Pas encore dans la même ligue

Le Canadien s’incline devant Chicago, 4-2

WINDSOR, Québec–  J’aimerais vous dire que le Canadien a fait suffisamment de progrès pour rivaliser avec une puissance comme les Blackhawks de Chicago, mais ce n’est pas le cas. Malheureusement.

N’en déplaise aux partisans du CH, il y a encore une mer de différence entre les deux équipes et le match d’hier soir en a fourni une autre preuve.

L’excellent Patrick Kane a dirigé l’attaque des Blackhawks avec son 31e but et deux passes. Il est au fort fort de la course au trophée Art Ross avec le jeune Connor McDavid, Sidney Crosby, Brad Marchand et Evgeni Malkin.

Patrick Kane, le genre de joueur dont rêve tout entraîneur, a ouvert le bal avec un tir parfait, puis Johnny Oduya, de retour avec son ancien club, et le très talentueux Artemi Panarin ont procuré aux visiteurs une avance quasi-insurmontable (3-0).

Le Canadien a tenté de sauver les meubles en fin de rencontre. Byron et Weber ont trouvé le fond du filet, mais c’était trop peu trop tard. Capitaine Toews a fermé les livres dans un gain de 4-2, le septième de suite des Hawks contre Montréal.

De retour d’un long voyage dans l’Ouest, les hommes de Claude Julien ont dirigé une quarantaine de rondelles vers Corey Crawford, mais le gardien de but de Châteauguay a eu la vie plutôt facile, sauf en fin de troisième. Il a maintenant un dossier quasi-parfait de 7-0-2 contre le CH avec une moyenne de buts alloués d’environ 1,60.

Crawford ne reçoit pas toujours le mérite qui lui appartient. Il joue un rôle majeur dans les succès des Hawks depuis quelques années.

Les protégés de Joel Quenneville ont gagné 14 de leurs 17 dernières parties et ils ont de grandes ambitions à partir de la mi-avril. Ils sont premiers dans leur division, un point devant Minnesota.

Artem Anisimov s’est blessé au genou gauche lorsqu’il a encaissé une dure mise en échec d’Alex Radulov en première période. On a hâte de savoir si la blessure est sérieuse.

Enfin, le défenseur Alexei Emelin a commis trois erreurs qui ont coûté cher au Canadien. Claude Julien n’a pas voulu le critiquer devant les journalistes, mais il va sûrement lui parler entre quatre yeux. Tu ne fais pas de la salade de poulet…

Le Canadien jouera à Ottawa samedi soir et il recevra la visite des Sénateurs, 24 heures plus tard.

AILLEURS DANS LA LIGUE

  • À Washington, Alex Ovechkin a inscrit son premier but en 11 parties (sa plus longue disette en carrière) et les Capitals ont vaincu le Wild 4-2. Nicklas Backstrom a récolté trois passes.

    Alex Ovechkin a participé à la victoire des Capitals avec son premier but en 11 parties.

  • À Sunrise, les Maple Leafs ont encaissé un cuisant revers de 7-2 contre les Panthers. Jonathan Marchessault (2 buts) et Thomas Vanek (0-4) ont dirigé l’attaque pour les locaux.
  • À Los Angeles, les Coyotes ont fait mal aux Kings en les battant 3-2 en tirs de barrage. Max Domi a nivelé la marque 45 secondes avant la fin du match et Anthony DeAngelo a donné la victoire aux visiteurs dans la 11e ronde de la fusillade (22 tireurs).
  • À San Jose, Joe Pavelski a inscrit ses 27e et 28e filets de la campagne dans un gain de 4-1 sur Buffalo. Logan Couture a ajouté son 24e et Jack Eichel a marqué son 20e pour les Sabres.

    John Tavares: le coeur et l’âme des Islanders.

  • En Caroline, John Tavares a marqué en prolongation pour procurer un gain de 3-2 aux Islanders. Ces derniers sont engagés dans une lutte à finir avec Tampa et Toronto pour une place en séries.
  • Le Lightning a arraché une victoire de 2-1 à Ottawa sur un but de Victor Hedman en surtemps. Andrei Vasilevskiy a repoussé 31 tirs pour gagner son duel contre Mike Condon. Quatre de suite pour la troupe de Jon Cooper.

