Adieu, Connie!

Connie Dion, le père du hockey et du golf à Asbestos, a été conduit à son dernier repos lundi après-midi. Il avait 96 ans.

La première fois que j’ai vu ce «petit bout d’homme», c’était au tout début des années 1960. Il était conférencier invité à l’occasion d’un dîner des Chevaliers de Colomb dans ma ville natale. J’avais été fasciné par sa passion pour le sport et par ses principes de vie, mais j’étais alors loin de me douter que je finirais par le connaître aussi bien.

Connie Dion a marqué l'histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l'Est.

Connie Dion a marqué l’histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l’Est.

Gardien de but des Red Wings de Détroit et des Bisons de Buffalo dans une époque lointaine, Connie prêchait le respect et la discipline. À titre de gérant de l’aréna et responsable du hockey mineur dans la ville de l’amiante, il ne laissait rien au hasard. Il aimait profondément les jeunes, mais il était strict et il voulait qu’ils réussissent en suivant certaines règles de vie.

Il a si bien accompli son boulot que plusieurs de ses protégés ont fait leur marque au hockey, notamment Don Marcotte, Sean McKenna et les frères Hamel. Il était fier d’eux comme de tous ceux qui se sont servis du hockey comme «école de vie».

Après avoir convaincu la John’s Manville de construire un parcours de 18 trous, il a suivi la même politique au golf avec Josée Pérusse, Pierre Lallier et plusieurs autres.

«Son héritage est inestimable, me disait André Gagnon avant les funérailles. On lui doit notre aréna, notre club de golf, et bien d’autres choses encore. Il a été une véritable institution et un professeur émérite pour des centaines de jeunes».

Au début des années 1970, à l’époque où je couvrais le camp d’entraînement des Expos, j’ai eu l’occasion de jouer quelques parties de golf avec Connie Dion. Il passait alors une bonne partie de l’hiver à Daytona Beach avec son épouse Muriel. Malgré notre grande différence d’âge, nous avons tissé des liens qui ne se sont jamais effrités par la suite.

Au fil des ans, je l’ai revu des dizaines de fois à Asbestos. Son discours n’a jamais changé. Il fuyait les réflecteurs. Il était content de sa famille et de ce qu’il avait accompli dans sa vie et préférait laisser les honneurs aux autres.

À ses quatre fils, à sa fille et à toute sa famille Dion, mes plus vives condoléances.

Baker au panthéon

Bob Baker, qui a longtemps été un des meilleurs lanceurs de balle molle de la province, sera intronisé au Panthéon de la renommée de Softball-Québec le samedi 22 novembre. Un honneur hautement mérité pour le colosse de la Vieille capitale.

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour le voir!

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour lui voir la face!

Durant sa carrière de 25 saisons (1960 à 1985), Baker a lancé plus de 2000 parties de balle molle. Il a réussi 15 parties parfaites et 50 parties sans point ni coup sûr. Il a également remporté une victoire de 1-0 dans un duel qui a duré pas moins de 23 manches.

Baker était dans la même classe que les Marc-André Carreau et Gilles Pinard. Il est aussi un parfait gentilhomme dans la vie de tous les jours. Bravo!

Gala de la LBMQ

Les lanceurs Francis Michel (Victo) et Michel Simard (Thetford-Mines) étaient à l’honneur lors du gala des champions de la Ligue de baseball Majeur du Québec à Victoriaville. On a également souligné les exploits au bâton de Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme).

L’équipe d’étoiles du circuit Bélisle est composée des joueurs suivants: STEVE CHARBONNEAU (Coaticook); Olivier Valiquette, Étienne Blanchette et Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme); Frédéric Gaudreau et Martin Bérubé (Acton Vale); François-Alexandre Tambosso (Sainte-Thérèse).

