C’est Bob McKenzie, un journaliste de Toronto, qui a réalisé la meilleure entrevue avec Marc Bergevin depuis le début du camp d’entraînement.
Voici en gros ce que le patron du CH avait à raconter sur les ondes de TSN:
- CAREY PRICE est l’épine dorsale de notre équipe. Nous misons énormément sur lui pour la prochaine saison.
- PETER BUDAJ a fait ses preuves comme réserviste et il faut en tenir compte, mais il n’est pas impossible que nous commencions la saison avec trois gardiens de but.
- Nous avons sacrifié JOSH GORGES et BRIAN GIONTA parce que nous croyons que le moment était venu de modifier le leadership et d’accorder plus de responsabilité à nos jeunes joueurs. Il n’est pas nécessaire d’avoir un «C» sur son chandail pour être un leader.
- Mon plan consiste à bâtir l’équipe à partir de nos CHOIX DE REPÊCHAGE. Je veux du «long terme».
- Pendant le camp, nous allons voir comment ALEX GALCHENYUK peut se défendre à la position de centre. Tu n’as jamais trop de bons joueurs à cette position.
- Notre but initial est de FAIRE LES SÉRIES dans une ligue très compétitive. Des équipes comme Washington, Tampa et Toronto seront meilleures que l’an passé.
- À la LIGNE BLEUE, c’est d’abord une question d’équilibre. Il faut réunir des joueurs capables d’exceller dans différents rôles.
- Il y a eu beaucoup de respect des deux côtés durant la séance d’arbitrage avec P.K. SUBBAN et son agent (Don Meehan). Je pense que P.K. a beaucoup mûri depuis que je dirige cette équipe. La pression ne lui fait pas peur, au contraire. Je sais ce qu’il peut faire pour le Canadien de Montréal.
- J’aime qu’on me fasse des SURPRISES. Tant mieux si certains joueurs nous forcent la main.
- Je souhaite que P.A. PARENTEAU fasse partie de nos six premiers attaquants. Une chose est certaine: il voulait jouer à Montréal.
- Nous avons surpris beaucoup de monde durant les dernières séries de championnat, mais c’est un NOUVEAU DÉPART. Tous les clubs partent sur le même pied. Nous aurons du succès si nous restons en SANTÉ.
- Le VESTIAIRE a longtemps été mon domicile. Maintenant, je suis un invité. Comme patron, je dois garder une certaine distance, mais je suis derrière mes joueurs à 100%.