- CHRIS EVERT, grande championne de tennis, 61 ans.
- JIM POPP, patron des Alouettes, 51 ans.
- KARRIE WEBB, vedette de la LPGA, 41 ans.
- GUY ROUSSEAU, ancien joueur du CH, 81 ans.
- MARIE-CLAUDE SAVARD, animatrice, 44 ans.
- PETER MARSH, ancien joueur étoile des Castors Juniors, 59 ans.
- FRÉDÉRIC BLACKBURN, champion de patinage de vitesse sur courte piste, 44 ans.
- DAVE KINGMAN, ancien joueur étoile des Giants, des Mets, des Cubs et des Athletics, 67 ans.
- ROGER PLANTE, vétéran golfeur de Sorel, 79 ans.
- JOEY KOCUR, ancien dur-à-cuire des Red Wings, 51 ans.
- PHILIP HUMBER, lanceur des White Sox, 33 ans.
- ÉTIENNE ALEXIS-BOUCHER, ancien député de Johnson.
- RONALD BÉLISLE, le John Daly de la Brasserie Molson, 55 ans.
- TOM HENKE, ex-releveur des Blue Jays, 58 ans.
- FERNAND MAGNAN, de Magog-Orford, 75 ans.
- SYLVAIN BIBEAU, ex-arbitre de la LHJMQ, 53 ans.
- JANE FONDA, actrice américaine, 78 ans.
- JEAN FORTIER, dit Le Mystérieux.
- GARNEY HENLEY, ex-vedette des Tiger-Cats, 80 ans.
- ROGER McDOWELL, ex-lanceur des Mets, 55 ans.
- ED EUSTACHE, golf et ski, 82 ans.
- RICHER TALBOT, ancien lanceur de la Ligue Laurentide et ami FB.
- ROC LAFORTUNE, comédien et excellent golfeur, 59 ans.
- ANDRÉANNE BELLIVEAU, de Laval, 26 ans.
- JOSEPH CHÊNEVERT, de Val-Joli, 75 ans.
- YVES L’ÉCUYER, hockeyeur de Pointe-Calumet, 51 ans.
- STEVE BOUCHER, balle molle, 53 ans.
- GINETTE SAINT-LOUIS, de Trois-Rivières.
- KOSTEK PAWLIKANIEC, sportif de la Rive-Sud.
Archives de l’auteur : André Rousseau
Au tour de Dickie Moore
L’ancien joueur du CH s’éteint à l’âge de 84 ans
Dickie Moore, un des joueurs les plus fougueux à avoir endossé le chandail du Canadien, est mort aujourd’hui à l’âge de 84 ans.
«Dickie était un vrai gars d’équipe, a déclaré Jean-Guy Talbot en apprenant la nouvelle. Il avait du «guts» et ne craignait pas de se salir le nez pour remporter la victoire. Il a joué un rôle très important dans nos cinq conquêtes consécutives de la coupe Stanley à la fin des années
1950.
«Plus tard, nous avons été compagnons de chambre chez les Blues de Saint-Louis. Même si ses genoux le faisaient souffrir, il était encore tout un joueur de hockey et il nous a aidés à atteindre la finale de la coupe Stanley contre le Canadien».
Cette année-là, à 36 ou 37 ans, Moore a récolté 14 points en 17 matchs éliminatoires. Parmi ses coéquipiers, outre Talbot, il y avait Glenn Hall, Jacques Plante, Noël Picard, Doug Harvey et les frères Plager.
Dickie Moore était fier de dire qu’il avait grandi au parc Extension au sein d’une famille nombreuse. Il était aussi très fier d’avoir joué avec des légendes comme Butch Bouchard, Elmer Lach, Maurice et Henri Richard, Doug Harvey, Jean Béliveau, Jacques Plante, Bernard Geoffrion et Claude Provost.
«Nous étions comme des frères de sang», me répétait-il chaque fois que je le croisais au Forum ou au Centre Bell.
Poignet dans le plâtre
En 14 saisons dans la Ligue nationale, Moore a marqué 261 buts et il en a préparé 347, mais on se souvient surtout de lui pour son style fougueux et ses deux championnats des marqueurs à la fin des années 1950.
La première fois, il a disputé le dernier mois de la saison avec un poignet dans le plâtre et il a réussi à se maintenir en tête des pointeurs avec l’aide des frères Richard. Ce fut sans doute le plus beau moment de sa carrière. L’année suivante, il a remporté un deuxième Art Ross avec une récolte de 96 points.