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

On a aussi souligné les efforts de MARC-ANDRÉ JODOIN (meilleur gérant), Richard Lavallée (meilleur directeur général), Alain Lachance (parfait gentilhomme), Denis Lamontagne (meilleur joueur de 40 ans et plus), Martin Bérubé (plus beau retour), Étienne Blanchette et Jean-François Fyfe (frappeurs recrues), JACOB GOSSELIN-DESCHÊNES (lanceur recrue), Jean-Mathieu Filion (arbitre), Jérémy Legault (marqueur officiel) et François Lécuyer, organisateur du match des étoiles à Thetford-Mines

Enfin, la ligue a tenu à remercier le préfet de discipline JEAN SIMARD et la photographe NATHALIE MICLETTE avant d’admettre trois nouveaux membres au Panthéon de la renommée: SHAWN SMITH (Saint-Jérôme), ROGER BOURGEOIS (Acton Vale) et RÉMI DESHAIES (Victo).

En 2015, la ligue aura un nouveau look avec des équipes à SHAWINIGAN et à SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU.

Pointu n’a oublié personne

Il y a des ces soirées qu’il ne faut pas rater. C’était le cas samedi alors que des centaines de milliers de Québécois ont uni leurs voix à celles de Geoff Molson, Serge Savard et Larry Robinson pour rendre un hommage bien senti à Guy Lapointe.

Trente-trois ans après son dernier match à Montréal, Pointu recevait finalement son dû en entrant officiellement dans le cercle restreint des légendes du Canadien. Mieux vaut tard que jamais!

Guy Lapointe a versé quelques larmes quand son numéro 5 a été hissé au plafond du Centre Bell.

Guy Lapointe a versé quelques larmes quand son numéro 5 a été hissé au plafond du Centre Bell.

L’ancien numéro 5 savait un peu à quoi s’attendre quand il a pris la route du Centre Bell avec sa belle Louise et les autres membres de sa famille, mais il n’a pu contenir quelques larmes lorsqu’il a vu sa banderolle être hissée entre celles des deux autres membres du Big 3. «L’hommage ultime, a-t-il dit. C’est plus fort qu’un septième match de la coupe Stanley».

Invité à s’adresser à la foule, Pointu a choisi les bons mots et n’a oublié PERSONNE, en particulier son père Gérard, son frère Pierre et Claude (Piton) Ruel, son ancien professeur sur la patinoire du Forum. «J’étais plus à l’aise dans mes patins que je le suis présentement dans mes souliers, a-t-il avoué. Ce soir, c’est vous tous qui me jouez un vilain tour».

Les échos de la soirée

  • Avant les cérémonies officielles, GUY LAPOINTE a été l’objet d’une fête privée dans un des salons du Centre Bell. On y avait invité plusieurs anciens joueurs et leurs conjointes, une poignée de journalistes (dont votre humble serviteur), et quelques membres de l’organisation. Comme toujours, le Canadien a fait les choses avec BEAUCOUP DE CLASSE. Un festin bien arrosé avec une ribambelle de souvenirs.
  • YVAN COURNOYER est arrivé de Toronto juste à temps pour participer à la fête. Il pète le feu.
  • SERGE SAVARD ne s’est pas fait prier pour encenser son ancien compagnon de jeu. Il a comparé son esprit d’équipe à celui du grand JEAN BÉLIVEAU avant de rappeler ses nombreux exploits sur la patinoire.
  • L’équipe de MICHEL THERRIEN a participé au succès de la fête en battant le Wild du Minnesota 4 à 1. Cette fois, c’est le trio de BRANDON PRUST, Lars Eller et Jiri Sekac qui a fait la différence. Prust a joué son meilleur match de la jeune saison.

    Brandon Prust a joué son meilleur match de la jeune saison.

    Brandon Prust a joué son meilleur match de la jeune saison.

