi dépassé le cap des 1000 buts dans le hockey professionnel. Il en avait marqué 610 à Chicago. Renié par la LNH lors de la Série du siècle, il a pu se reprendre en participant à la conquête de la COUPE CANADA en 1976. Dans la Ville des vents, ses exploits ne seront jamais oubliés.
• FÉLIX CÔTÉ-BOUVETTE a fêté ses 21 ans en gagnant la cinquième épreuve des Mardis cyclistes.
• JOCELYN SMITH (pas de «e»), plusieurs fois championne du club Milby, gagne sa vie dans le monde de l’informatique.
• YVON GOUDREAU, aussi de Milby, ira fêter ses 60 ans sur le parcours bleu du club DORAL. Il fera le voyage avec son bon ami GUY FAUCHER.

Le mot d’humour

La diseuse de bonne aventure: «Ce n’est pas facile à dire, madame, mais vous deviendrez veuve durant la prochaine année. Votre mari subira une mort cruelle et violente».

La cliente se met à trembler, prend de grandes respirations et demande à la vieille dame: «Est-ce que je serai acquittée?»