- STEVE CARLTON, ex-lanceur étoile des Phillies, 68 ans.
- MYRIAM BÉDARD, championne olympique en biathlon, 43 ans.
- STEVE GARVEY, ancien joueur de premier but des Dodgers, 64 ans.
- ANNIE PELLETIER, de la Fondation de l’athlète d’excellence du Québec, 39 ans.
- JAN STEPHENSON, ex-vedette de la LPGA, 61 ans.
- GARY CONNELLY, ex-défenseur du Canadien Junior, 62 ans.
- MICHEL CORMIER, ancien joueur des Roadrunners de Phoenix et ex-directeur général du club Du Moulin à Trois-Rivières, 67 ans.
- GILLES CARTIER, gagnant de la coupe Allan avec les Castors de Sherbrooke, 69 ans.
- IAN TURNBULL, ex-défenseur des Maple Leafs, 59 ans.
- GABRIEL GRÉGOIRE, ancien joueur des Alouettes, 59 ans.
- RON GRESCHNER, ex-défenseur des Rangers, 58 ans.
- KIRK MALTBY, ancien joueur des Red Wings, 40 ans.
- CAROLINE OLIVIER, championne de ski acrobatique, 41 ans.
- YVON MONTPETIT, retraité de la Brasserie Molson, 57 ans.
- STEFAN PERSSON, ex-défenseur des Islanders, 58 ans.
- RAY GUY ancien joueur des Raiders d’Oaklans, 63 ans.
- PIERRE THIBAULT, ex-hockeyeur de Sorel, 69 ans.
- RON ESTAY, ancien joueur des Eskimos, 64 ans.
- DAVE KING, ex-entraîneur de l’équipe olympique du Canada et ex-employé du Canadien, 65 ans.
- NORMAND GRATTON, ancien joueur du Canadien Junior, 62 ans.
- LONNIE SMITH, ex-voltigeur des Braves, 57 ans.
- ROGER CÔTÉ, ancien joueur des Indians de Springfield, 73 ans.
- JOANNE LAPOINTE, de Gatineau.
- LUCIEN BOUCHARD, ancien premier ministre du Québec, 74 ans.
- PAUL FENTON, ancien joueur de la LHN, 53 ans.
- LESTER HAYES, ancien des Raiders d’Oakland, 57 ans.
Archives annuelles : 2012
Avis aux survivants
La majorité des gens ont plus peur de la fin du mois que de la fin du monde. C’est mon cas.
Toujours est-il que la fin du monde, tant annoncée pour le 21 décembre, n’est pas venue. Pas plus qu’en l’an 2000 où le ciel devait nous tomber sur la tête. Décidément, il y a des petits rigolos qui en arrachent avec leurs prédictions. Ramenez-nous Nostradamus, ça presse!
Cela dit, n’allez surtout pas croire que vous allez vous en sortir aussi facilement. Puisque vous êtes toujours de ce monde, vous devrez accepter vos conditions de vie actuelles. C’est ainsi que:
- Vous aurez encore des taxes à payer et une hypothèque à effacer… sans compter les maudites cartes de crédit.
- Vous devrez vous serrer la ceinture en janvier, février et mars pour payer vos cadeaux de Noël.
- Vous devrez continuer d’écouter les balivernes de Gary Bettman et de Donald Fehr durant encore quelques semaines.
- Vous devrez vivre avec les commentaires de Claude Poirier, Ron Fournier, Michel Villeneuve, Dave Morissette, Jean Lapierre et Réjean Tremblay!
- Vous aurez encore le plaisir de circuler dans les rues trouées et embouteillées de Montréal et des environs.
- Vous devrez retourner au Centre Bell et payer le gros prix pour applaudir une équipe en reconstruction.
- Le printemps revenu, vous recommencerez à blasphémer en multipliant les bogeys et les double-bogeys.
- Vous devrez pelleter de la neige à en avoir mal partout.
- Vous aurez le privilège de vivre dans «le plus meilleur pays» avec ses deux solitudes.
- Vous devrez «pitonner» sans arrêt pour éviter les trop nombreuses pauses publicitaires.
Plusieurs autres choses encore que nous passerons sous silence. Franchement, vous seriez aussi bien morts!
Palmer, Nicklaus, Player et Trevino se racontent
Arnold Palmer, Jack Nickalus, Gary Player et Lee Trevino, quatre des plus grands noms de l’histoire du golf, étaient les invités de Rich Lerner à Golf Channel, cette semaine.
Comme prévu, Trevino a été le plus volubile, mais ils avaient tous des choses intéressantes à raconter.
Quand on leur a demandé quel était le tournoi majeur le plus difficile à gagner, les réponses ont différé. Selon Player, c’est l’Open de Grande-Bretagne à cause de la météo capricieuse, peu importe l’endroit où le tournoi est présenté. Palmer croit que le Masters est le plus dur à gagner à cause de la précision exigée sur chaque coup. Nicklaus et Trevino choisissent plutôt l’Omnium des Etats-Unis. «À cause de l’herbe longue et de la difficulté du parcours», précise le Golden Bear.