Une fois à la retraite, Moore est devenu un homme d’affaires prospère. Il a eu une couple de restaurants avant de fonder la compagnie «Location Dickie Moore» dans le secteur Saint-Laurent. Il était au boulot sept jours sur sept et on pouvait voir ses roulottes bleu blanc rouge aux quatre coins de la province et même en Ontario.
Dickie était aussi propriétaire du club de golf Arundel, près de Saint-Jovite. C’est là que je l’ai vu pour la dernière fois, l’été dernier, à l’occasion du tournoi de golf des Anciens Canadiens. «La vie est belle, mais mes jambes me font terriblement souffrir. J’ai aussi de la peine de voir partir plusieurs de mes amis», m’a-t-il confié avant le banquet de clôture.
Durant les années 1980, Serge Savard lui a offert de devenir entraîneur du Canadien, mais il a décliné l’offre. Plus tard, il a tenté d’acheter l’équipe en compagnie d’Irving Liverman, mais la transaction a échoué.
En 2006, Moore a été victime d’un grave accident de la route dans la région de Vaudreuil-Dorion. Il a frôlé la mort de près et il lui a fallu plusieurs mois pour se remettre de ses nombreuses fractures, mais il n’était pas du genre à baisser les bras.
Dickie Moore a peut-être été le meilleur ailier gauche de l’histoire du Canadien. En 2005, on a hissé son numéro 12 au plafond du Centre Bell en même temps qu’Yvan Cournoyer.
Élu au panthéon du hockey en 1974, Moore fait partie des 12 joueurs qui ont gagné cinq coupes de suite entre 1956 et 1960. Les autres sont Maurice et Henri Richard, Jean Béliveau, Jacques Plante, Doug Harvey, Bob Turner, Jean-Guy Talbot, Tom Johnson, Bernard Geoffrion, Don Marshall et Claude Provost.
Mes plus vives condoléances à son épouse, à sa fille Lianne et à son fils John.
La glissade se poursuit
- Le CANADIEN a très mal amorcé sa série de huit matchs à l’étranger en subissant une cuisante défaite de 6-2 à DALLAS. Un septième revers en huit parties pour la troupe de Michel Therrien. JAMIE BENN a sonné la charge pour les Stars avec ses 21e et 22e buts de la saison. 18e de Tyler Seguin et 11e de Patrick Sharp. Comme si ça ne suffisait pas, JEFF PETRY a été blessé en deuxième période quand il a encaissé une dure mise en échec de Jamie Benn.
- À Toronto, JONATHAN BERNIER a finalement savouré sa première victoire de la campagne en blanchissant les Kings 5-0. Deux buts pour LEO KAMAROV et deux autres pour MICHAEL GRABNER.
- Les Flames ont perdu 3-2 à Saint-Louis. 21e but de VLADIMIR TARASENKO.
- À Buffalo, PATRICK KANE a nivelé la marque en fin de troisième période (son 20e but de la saison), puis il a tranché en tirs de barrage. Quelle saison il connaît celui-là!
- Au New Jersey, les DUCKS ont arraché un gain de 2-1. Le but gagnant appartient à RYAN KESLER, son 4e de la saison.
- Les pauvres PENGUINS ont encaissé un autre revers à domicile. Défaite de 2-1 contre Caroline. EVGENY MALKIN (15e) a marqué le seul but de Pens. Ça va prendre un grand coup de barre….
- À Columbus, les Blue Jackets ont eu raison des Flyers (3-2) en tirs de barrage. But gagnant de BRANDON DUBINSKY.
- Les Islanders ont perdu 1-0 en Arizona. OLIVER EKMAN-LARSSON a marqué le seul but du match en première période pour aider LOUIS DOMINGUE, de Saint-Hyacinthe, à enregistrer son premier jeu blanc dans la LNH.
- Au Colorado, l’Avalanche a défait les Oilers 5-1. Neuvième but du vétéran JAROME IGINLA.
- Enfin, le Wild a perdu 3-2 à Nashville. JAMES NEAL a inscrit le but de la victoire pour les Predators. 11e de Parise dans une cause perdante.
Le mot d’humour
Heureux l’étudiant qui, comme la rivière, arrive à suivre son cours sans sortir de son lit.
La différence
1- Quelle est la différence entre une pioche, un pull et une semaine?
– La pioche a un manche, le pull a deux manches et la semaine a dimanche.