DERNIERS ÉCHOS DE LA FLORIDE

  • DENIS CLOUTIER, de Québec, et ALAIN BOULANGER, de Terrebonne, ont enlevé les honneurs du tournoi de golf NORMAND RICHARD-RAYMOND RACETTE avec un score de 69 au club Don Shula de Miami…. RAYMOND AUCOIN, père de Derek, et ROBERT DUPUIS ont pris la deuxième place avec un 71, un coup de mieux que le duo formé de PIERRE BACHAND et de JEAN-GUY STEBEN, du club Le Portage.
  • Le PICKLEBALL deviendra rapidement un jeu très populaire au WATERSIDE VILLAGE d’Hypoluxo. Sur la photo, on aperçoit MAURICE ALLARD, de

    Maurice Allard, Jean Rhéaume, Guy Daigneault et Jacques Boudreau sont les premiers joueurs de Pickleball à Waterside Village.

    Drummondville, JEAN RHÉAUME, de Québec, GUY DAIGNEAULT, d’Acton Vale, et JACQUES BOUDREAU, de Bedford… Le Waterside Village est un endroit très recherché par les Québécois. J’ai passé quelques jours là-bas avec PIERRE BÉLANGER, ancien patron de Sherbrooke Innopole, CLAUDE SYLVAIN, maire de Saint-François-Xavier-de-Brompton, Marie Lussier, championne de pétanque, et son amie Nicole Gagnon. J’aime beaucoup la région de Boynton Beach. C’est plus tranquille qu’à Miami ou à Fort Lauderdale.

  • GILLES CHEVRIER, ancien vice-président d’AXA Canada, s’en donne à coeur joie au club de golf Hollybrook avec CLAUDE FRANKLIN, retraité de Loto-Québec, DAVE HALL et JOCELYN DEMERS, ex-patron du Port de Valleyfield.

D’AUTRES ÉCHOS

  • Bravo à Marie-Philip Poulin, de Beauceville, et aux Canadiennes de Montréal pour la conquête de la coupe Clarkson. Marie-Philip a été surnommée à Sidney Crosby du hockey féminin.
  • David Price, le lanceur de 217 millions, ratera le début de saison des Red Sox à cause de raideurs au bras gauche.
  • Richard Beaudry, président d’Ovation Médias, assistera au tournoi des Maîtres pour la première fois. Il en va de même pour Robert Pilon, grand manitou de Barwood-Pilon à Laval.

    Charles Bronfman n’a pas oublié les exploits de Jackie Robinson dans l’uniforme des Royaux de Montréal. À ce moment-là, il était loin de se douter qu’il deviendrait propriétaire des Expos.

  • Durant sa jeunesse, Charles Bronfman allait souvent voir jouer les Royaux de Montréal au stade de la rue De Lorimier. Il se souvient des exploits des Jackie Robinson, Don Drysdale, Roy Campanella et Duke Snider.
  • Charles était aussi partisan du Canadien de Montréal. Ses joueurs favoris étaient Doug Harvey, Bill Durnan et Maurice (Rocket) Richard.
  • À Calgary, on parle beaucoup du gardien de but Brian Elliott et du trio formé de Mikael Backlund, Matthew Thachuk et Michael Frolik. Les Flames ont gagné 10 matchs de suite pour la première fois depuis 1978.
  • Le père de France Beaudoin, de Radio-Canada, était épicier à Disraëli. Il était aussi propriétaire de chevaux de courses à l’hippodrome de Sherbrooke. Son meilleur cheval s’appelait BB Sandwich.
  • Le Monster Spectacular sera présenté au Stade olympique le 8 avril.
  • Ronald Bélisle, de Molson, aurait réussi à visiter tous les bars de Key West!

Le mot d’humour

-«Chérie, savais-tu que mon signe chinois est le coq?»

-«Oui, mon amour. Une de tes poules vient de téléphoner!»

