- DAVE ANDREYCHUK, ex-capitaine du Lightning, 53 ans.
- VALÉRIE TANGUAY, golfeuse en Oklahoma, 21 ans.
- WARREN CROMARTIE, ex-voltigeur des Expos, 63 ans.
- WALT TKACZUK, ancien des Rangers, 69 ans.
- PIERRE BERTRAND, gérant de l’aréna Joé Juneau à Pont-Rouge.
- JONATHAN MALO, des Capitales de Québec, 33 ans.
- JOHN TUCKER, ancien des Sabres, 52 ans.
- ROD DEER, ancien des Tigers, 56 ans.
- MARTIN FERLAND, de Buenos Aires, 45 ans.
- JERRY LEE LEWIS, chanteur et musicien, 81 ans.
- SEBASTIEN COE, athlétisme, 60 ans.
- KERMIT ZARLEY, golfeur de Seattle, 75 ans.
- RICHARD LAFLEUR, de Gatineau.
- KEN MACHA, ancien des Expos, 66 ans.
- MARIO THYER, des JSH, 50 ans.
- CAROLE CASTONGUAY, de Repentigny.
- ANDRÉ GIRARD, de Saint-Bruno, 75 ans.
- ANDRÉ LAROSE, de Cowansville, 63 ans.
- YVES BIENVENU, de Montréal.
- CRAIG LEFFERTS, ex-lanceur des Padres, 59 ans.
- FRANÇOIS CAYOUETTE, des JSH.
Archives annuelles : 2016
Dave Keon honoré ce soir au Mirage
L’ancien joueur étoile fait son entrée au Panthéon des sports du Québec
Mercredi soir, si Dieu le veut, je serai à la table de Dave Keon pour assister à son intronisation au Panthéon des sports du Québec.
S’il y a un athlète qui mérite un tel honneur, c’est bien l’ancien joueur étoile des Maple Leafs. Oublions les statistiques. Elles ne disent pas tout. Keon n’était pas un marqueur de 40 ou 50 buts, mais il était un joueur complet capable d’aider son équipe dans les deux sens de la patinoire. Comme Jacques Lemaire ou Bryan Trottier. Il était un «gamer» et un gagnant.
Il y a environ deux mois, j’ai croisé Frank Mahovlich au tournoi de golf des Anciens Canadiens à Grand-Mère et il m’a dit ce qui suit: «Si nous avons gagné quatre coupes Stanley durant les années 1960, c’est un peu beaucoup grâce à Dave (Keon). En plus de posséder un coup de patin à faire rêver, il pouvait se distinguer de plusieurs façons et il était un gars d’équipe. Ce n’est pas un hasard si on l’opposait toujours aux meilleurs joueurs de centre des autres équipes (Béliveau, Mikita, Ullman, Delvecchio, Henri Richard et cie)».
Gagnant du trophée Conn Smythe en 1967, Keon a grandi près de la mine Noranda et il a fait ses classes avec le St.Michael’s de Toronto avant de mériter un poste dans l’équipe de Punch Imlach. Il n’était pas gros, mais il avait du talent et du coeur au ventre. Durant les années 1960, vous pouviez détester les Maple Leafs, mais pas Dave Keon. Il aurait dû terminer sa carrière à Toronto, mais un certain Harold Ballard en a décidé autrement. Et ça, c’est une autre histoire.
Les autres intronisés, cuvée 2016, sont Jacques Demers, Kim Saint-Pierre, Jean-Philippe Darche, Émilie Heymans, André Beaudoin et l’homme d’affaires Maurice Tanguay, de Québec.
Jacques Demers, qui se remet d’un AVC grave, ne sera pas en mesure de s’adresser aux convives. C’est son frère Michel qui le fera à sa place. Je vous en parle dans une prochaine chronique.
MONSIEUR PALMER DISAIT:
- «Le golf est un jeu de pouces. Et les six pouces les plus importants se situent entre tes deux oreilles».
- «Jack était plus intello que moi. Je jouais plus avec mon coeur. L’intelligence contre l’instinct. Jack vs Arnie».
- «La route du succès est toujours en construction».
- «Ce que les gens peuvent trouver dans la poésie, je le trouve dans la trajectoire d’un bon coup de départ».
- «Le matin, je me lève, je fais mes exercices et je bois un grand verre d’eau, comme le faisait ma grand-mère. Ça nettoie la tuyauterie».
- «Je préfère parler de l’avenir que du passé. Ça donne quoi, parler du passé?»