  • CHRISTIAN BORDELEAU profite d’une retraite bien méritée après avoir été recruteur de la LNH durant plusieurs années. Il visitera les plus beaux parcours de golf de l’Arizona après les Fêtes.
  • JANET ROBINSON, la charmante épouse du grand Larry, adore la région de SAN JOSE. Les Robinson ont une fille de 37 ans qui vit à Los Angeles.
  • GUY LAPOINTE ne comprend pas que certains joueurs FRANCOPHONES refusent de porter les couleurs du Canadien. «Ils ne savent pas ce qu’ils manquent, a-t-il dit. Si j’avais commencé ma carrière dans une autre organisation, je serais venu ici en courant si j’en avais eu la chance».
  • DICK IRVIN Jr., âgé de 82 ans, est toujours membre au club de golf Beaconsfield. Il a décrit des centaines de matchs du CH à la radio et à la télévision.
  • GUY LAFLEUR n’a pu participer à la soirée. Par la magie du vidéo, il a déclaré: «Pointu était un leader sur la patinoire et dans le vestiaire. De plus, il détestait la défaite».
  • KEN DRYDEN, également absent, a ajouté: «Guy était si bon patineur et il avait un tir si dévastateur qu’il pouvait changer l’allure du match à lui seul. Il avait aussi le don de mettre du fun dans notre métier».
  • En apercevant GUY ÉMOND avec son chapeau à la Crocodile Dundee, LARRY ROBINSON a déclaré: «Est-ce qu’Elvis a quitté la bâtisse?»
  • PAT QUINN, ex-entraîneur des Flyers, des Canucks et des Maple Leafs, est TRÈS MALADE.
  • THOMAS VANEK est encore habile pour passer la rondelle, mais il n’est pas plus vaillant qu’il l’était à Montréal.
  • D’autres échos dans une prochaine chronique.

Le mot d’humour

Pierre Bouchard: «Yvon Lambert célèbre encore son fameux but en 1979. Il a plus peur du réchauffement de la canette que du réchauffement de la planète!»

Une grande équipe + trois super défenseurs

La première «table d’hôte» animée par Pierre Houde à l’Auberge Saint-Gabriel est peut-être la meilleure émission réalisée par RDS durant les 25 dernières années.

Pas de«fling flang». Des questions précises et des réponses solides. Voici les commentaires que je retiens:

RÉJEAN HOULE: «Nous avions une grande équipe durant les années 1970, mais nous n’aurions jamais connu autant de succès sans la contribution du BIG 3. Serge, Larry et Pointu ont fait la différence parce qu’ils nous mettaient en confiance et qu’ils était tous les trois capables de relancer l’attaque efficacement».

SERGE SAVARD: «À cause des Broad Street Bullies, nous avons vécu la période noire du hockey. La majorité des équipes étaient armées jusqu’aux dents. Notre victoire en 1976 (en quatre parties) est la meilleure chose qui soit arrivée au hockey. Ed Snider (propriétaire des Flyers) m’en veut encore pour cette déclaration».

pierreBouchard

PIERRE BOUCHARD (toujours aussi drôle): «Pointu me disait de lui donner la rondelle le plus vite possible. Donc, je la lui donnais à 19h.30 et il me la remettait à 22h.30!… Moi aussi, j’ai eu le bonheur de voir mon chandail être retiré. Le seul problème, c’est que je l’avais encore sur le dos!»

GUY LAPOINTE: «Nous avons joué pour une grande organisation, mais ce n’était pas facile de négocier avec Sam Pollock. J’ai failli aller jouer dans l’Association mondiale (avec les Nordiques), mais ils n’ont pas assuré mon contrat et je suis resté à Montréal. J’aurais commis une erreur si j’étais parti».

RÉJEAN HOULE: «Quand j’ai décidé d’aller jouer à Québec, j’ai quadruplé mon salaire, passant de 25 000$ à 100 000$ par année. Je n’avais pas vraiment le choix, mais ça me faisait de la peine de quitter le Canadien. Heureusement, j’ai eu la chance de revenir à Montréal trois ans plus tard».

SERGE SAVARD: «Les joueurs des années 1970 n’étaient pas des imbéciles. La majorité d’entre eux ont bien réussi dans la vie dans des domaines très différents. Je me considère privilégié d’avoir joué avec Larry et avec Pointu, deux défenseurs super talentueux. Lorsque Larry est arrivé à Montréal, cela a été pour moi comme une bouffée d’air frais».

Guy Lapointe n'oubliera jamais sa première conquête de la coupe Stanley à Chicago.

Guy Lapointe n’oubliera jamais sa première conquête de la coupe Stanley à Chicago.

GUY LAPOINTE: «Je n’oublierai jamais notre victoire à Chicago en 1971. L’histoire aurait probablement été différente si Bobby Hull n’avait pas frappé la barre horizontale avec un boulet de canon alors que les Blackhawks menaient 2-0. Lemaire a ensuite marqué sur un tir de 90 pieds, puis Henri Richard a inscrit le but égalisateur et le but gagnant. Dans le vieux stade de Chicago, on aurait dit que les aiguilles du cadran ne bougeaient pas. Les dernières minutes étaient très longues».