À noter que Nicklaus (18), Player (9), Palmer (7) et Trevino (6) totalisent pas moins de 40 victoires dans les tournois majeurs.
Voici les autres commentaires de nos quatre valeureux champions:
JACK NICKLAUS: «Mon plus bel accomplissement dans la vie, ce sont mes cinq enfants et mes 22 petits-enfants. Le golf est un jeu. La famille, à mes yeux, est ce qu’il y a de plus valorisant».
ARNOLD PALMER: «Mon père a été mon seul professeur. Il m’a tout enseigné. Il me disait: «Si tu ne réussis pas, tu pourras toujours revenir à la maison (Latrobe) et conduire le tracteur pour couper le gazon. Ce dont je suis le plus fier, c’est d’avoir gagné sous les yeux de mon père. Je conserve aussi un précieux souvenir de ma première victoire à Augusta en 1958».
GARY PLAYER: «Je n’ai jamais joué dans les rangs amateurs. Selon moi, l’élan importe peu. Ce qui compte, c’est le putting. Nous en sommes la preuve vivante. Nous avions des styles et des personnalités différentes, mais le même objectif. Je m’entraîne à tous les jours depuis 62 ans. C’est une promesse que j’avais faite à mon frère qui partait pour la guerre. J’y ai pris goût et je n’ai jamais abandonné».
LEE TREVINO: «Jack est celui qui m’a prodigué le plus de conseils à mes débuts dans le grand circuit. Ma plus belle victoire, je l’ai remportée à l’Open des Etats-Unis de 1968 à Rochester. C’était mon premier titre majeur et il a véritablement lancé ma carrière. Après une ronde, il m’arrivait souvent de courir trois milles et Gary était souvent à mes côtés».
Palmer, Nicklaus et Trevino ont voyagé dans une roulotte et couché dans des petits motels à 25 piastres au début de leur carrière. Ils ont dû bucher pour réussir. Quant à Player, il s’est tapé d’interminables voyages entre Johannesbourg et tous les coins de la planète pour gagner sa croûte.
Le mot de la fin appartient à Nicklaus: «Nous étions tous de fiers compétiteurs désireux de l’emporter, mais nous étions aussi des amis et nous le sommes encore aujourd’hui».
Le respect et l’amitié, ça bat tous les trophées.
Les anniversaires du vendredi 21 décembre
En passant
- CHRIS EVERT, ex-grande rivale de Martina Navratilova, 58 ans.
- JIM POPP, directeur général des Alouettes, 48 ans.
- JOAQUIN ANDUJAR, ex-lanceur étoile des Cards de Saint-Louis, 60 ans.
- DAVE KINGMAN, ex-puissant frappeur des Giants et des Mets, 64 ans.
- JOEY KOCUR, ancien joueur des Red Wings, 48 ans.
- FRÉDÉRIC BLACKBURN, ex-champion de patinage de vitesse sur courte piste, 41 ans.
- MARIE-CLAUDE SAVARD, animatrice, 41 ans.
- PETER MARSH, ancien joueur des Castors de Sherbrooke, 56 ans.
- GUY ROUSSEAU, ancien joueur du Tricolore, 78 ans.
- KARRIE WEBB, golfeuse de la LPGA, 38 ans.
- ROGER PLANTE, grand sportif de Sorel, 76 ans.
- RONALD BÉLISLE, le Dustin Johnson de la Brasserie Molson, 52 ans.
- TOM HENKE, ex-releveur des Blue Jays, 55 ans.
- STEVE MONTADOR, défenseur des Blackhawks, 33 ans.
- JANE FONDA, actrice américaine, 75 ans.
- PHILIP HUMBER, lanceur des White Sox, 30 ans.
- FERNAND MAGNAN, homme d’affaires de Magog, 72 ans.
- GARNEY HENLEY, quatre fois vainqueur de la coupe Grey avec les Tiger-Cats, 77 ans.
- ROGER McDOWELL, ex-lanceur des Mets, 52 ans.
- ROC LAFORTUNE, comédien et excellent golfeur, 56 ans.
- ANDRÉANNE BELLIVEAU, de Laval, 23 ans.
- YVES L’ÉCUYER, hockeyeur de Pointe-Calumet, 48 ans.
- SYLVAIN BIBEAU, ancien arbitre de la LHJMQ, 50 ans.
- ED EUSTACHE, professeur de ski et de golf des Laurentides, 79 ans.
- GINETTE SAINT-LOUIS, de Trois-Rivières.
- STEVE BOUCHER, un as de la balle molle, 50 ans.
- KOSTEK PAWLIKANIEC, sportif de la Rive-Sud.
- LUCIEN DESNOYERS, du quartier Rosemont, 90 ans.