- «À quoi bon signer un autographe si la personne n’est pas capable de lire ton nom?»
- «J’ai toujours cru en mes chances de victoire. Je n’ai jamais abandonné, peu importe les circonstances».
- «Avec le temps, j’ai appris qu’une balle frappée à l’eau ne flotte jamais».
- «Le succès au golf dépend moins de la force physique que de la force mentale et de la force de caractère».
- «Le golf est un jeu qui paraît simple et qui est très compliqué».
- «On me demande souvent ce qui m’a stimulé durant ma carrière. Ce sont les spectateurs».
- «Respecter les lois, défier ses démons, vaincre les embûches et apprécier une marche à la campagne. Faire tout ça en même temps, c’est ça être en vie».
- «Le putting est à la fois fascinant et frustrant. C’est quasiment incompréhensible».
- «Au collège, j’ai songé à devenir avocat, mais je n’étais pas assez intelligent pour ça. Je détestais rester à l’intérieur de la maison et j’étais trop bon gars pour exercer une telle profession».
- «J’ai un bon truc pour améliorer ton pointage de cinq coups. Ça s’appelle une gomme à effacer!»
En bref
- À ma courte honte, j’ai raté le premier match de la finale Canada-Europe. Si j’ai bien compris, le trio de Sidney Crosby a fait la différence dans un match disputé sans aucune intensité et Carey Price a repoussé 32 des 33 rondelles dirigées vers lui. Ce tournoi est loin de m’exciter le poil des jambes. 15 de suite pour le Canada dans les compétitions internationales.
- Les Yankees ont battu les Red Sox 6-4, mettant fin à leur série de 11 victoires. Gary Sanchez, Didi Gregorius et Tyler Austin ont cogné la longue balle contre David Price.
- Josh Donaldson (37e circuit) et Aaron Sanchez (10 K) ont mené les Blue Jays à un gain de 5-1 sur les Orioles.
- Les Tigers ont blanchi les Indians 12-0. Justin Verlander a réussi 12 retraits au bâton pendant que Miguel Cabrera (35e) et Justin Upton (29e) sonnaient la charge avec des circuits de trois points.
- Encore dans la course aux séries, les Giants ont écrasé les Rockies 12-3. Matt Moore a réussi 11 «strikeouts» pour récolter la victoire. Hunter Pence, Buster Posey et Brandon Crawford ont été les meilleurs au bâton.
- Les Cards ont cogné cinq circuits pour battre les Reds 12-5. Aledmys Diaz a réussi un grand chelem.
- Les Mets ont gagné 12-1 à Miami. 14e victoire du grand Noah Synergaard avec l’aide de Yoenis Cespedes, Jay Bruce et Curtis Granderson.
- Washington a battu les D’Backs 4-2. Max Scherzer a brillé au monticule pour remporter sa 19e victoire et Anthony Rendon a produit trois points.
- Les Pirates de Saint-Jean ont repris les devants en finale de la LBMQ en battant Thetford-Mines 9-2. Kevin Tremblay a été la grande étoile du match avec un grand chelem, deux doubles et 7 points produits. François Lafrenière a été le lanceur gagnant. Le quatrième match sera présenté à Thetford jeudi soir.
- Au club Venise: L’ancien policier Alain Guay sera le prochain président du club de golf Venise. On en a fait l’annonce durant le tournoi de fermeture… L’ancien maire Jean Perrault était de la fête avec son vieux copain Bob Dandurand… Trop généreux,
Yves Robillard a perdu son pari contre Pierre Saint-Jacques, Alain Guay et Jocelyn Vachon… La section féminine était représentée par Léa Gagnon, Chantal Gilbert, Odette Belle-Isle, Maryse Thiffault, Denise Donahue, Irène Brouillard, Nicole Gagnon, Carole Richard, Linda Turgeon, Mariette Gauthier et Carmen Lachance… Pierre Tremblay, ex-représentant Molson, était fier de me présenter sa belle Isabelle… Il y avait aussi Guy Alarie, président sortant, Michel Le Prohon, Daniel Huppé, Russ Parsons, Claude Gérin, Gilles Pellerin, le notaire Gagnon, Gilles Normand, Gilles Lachance, Paul et Mario Brouillard, Alex et Bruno Lévesque.
- Régent Lacoursière a écrit son autobiographie avec l’aide de son épouse Mary et de l’excommentateur sportif Roland Mailhot. Ne reste plus qu’à trouver un éditeur.
- L’architecte de golf Neil Haworth peut se vanter d’avoir regardé la première partie du Super Bowl en compagnie d’Arnold Palmer à Hawaii. C’était en 1990.