Les anniversaires du 15 mars

En passant

  • MARK SCHEIFELE, joueur étoile des Jets de Winnipeg, 24 ans.
  • DARCY TUCKER, ancien des Maple Leafs, 42 ans.
  • KEVIN YOUKILIS, ancien des Red Sox, 38 ans.
  • DANIEL LEVASSEUR, de Cap-Rouge, 54 ans.
  • CRAIG LUDWIG, ex-défenseur du CH, 56 ans.
  • WAYNE GRANGER, ex-lanceur des Reds, 73 ans.

    Le sportif Marcel Lavoie, de Magog, avec sa chère Gisèle. «Cellie» et sa douce s’impliquent depuis longtemps dans les activités du club Optimiste.

  • MARCEL LAVOIE, ex-lanceur du Michel Transport, 69 ans.
  • STÉPHANE ROCHON, champion de ski acrobatique, 43 ans.
  • MICKEY HATCHER, ancien des Dodgers, 62 ans.
  • PATRICK DUNN, de Trois-Rivières, 54 ans.
  • MICHEL LONGTIN, ancien gérant de Mad Dog Vachon, 73 ans.
  • ANDRÉ SAINT-JACQUES, roi du 19e trou au club de golf Le Champêtre, 72 ans.
  • JEAN-FRANÇOIS FORTIN, ancien des Capitals, 38 ans.
  • JEAN-CLAUDE BOIES, de Boisbriand.
  • JOËL CÔTÉ, de Rouge FM.
  • HAROLD BAINES, ancien des White Sox, 58 ans.
  • MIKE PAGLIARULO, ancien des Twins, 57 ans.
  • RICHARD BERTHIAUME, trot et amble, 71 ans.
  • BENOÎT CYR, curling.
  • EVA LONGORIA, actrice américaine, 42 ans.
  • TED MARCHIBRODA, ancien des Colts de Baltimore, 86 ans.
  • CHRISTIANE LAFOREST, de Sainte-Julienne.

Charles et le Kid

WEST PALM BEACH, Floride— Sous les palmiers, je me suis tapé le livre (Distilled) sur la vie et la carrière de Charles Bronfman, ancien président de Seagram’s et ex-propriétaire des Expos.

Je vous ferai grâce des multiples transactions qu’il a réalisées en tant qu’homme d’affaires. Pour un gars qui possède un compte de banque semblable au mien, c’est passablement étourdissant.

Si j’ai bien compris, un businessman avec les reins solides peut facilement quintupler sa mise et même davantage s’il obtient le bon «tuyau» et appuie sur le bon bouton. D’où le dicton: c’est avec de l’argent qu’on fait de l’argent!

Charles Bronfman raconte sa vie et sa carrière dans le livre «Distilled».

Je passerai sous silence ses querelles financières avec son frère Edgar et son neveu Edgar Jr. Une très longue histoire. Charles a toujours eu beaucoup d’admiration pour son frère aîné. Il n’arrivait pas à lui dire non ou à imposer son droit de veto et ça lui a joué de très vilains tours en fin de parcours. La misère des riches…

Le Grand Orange

Le chapitre qui a retenu mon attention concernait bien sûr son implication de 21 ans dans la première concession de baseball majeur au Canada.

Si vous ne le saviez pas encore, les Expos n’auraient jamais vu le jour si Charles Bronfman n’était pas «allé au bâton» suite au retrait de Jean-Louis Lévesque en 1968.

Inspiré par le maire Jean Drapeau et voulant prouver à son père (Sam) qu’il était parfaitement capable de relever un tel défi, il a avancé l’argent nécessaire pour obtenir le O.K. de Warren Giles, alors président de la Ligue nationale. Dans le temps, on pouvait acheter un club d’expansion avec 10 millions!

Bronfman a ensuite fait confiance à John McHale, Gene Mauch et Jim Fanning pour bâtir une équipe représentative. Il a prédit que les Expos attireraient 1,2 millions de spectateurs à leur première saison au petit stade de la rue Jarry et ils lui ont donné raison avec une collection de recrues et de joueurs en fin de carrière (Mack Jones, Bill Stoneman, Coco Laboy, Carl Morton, Bobby Wine, Steve Renko, John Bateman, etc…).

C’était la belle époque de Les Expos, Nos Amours! Une époque qui a marqué ma vie et celle de milliers d’amateurs de baseball.