2- La différence entre le temps et l’éternité?
– Si je prenais le temps de vous l’expliquer, ça vous prendrait une éternité pour comprendre.
3- La différence entre les oiseaux et les banquiers suisses?
– Les oiseaux font leur nid et les banquiers nient leurs fonds.
4- La différence entre Paris, un ours blanc et la belle Lucie?
– Paris est la métropole, l’ours blanc est maître du pôle et Lucie aimait trop Paul.
5- La différence entre une girouette et un horloger?
– La girouette montre le vent et l’hologer vend des montres.
6- La différence entre un enfant turbulent et un sapin de Noël?
– Aucune différence. Les deux se font enguirlander.
7- La différence entre ton voisin et une calculatrice?
– Tu peux toujours compter sur une calculatrice.
8- La différence entre une poule et un chapon?
– Une poule, cha’pond. Un chapon, cha’pond pas.
9- La différence entre un cendrier et un théière?
– Le cendrier, c’est pour des cendres. La théière, c’est pour mon thé.
Tourlou!
Les copains d’abord
NORTH HATLEY— Le dîner de Noël de la Ligue du Vieux Poêle a été couronné d’un franc succès dans le décor bucolique du Pilsen, à North Hatley. Voici les échos que j’ai recueillis entre deux verres de rouge et une pointe de tourtière:
- JEAN-GUY GENDRON, ancien joueur des Bruins, des Rangers et des Flyers, a mérité le titre d’homme de l’année. J’ai eu le plaisir de lui présenter son trophée sous un tonnerre d’applaudissements.
- Jean-Guy a participé aux agapes avec RANDY PHILLIPS, Max Oxford et Mario Brisebois. Ancien chroniqueur de golf au journal The Gazette, Randy connaît beaucoup de succès comme massothérapiste dans le West-Island. Le journalisme mène à tout… pourvu qu’on en sorte.
- ANDRÉ MALTAIS est assez vieux pour se rappeler de la vrai LIGUE DU VIEUX POÊLE avec les Jean-Maurice Bailly, Camil DesRoches, Jacques Beauchamp, Émile Bouchard, Zotique Lespérance et Émile Genest. Il a aussi plein d’anecdotes sur WALTER HAGEN, Bobby Jones, Jules Huot, Jack Nicklaus et tous les grands noms du golf.
- À l’époque où il était professionnel de golf au club LAVAL-SUR-LE-LAC, Maltais a vendu une paire de souliers de golf à DEREK SANDERSON. Les souliers coûtaient 49,50$ et le joueur étoile des Bruins lui a donné un pourboire de 100$. Il a ensuite demandé qu’on fasse venir un TAXI pour lui indiquer la route à suivre jusqu’à Saint-Hyacinthe au volant de sa ROLLS ROYCE!
- GEORGES GUILBAULT, ancien joueur étoile des Castors Seniors, en avait long à raconter à l’ex-arbitre RUSS PARSONS. À leur table, il y avait aussi YVES ROBILLARD, Mario Brouillard, Alain Guay et Gilles Lachance, du club Venise.
- JEAN-GUY GENDRON n’oubliera jamais l’époque où il travaillait pour DAMIEN GAUTHIER au club Municipal de Montréal. Dans le groupe des «laboureurs», il y avait JACQUES BEAUCHAMP et JEAN-PAUL SARAULT, deux jolis moineaux sur un terrain de golf.
- MARC GRENIER, ancien directeur général du club Royal Québec, considère la Ligue du Vieux Poêle comme sa deuxième famille.
- L’ancien ministre SAM ELKAS a dû nous quitter pour aller chanter dans une CHORALE. Franchement, nos membres ont tous les talents.
- ROGER H. LEGAULT a adoré ses vacances à Cocoa Beach avec sa belle Chantal. Il a longuement discuté de golf avec MICHEL ROBERT, André Maltais, Pierre Lessard, Guy Faucher et Pierre Brosseau.
- RÉAL LABBÉ est venu de Québec en Cadillac pour participer à la fête. Il en a ri un coup avec YVAN VANIER, Coco L’Estage, Jean-Claude Gagné, Pierre Frappier et Russ Campbell.
- La belle NANCY s’est occupé du service de façon magistrale.
- Les plus coriaces ont terminé la fête au COEUR D’OR.
- Amusons-nous, jeunesse, amusons-nous toujours. Le temps de la jeunesse ne dure pas toujours!