- Si Rory McIlroy avait le putting de Tiger Woods, il serait intouchable.
- L’homme d’affaires Gilles Bélanger peut-il relancer la Traversée internationale du lac Memphrémagog avec la bénédiction des anciens dirigeants.
- Une coalition a été formée pour assurer la pérennité de la presse d’information. Cela implique 146 journaux. J’espère que ça va marcher.
- Après avoir rénové le Café Alice à Victoriaville, l’homme d’affaires Guy Aubert est en train de faire la même chose avec l’hôtel Grand Union. Voilà qui est excellent pour le centre-ville de Victo.
- Le premier débat Trump-Clinton a été vu par 84 millions de téléspectateurs. C’est du monde!
Le mot d’humour
C’est quoi l’obsession de savoir s’il y a des gens intelligents sur les autres planètes alors que nous n’arrivons pas à en trouver ici?
Les anniversaires du 28 septembre
En passant
- GRANT FUHR, ex-gardien des Oilers, 54 ans.
- SE RI PAK, ex-championne de la LPGA, 39 ans.
- BRIGITTE BARDOT, ex-actrice française, 82 ans.
- SANDRA SASSINE, championne d’escrime, 37 ans.
- MARIELLE GOÏTSCHEL, ski alpin, 71 ans.
- GHYSLAIN ARSENAULT, joyeux pistolet du Village olympique, 81 ans.
- BRUCE CRAMPTON, as golfeur australien, 81 ans.
- STEVE KASPER, ancien des Bruins, 55 ans.
- RYAN ZIMMERMAN, des Nationals de Washington, 32 ans.
- TODD WORRELL, ex-lanceur des Dodgers, 57 ans.
- NOÉMI LEBEL, jolie blonde de Gatineau, 25 ans.
- BRIAN RAFALSKI, ex-défenseur des Devils et des Red Wings, 43 ans.
- DON EDWARDS, ex-gardien des Sabres, 61 ans.
- MARCO ANGRIGNON, as golfeur de Valleyfield.
- GHYSLAIN ARSENAULT Jr., président de Truck & Roll, 55 ans.
- GARY DAIGNEAULT, de Saint-Hyacinthe, 59 ans.
- BERNARD PELLETIER, de Gatineau.
- CHARLIE KERFELD, ex-lanceur des Astros, 53 ans.
- STÉPHANE DION, ministre dans le cabinet Trudeau, 61 ans.
- DUSTIN PENNER, ancien des Kings et des Oilers, 34 ans.
- DENIS FORTIER, golfeur de Princeville, 58 ans.
- ÉRIC LAPOINTE, rocker, 47 ans.
- JEAN-CLAUDE CAMPEAU, de Valleyfield, 57 ans.
- DANIEL CHAMPAGNE, de Vaudreuil, 55 ans.
- LAURIE RINKER, ex-golfeuse de la LPGA, 54 ans.
- GRANT JACKSON, ex-lanceur des Phillies, 74 ans.
- DENIS VOYER, de Richelieu-Yamaska.
- JOHANNE BARRIÈRE, de Sherbrooke.
- CLAUDE LALONDE, de Saint-Sauveur, quatre fois 20 ans.
- DONALD DUPONT, trot et amble, 65 ans.
- SYLVIE TREMBLAY, de Montréal, 53 ans.
- WILLIE JARJOUR, du Journal de Montréal.
Des fleurs pour le roi
Ce matin, voici quelques-uns des commentaires recueillis suite à la mort d’Arnold Palmer:
Tiger Woods: «Arnold a été tellement important pour le golf et pour moi personnellement. Je savais que je pouvais l’appeler en tout temps pour obtenir son avis. J’avais toujours hâte d’aller le voir à Bay Hill ou à Augusta. Ce fut un honneur et un privilège de le connaître. Je lui dis merci pour son amitié. Sans lui, le golf ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. On n’oubliera jamais son flair, son enthousiasme et sa manière de jouer».
Gary Player: «Arnold a marqué la vie de tellement de gens et c’est lui qui a rendu le golf si populaire. Pour moi, il a été un ami pendant plus de 60 ans. Nous avons eu nos accrochage, mais notre amitié n’a jamais été remise en question. Il me manquera beaucoup. Il pouvait être exigeant, mais il avait tellement de charisme, de charme et de patience. Je lève mon verre à sa mémoire en espérant le revoir un jour sur un autre parcours».