RÉJEAN HOULE: «J’aurais aimé avoir plus d’expérience quand on m’a demandé de chausser les souliers de Serge comme directeur général».

SERGE SAVARD: «Durant les années 1970, Guy Lafleur était le meilleur joueur de toute la ligue. Il était notre «bread and butter». Il était donc normal qu’on le protège le mieux possible».

GUY LAPOINTE: «J’ai été très ému lorsque Réjean (Houle) et Geoff Molson se sont présentés chez moi pour m’annoncer la nouvelle. Le retrait de mon chandail dépasse mes plus grands rêves. C’est un honneur que je veux partager avec mes anciens coéquipiers, Claude Ruel et toute ma famille».

 

Robinson: «C’était pas juste le Big 3»

Dans la vaste campagne de North Hatley, la fanfare des corneilles bat son plein. Comme si elles voulaient m’avertir que l’hiver approche à grands pas.

Inutile de crier, mesdames, chu au courant!

À la radio anglophone, Larry Robinson parle de son nouveau livre (The Great Defender) et de ses belles années avec les Glorieux. Il est facile de voir que Montréal occupe encore une place très spéciale dans son coeur.

Larry Robinson a complété sa carrière avec un différentiel de «plus 730».

Larry Robinson a complété sa carrière avec un différentiel de «plus 730».

Le grand Larry sera au Centre Bell samedi pour célébrer le retrait du chandail de Guy Lapointe. Il en profitera pour renouer avec plein d’amis avant de retourner en Californie où il est entraîneur-adjoint chez les Sharks de San Jose.

Vous devez vous douter qu’il est très content pour son ami Pointu. Même qu’il se demande pourquoi il a dû attendre aussi longtemps pour être consacré parmi les légendes du CH.

«J’ai beaucoup appris en jouant avec Guy, dit-il. Il avait le don de mettre du fun dans la partie. Sans prétention, j’aime croire que le Big 3 était pas mal bon et je n’ose pas penser au salaire que nous pourrions toucher dans le hockey d’aujourd’hui».

À ce sujet, il ajoute: «Les championnats des années 1970 n’étaient pas juste l’affaire du Big 3. Il y avait aussi Ken Dryden qui nous gardait dans la partie jusqu’à ce qu’on se mette en marche, Flower, Shutt, Coco, le grand Pete et une foule de bons acteurs de soutien: Risebrough, Tremblay, Lambert, Butch, Jarvis, Gainey, Chartraw, Nyrop, Engblom, Bunny Larocque… Nous avions plusieurs gars capables de jeter les gants et nous pouvions battre nos adversaires de toutes les façons».

Une équipe comme on en verra jamais plus!

Un nouveau jeu

En conversation avec son ami Mitch Melnyk, Robinson a aussi parlé de son furieux combat contre Dave Schultz, du balayage contre les Flyers en 1976 et de sa coupe Stanley comme entraîneur des Devils en 2000.

Savard, Lapointe et Robinson: un trio extraordinaire.

Savard, Lapointe et Robinson: un trio extraordinaire.

Il n’aime pas entendre dire que les joueurs de son époque n’étaient pas rapides. Le jeu était tout simplement différent. On pouvait alors se servir de son bâton pour ralentir l’adversaire. Aujourd’hui, il n’y a plus de ligne rouge et il est défendu de de frôler son rival avec la palette de son bâton.

Larry aurait aimé revenir à Montréal et travailler derrière le banc du Canadien. Il en a discuté avec Marc Bergevin, mais il a été victime d’une inondation en Floride et le «timing» n’était pas bon. Il a finalement repris la route de San Jose.

Depuis quelques années, les Sharks sont parmi les clubs favoris pour gagner la coupe Stanley, mais ça n’arrive jamais. Le printemps dernier, ils ont été éliminés par les Kings au premier tour après avoir pris une avance de trois parties à zéro. Ils ont ensuite vu les Kings se sauver avec les grands honneurs.