Bien sûr, Charles conserve un doux souvenir de Rusty Staub, première grande vedette des Expos. Le Grand Orange n’était pas heureux à Houston et voulait jouer pour Gene Mauch. La transaction a été compliquée et il a fallu l’intervention du commissaire Bowie Kuhn avant que Staub obtienne la permission de patrouiller le champ droit.

Rusty Staub a été un ambassadeur extraordinaire pour les Expos et pour la ville de Montréal.

Les Expos ont perdu Donn Clendenon et Jack Billingham dans cet échange, mais Staub leur a donné trois grosses saisons et il est vite devenu le favori de la foule d’un bout à l’autre du pays. En 1972, on a choisi de le sacrifier pour trois joueurs fort prometteurs: Ken Singleton, Tim Foli et Mike Jorgensen. Staub a pleuré jusqu’à New York avant d’aider les Mets à atteindre la Série mondiale.

Un joueur égoïste?

Bronfman consacre également plusieurs lignes à Gary Carter, un autre joueur qui a marqué profondément la concession montréalaise.

Il ne cache pas que McHale et lui étaient furieux lorsque le Kid a exigé un contrat de 2M$ par année. La surenchère commençait à faire son oeuvre à travers les grandes ligues. Les Expos n’avaient personne pour remplacer Carter ils n’ont eu d’autre choix que de se plier à ses exigences en invoquant tous les saints du ciel. Ce contrat n’allait pas durer longtemps.

Carter n’était pas le favori de Bronfman. S’il reconnaissait son immense talent, il le trouvait plutôt égoïste, précisant qu’il n’était pas le joueur le plus populaire dans le vestiaire. Pour la première fois, Bronfman s’est immiscé dans les affaires de l’équipe et Carter a été échangé aux Mets en retour de Hubie Brooks et d’une couple d’inconnus dont j’oublie le nom. C’était la fin d’une époque.

Gary Carter n’était pas le favori de M. Bronfman.

Vers la fin des années 1980, Bronfman a perdu une bonne partie de son intérêt pour son équipe de baseball. La flambée des salaires lui puait au nez. Il y avait aussi le contrat de télévision accordé aux Blue Jays qui lui tapait sur les nerfs. Il a finalement décidé de vendre l’équipe à un consortium présidé par Claude Brochu. C’était le commencement de la fin. La grève de 1994 et les ventes de feu successives ont écoeuré tout le monde. En 2004, on a fermé les livres après un long calvaire et l’équipe a déménagé ses pénates à Washington.

Reggie dit non

Dans son livre, Bronfman parle aussi de son discours mal planifié dans une synagogue de Montréal avant la première élection du Parti Québécois (1976) et de sa menace (pas très sérieuse) de sortir l’équipe de Montréal.

Reggie Jackson a préféré les millions de George Steinbrenner.

Il déplore le fait que les Expos n’aient jamais été consultés par l’équipe de Jean Drapeau avant la construction du Stade olympique. Tant et si bien qu’on a construit un stade tout en béton qui ne répondait pas aux exigences du baseball à cause de la distance entre les spectateurs et la surface de jeu.

On pourrait aussi parler du toît qui a coûté une fortune et n’a jamais fonctionné comme il faut.

À l’hiver 1976, les Expos ont fait des pieds et des mains pour attirer Reggie Jackson à Montréal. Le flamboyant voltigeur était un ancien protégé de Dick Williams à Oakland. On lui a fait une offre très généreuse, mais Reggie a préféré les millions de George Steinbrenner. Pourquoi aurait-il joué à Montréal quand il pouvait se couvrir de gloire dans l’uniforme des Yankees?

Enfin, disons que Bronfman ne regrette aucunement son association avec les Expos. Il a acheté l’équipe 10M$ et l’a vendue pour 110M$. Joli profit. En outre, c’est lui qui le dit, cette folle aventure l’a fait sortir de sa coquille et en a fait un meilleur homme.

Chers amis, la lecture demeure une grande vertu.

DANS LA LNH LUNDI SOIR

  • À Vancouver, BRAD MARCHAND a réussi le tour du chapeau en 3e période et les Bruins ont doublé les Canucks 6-3. Ses 35 buts lui permettent de partager le premier rang avec Sid The Kid.