Lee Trevino: «Il ne disparaîtra jamais de nos esprits. Nous fermerons les yeux et nous reverrons son élan charismatique. Arnie traitait tout le monde de la même manière, du plus petit au plus grand. Il était l’idole de tous. Il était en quelque sorte notre Mère Teresa. Qui n’aimait pas Arnold Palmer?»
Phil Mickelson: «Il a été un modèle sur le parcours comme à l’extérieur du parcours. J’ai joué ma toute première ronde à Augusta en sa compagnie. J’ai vu tout de suite comment il se comportait avec les gens et avec les journalistes. Il a fait de moi un meilleur joueur et une meilleure personne».
Greg Norman: «Il a changé le visage du golf par son charisme et sa personnalité. Chaque joueur a une dette envers lui. Il avait le don de nous ouvrir les yeux sur la beauté du golf. Il a joué avec les présidents, les célébrités et les chefs d’entreprise. C’est lui qui a commercialisé le golf».
John Daly: «La légende de toutes les légendes».
David Duval: «Je remercie le ciel de l’avoir connu».
Rickie Fowler: «Les légendes ne meurent jamais. Je n’oublierai jamais son accolade à Augusta et le temps passé avec lui à Bay Hill».
(Sources: Golf Channel)
LASORDA DEVANT SCULLY
Durant les derniers jours, on a lancé aussi des bouquets de fleurs bien mérités à l’inimitable Vin Scully pour ses 67 années au micro des Dodgers, mais saviez-vous qu’il y a un homme qui fait partie de l’organisation depuis plus longtemps que lui?
En effet, Tom Lasorda, ex-lanceur étoile des Royaux de Montréal et ancien gérant des Dodgers, en est à sa 68e année dans une des plus grandes familles du baseball et il répète encore à qui veut l’entendre qu’il a du sang bleu dans les veines.
Lasorda, qui vient de fêter ses 89 ans, a souvent été accusé de «beurrer plus épais» que le client en demande, mais personne ne peut nier son allégeance aux Dodgers. On en a eu la plus belle preuve en 1976 lorsque John McHale lui a offert un contrat de trois ans pour succéder à Gene Mauch comme gérant des Expos. Lasorda avait le goût de revenir à Montréal, mais il a changé d’idée quand Walter O’Malley lui a proposé de succéder au légendaire Walter Alston. C’est une décision qu’il n’a jamais eu à regretter.
Partisan du CH
Lasorda a remporté plus de victoires (98) que tout autre lanceur de l’histoire des Royaux. Il n’était pas gros, mais il avait du coeur au ventre. Malheureusement pour lui, il n’avait pas assez de talent pour faire sa marque dans les grandes ligues. Il a lancé quelques parties à Brooklyn et à Kansas City, mais n’a remporté aucune victoire. Comme tant d’autres, il était une star dans le AAA et un «nobody» dans les majeures.
Originaire de la Pennsylvanie, Lasorda n’a jamais oublié ses années à Montréal. Au petit stade de la rue de Lorimier, il s’est lié d’amitié avec plusieurs joueurs des Glorieux, dont Maurice Richard, Butch Bouchard, Jean Béliveau, Bernard Geoffrion, Jacques Plante et Doug Harvey. Il s’est rendu souvent au Forum pour les voir jouer et il se souvient de l’émeute de 1955, un événement qui a servi de prélude à la Révolution tranquille.
«Montréal est un des plus belles villes au monde, disait-il récemment. Les églises sont très belles et les gens sont merveilleux. Il y a aussi de très bons restaurants italiens. Ça m’a brisé le coeur quand j’ai appris que les Expos devaient déménager à Washington».
Une fois à la retraite, Lasorda a d’abord été recruteur pour les Dodgers, puis il a dirigé leurs clubs-écoles avec beaucoup de succès, notamment à Spokane et à Albuquerque. Il a ensuite été promu instructeur avec le grand club (1973) avant de remplacer Alston à l’automne 1976.
Avec l’aide de plusieurs joueurs qu’il avait dirigés dans les mineures (Garvey, Russell, Baker, Cey, Yeager…), Lasorda a participé à quatre Séries mondiales. Il a perdu deux fois contre les Yankees (1977-78) avant de l’emporter contre ces Damned Yankees (1981) et contre les Athletics d’Oakland (1988).
En tout et partout, Lasorda a dirigé les Dodgers pendant 21 ans et il a été élu au Panthéon du baseball par le comité des Vétérans en 1997. Depuis plusieurs années, il agit à titre de conseiller spécial et conférencier. Il ne rate jamais une occasion d’aller encourager son équipe à Chavez Ravine.