«Je pensais bien que c’était notre année, mais le vent a tourné. Dans la cinquième partie, nous avons raté quatre filets ouverts. Si nous avions gagné cette partie… J’ai toujours pensé qu’il faut avoir la chance de son bord pour gagner la coupe», conclut-il.

Samedi Express

  • MICHELLE THERRIEN, porte-parole de H. Grégoire, a finalement perdu sa bataille contre le grand C. Elle n’avait que 50 ans. Sympathies à la famille.

    Le Montréalais Marco Scandella est une valeur sûre à la ligne bleue pour le Wild du Minnesota.

    Le Montréalais Marco Scandella est une valeur sûre à la ligne bleue pour le Wild du Minnesota.

  • MARIO SCANDELLA, du Wild du Minnesota, est un bel exemple de PERSÉVÉRANCE. Il a fait ses classes à VAL-D’OR et avec les Aeros de HOUSTON. Il a 24 ans.
  • PABLO SANDOVAL se dit prêt à rester à SAN FRANCISCO si on lui donne un contrat de six ans.
  • YVAN COURNOYER au sujet de son ami Pointu: «Un joueur exceptionnel et une formidable personne». Ça dit tout!
  • Les ALOUETTES s’en vont à Hamilton pour s’assurer le premier rang de leur section, mais ils sont attendus de pied ferme par les Ti-Cats.
  • JEAN MORIN, propriétaire du club Les Légendes à Saint-Luc, a non seulement visité PEBBLE BEACH, mais il a joué une ronde de 74. Bravo!
  • BERNARD BRISSET a aidé Guy Lapointe dans la préparation de son discours. Les deux hommes sont des amis de longue date.
  • Prompt rétablissement à ELIO DiNARDO, ancien vice-président de la Ligue des Sages à Saint-Léonard. Elio vit maintenant à BLAINVILLE.
  • KEN DRYDEN ne pourra assister à la fête en l’honneur de GUY LAPOINTE, mais il sera au club de golf LE MIRAGE mercredi prochain pour son intronisation au Panthéon des sports du Québec.

    Antoine L'Estage (àdroite) et Alan Ockwell ont enlevé le championnat nord-américain de rallye automobile sur les pneus Yokohama.

    Antoine L’Estage (à droite) et Alan Ockwell ont enlevé le championnat nord-américain de rallye automobile sur les pneus Yokohama.

  • ANTOINE L’ESTAGE a gagné le rallye Rocky Mountain en Colombie-Britannique, s’assurant ainsi le championnat nord-américain pour la 7e fois. Il faisait équipe avec l’Ontarien ALAN OCKWELL.
  • RÉJEAN HOULE: «Guy Lapointe avait le don de se lancer à l’attaque au moment propice. Il avait un puissant tir et il ratait rarement la cible».
  • LARRY ROBINSON est un grand amateur de baseball. Il a été très déçu par le départ des EXPOS en 2004.
  • RÉJEAN GARDNER, sportif de Drummondville, a vendu sa TAVERNE DU BOULEVARD à Luc B. Laplante, de Sherbrooke. Ce dernier possède aussi le resto-bar STANLEY dans la Ville reine des Cantons de l’Est.
  • Le parcours de BERNARD HOPKINS est incomparable. Samedi soir, le boxeur de 49 ans se frotte au Russe Kovalev à Atlantic City.
  • Les funérailles de CONNIE DION auront lieu lundi (11h.) en l’église Saint-Isaac-Jogues, à ASBESTOS.
  • JEAN-CLAUDE GAGNÉ, du club Milby, porte fièrement le chandail de PATRICK KANE.
  • TOM BRADY est le seul quart-arrière qui présente une fiche d’au moins ,500 contre toutes les équipes de la NFL.
  • L’ancien journaliste sportif GILLES TERROUX a joué 350 rondes de golf durant les trois dernières années. Qui dit mieux?
  • Dèjà 25 ans depuis la chute du MUR DE BERLIN…
  • STEVEN WOODBURN, un vétéran du hockey, dirige les Montagnards de SAINTE-AGATHE.

Le mot d’humour

Bonjour, mademoiselle. J’ai 46 ans, je suis député et je suis un honnête homme.

– «Bonjour, monsieur. J’ai 32 ans, je suis prostituée et je suis vierge».