    Brad Marchand connaît une saison extraordinaire. Son tour du chapeau lui permet de rejoindre Sidney Crosby dans la course au trophée Maurice-Richard.

  • À Calgary, les Flames ont enregistré une 10e victoire de suite en battant les Penguins 4-3 en tirs de barrage dans un match très attendu en Alberta. KRIS VERSTEEG a rompu l’égalité en fusillade en plus d’obtenir deux passes. C’est la première fois depuis novembre 1978 que les Flames gagnent 10 parties de suite. Ils étaient alors établis à Atlanta. Dans la défaite, Crosby a réussi son 35e et Malkin son 33e.
  • À Nashville, JAMES NEAL a marqué en tirs de barrage pour procurer un gain de 5-4 aux Predators contre Winnipeg. FILIP FORSBERG a réussi son 28e pour Nashville et PATRIK LAINE son 33e pour les Jets.
  • À Madison Square Garden, le Lightning a arraché une victoire de 3-2 contre les Rangers pour s’approcher à un point de Toronto et d’une place en séries. BRAYDEN POINT a été le meilleur avec deux buts et GABRIEL DUMONT a réussi l’autre (son 2e de la saison). Kucherov a récolté deux passes et PETER BUDAJ a enregistré la victoire.
  • À Philadelphie, CAM ATKINSON (31e et 32e) et BRANDON DUBINSKY  (but gagnant) ont mené les Blue Jackets à un gain de 5-3 sur les Flyers. Ils ont maintenant 44 victoires et 94 points, deux marques d’équipe. TRAVIS KONECNY a marqué deux fois pour les Flyers.
  • À Los Angeles, JAKE ALLEN a repoussé 38 rondelles dans une victoire de 3-1 sur les Kings. ALEXANDER STEEN, David Perron et Alex Pietrangelo ont mené l’attaque pour les Blues.
  • À Denver, MIKE SMITH a permis aux Coyotes de l’emporter 1-0 en bloquant 22 tirs.
  • À Brooklyn, les Hurricanes ont doublé les Islanders 8-4. Le défenseur JACCOB SLAVIN a sonné la charge avec son premier tour du chapeau. Skinner et Faulk ont ajouté deux buts chacun. JEAN-FRANÇOIS BÉRUBÉ a cédé quatre fois sur 13 lancers avant de céder sa place à Thomas Greiss.

Le mot d’humour

J’ai averti mes enfants: «Je ne veux jamais mourir dans un état végétatif, dépendre d’une machine ou d’une quelconque bouteille».

Ils se sont levés, ont débranché mon ordi et jeté ma bouteille de vin à la poubelle. Les p’tits maudits!

 

 

Les anniversaires du 14 mars

En passant

  • RAOUL MÉNARD, champion golfeur de L’Ange-Gardien, 25 ans.
  • BOB CHARLES, champion golfeur, 81 ans.
  • VACLAV NEDOMANSKY, ancien des Red Wings, 73 ans.
  • HUGUETTE ROUSSEAU, épouse de Bobby Rousseau.

    Michel Bolduc n’a rien perdu de sa passion pour le golf. Il voudrait juste jouer comme il le faisait il y a 25 ou 30 ans!

  • BOB GOALBY, champion du Masters, 88 ans.
  • BILLY CRYSTAL, comédien, acteur et partisan des Yankees, 69 ans.
  • MICHAEL CAINE, acteur britannique, 84 ans.
  • BUTCH WYNEGAR, ex-receveur des Twins, 61 ans.
  • MICHEL BOLDUC, vétéran golfeur et arbitre, 70 ans.
  • BOBBY JENKS, ex-lanceur des White Sox, 35 ans.
  • BERTRAND BLIER, cinéaste français, 78 ans.
  • YVAN MAILHOT, de Laval, 68 ans.
  • YVON GRENIER, ancien membre du club Médaille d’Or, 72 ans.
  • ANDRÉ LANDRY, de Trois-Rivières, 75 ans.
  • RON CARTER, ancien des Castors Juniors, 59 ans.
  • DANIEL RIOUX, journaliste à la retraite.
  • DENI BOUDREAULT, de Saint-Bruno.
  • ALBERT DE MONACO, prince et seigneur de Monaco, 59 ans.