L’EXPRESS DE MINUIT
- Jaroslav Halak peut-il battre Carey Price dans un 2 de 3? Ce n’est pas si simple que ça. En principe, c’est la meilleure équipe qui triomphera.
- Brad Marchand n’a plus à s’inquiéter pour son avenir financier. Les Bruins viennent de lui consentir un contrat de huit ans d’une valeur de 49M$. Il devrait en donner une partie à Patrice Bergeron!
- Le Canadien a perdu 3-2 contre les Devils en match préparatoire. Le Finlandais Artturi Lehkonen, 21 ans, a obtenu 9 tirs au but pour le CH. Un nom à retenir?
- Les Yankees ont marqué cinq points en 9e manche pour infliger un revers de 7-5 aux Blue Jays. Le releveur Jason Grilli a failli à la tâche en accordant des circuits à Teixeira et Hicks. Les Jays ont tenté un ralliement en fin de 9e, mais Tommy Layne a réussi à fermer les livres. Les bancs se sont vidés deux fois suite à des tirs à l’intérieur et le gérant Joe Girardi a été expulsé du match.
- À Miami, les Marlins ont honoré la mémoire de José Fernandez en battant Bartolo Colon et les Mets 7-3. Dee Gordon a dirigé l’attaque avec quatre coups sûrs, dont son premier circuit de la campagne. Tous les joueurs des Marlins portaient le nom de Fernandez sur leur chandail. On sait que le jeune lanceur étoile a perdu la vie dans un tragique accident de bateau près de Miami Beach dans la nuit de samedi à dimanche.
- Les Cubs ont malmené les Pirates 12-2 pour atteindre le cap des 100 victoires. Javier Baez a réussi un grand chelem et produit 6 points. Kris Bryant a atteint le plateau des 100 «pp» avec son 39e circuit et Kyle Hendricks a baissé sa moyenne de points mérités à 1,99.
- Les Reds ont massacré les Cards 15-2 au stade Busch. Adam Duvall a cogné deux circuits et produit cinq points. Le Canadien Joey Votto a ajouté son 27e.
- Les Indians de Terry Francona sont champions de leur section pour la première fois depuis 2007 suite à un gain de 7-4 à Détroit.
- Yasmany Tomas (30e circuit) a produit cinq points dans la victoire de 14-4 des D’Backs contre Washington. Deux circuits pour Jean Segura.
- Pascal Rhéaume quitte l’organisation du Wild du Minnesota (il travaillait en Iowa) pour devenir l’adjoint de Stéphane Julien chez le Phoenix de Sherbrooke.
- Boby Fugère, du Blizzard de Trois-Rivières, sera opéré au genou et à la jambe, jeudi, à Québec. Il s’est blessé sérieusement dans un combat contre Dave Hamel, du 3L de Rivière-du-Loup.
- Claude Lavoie, ancien responsable du vestiaire du club visiteur au parc Jarry et au Stade olympique, conserve un merveilleux souvenir de Vin Scully, des Dodgers. «Un homme avec beaucoup de classe», dit-il.
- Mike Babcock au sujet de son capitaine Sidney Crosby: «Il sait à quel point il est bon et il est devenu plus patient avec la rondelle».
- Viktor Alexi, de Sherbrooke, et Jessica Couture, de Québec, ont enlevé les honneurs de l’épreuve X-Man à Lac-Beauport. Des mentions honorables à Marc-André Bédard, Sébastien Brien, Émilie Savard et Marie-Élaine Fleury. Il y avait plus de 3600 participants.
- Aurélie Rivard et Benoît Huot ont bien fait les choses sur le plateau de Tout le monde en parle.
- Le jeune Tim Alarie, de Saint-Jérôme, a gagné le dernier tournoi Canada Pro Tour à Beloeil. Son père Sylvain lui servait de caddie.
- En apprenant la mort de son idole, André Maltais a dit: «C’est l’étoile de nos vies qui passe sous nos yeux. Je conserve précieusement une photo où Palmer affiche son plus beau sourire après avoir joué une ronde de 61. La veille, il avait joué 79. Le sous-titre disait: «Arnie’s happy again». Ça m’a toujours servi d’inspiration».
- Hillary 1, Donald 0.
Le mot d’humour
Le gars dit à sa blonde: «Ça serait une bonne idée qu’on change de position, ce soir».
Et la fille de répondre: «Excellente idée, mon chéri. Tu fais la vaisselle et je prends le sofa!»