RDS et la Ligue du Vieux Poêle

En passant

  • Je suis personnellement très content de la nouvelle entente de 12 ans entre RDS et le club de hockey CANADIEN. La compétition, c’est bon pour tout le monde. Je ne connais pas encore le PRIX PAYÉ, mais je sais que GERRY FRAPPIER a eu droit à une longue ovation quand il a annoncé la bonne nouvelle à ses employés.

    Gerry Frappier a été longuement ovationné quand il a appris la bonne nouvelle à ses employés.

    Gerry Frappier a été longuement ovationné quand il a appris la bonne nouvelle à ses employés.

  • Le nouveau club de la LIGUE DU VIEUX POÊLE a tenu son repas de Noël au resto-bar Pilsen de North Hatley. ANDRÉ MALTAIS, qui est en train d’écrire un livre sur son mentor JULES HUOT, a profité des agapes pour discuter de golf avec MAX G. OXFORD, ex-directeur des ventes chez Titleist Canada, RUSS CAMPBELL, ancien représentant de la compagnie Fletcher, et ROGER H. LEGAULT, du club Venise.
  • Parmi les gais lurons, il y avait aussi YVAN VANIER, as golfeur de Mirabel, JEAN-CLAUDE GAGNÉ, professeur à la retraite, MARC GRENIER, ancien patron du club Royal Québec, FERNAND FAUCHER, du club North Hatley, mon frère RICHARD, nouveau résident de Sherbrooke, de même que les journalistes DENIS MESSIER et MARIO BRISEBOIS. Les anecdotes fusaient de tous les coins de la table.
  • Le trophée du GENTILHOMME DE L’ANNÉE a été présenté à GEORGES ZAOR, le membre le plus silencieux de la Ligue du Vieux Poële. C’est son premier trophée depuis belle lurette!

    André Maltais est en train d'écrire un livre sur le regretté Jules Huot. (Photo lerefletdulac.com)

    André Maltais est en train d’écrire un livre sur le regretté Jules Huot. (Photo lerefletdulac.com)

  • ROGER LEGAULT peut se vanter d’avoir réussi NEUF trous d’un coup durant sa longue carrière de golfeur. Quant à MARC GRENIER, il a réussi deux ALBATROS.
  • Tout le monde a apprécié le service offert par FRED LANDRY, associé de PAT LAJOIE au Pilsen.
  • Plus tard dans la journée, je suis allé voir mon vieux copain BOB MARTIMBEAULT à Magog. Bob a éprouvé des problèmes de santé durant les dernières années, mais son moral est excellent. Il en avait long à nous raconter sur carrière comme joueur de hockey à DRUMMONDVILLE et ses belles années dans le monde de la restauration à L’AUBERGE ORFORD.

    Bob Martimbeault, de Magog, a eu une vie bien remplie. Personne n'a oublié l'époque où il dirigeait l'Auberge Orford avec sa chère Thérèse.

    Bob Martimbeault, de Magog, a eu une vie bien remplie. Personne n’a oublié l’époque où il dirigeait l’Auberge Orford avec sa chère Thérèse. (Photo lerefletdulac.com)

  • Durant sa jeunesse, Bob aussi travaillé pour le Service de marketing des NORDIQUES de Québec. Comme tout le monde, il aimerait revivre la rivalité Canadien-Nordiques, mais il doute que le marché de QUÉBEC soit suffisamment solide économiquement pour faire vivre une équipe de la Ligue nationale.
  • Le mot LOYAUTÉ existe-t-il encore dans le vocabulaire de MICHEL BERGERON?
  • MARC-ANDRÉ LANDRY, d’Abitibi Express, est en deuil de son papa. Mes condoléances à toute la famille.
  • La golfeuse MAUDE-AIMÉE LEBLANC confie la gérance de sa carrière à Sterling Sports Management. Mieux vaut tard que jamais!
  • On a déjà vendu beaucoup de billets pour le CHAMPIONNAT DE QUÉBEC qui aura lieu au club La Tempête en septembre 2014. Avec JACQUES TANGUAY comme président, ce tournoi sera couronné d’un grand succès.
  • La Fondation ROCK-GUERTIN a distribué plus de 2000 paniers de Noël aux familles défavorisées de la région de SHERBROOKE. Bravo aux 250 bénévoles.

Le mot d’humour

Un vieux monsieur est assis sur un banc public et pleure à chaudes larmes. Quand on lui demande pourquoi, il répond: «J’ai une super belle femme à la maison. Elle n’a que 30 ans et me fait l’amour à tous les jours dans toutes les pièces de la maison. Pourquoi je pleure comme ça? Je ne me souviens plus où j’habite».

Le talent ne suffit pas toujours

Après 21 ans de loyaux services, Christian Bordeleau en est à ses derniers milles comme recruteur pour la Ligue nationale de hockey. À 66 ans, le moment est venu de passer à autre chose. Il aura maintenant tout son temps pour pratiquer son nouveau sport de prédilection, le vélo, lequel lui permet de rester en grande forme.

L’ancien joueur de centre du Canadien, des Blues, des Nordiques et des Jets de Winnipeg a visité tous les  coins de l’Amérique à la recherche de talent et il en a vu de toutes les couleurs.

Christian Bordeleau en a vu de toutes les couleurs durant sa longue carrière dans le hockey.

Christian Bordeleau en a vu de toutes les couleurs durant sa longue carrière dans le hockey.

«Lorsque tu vois un jeune comme Connor McDavid, tu es presque certain qu’il va devenir un joueur étoile dans la Ligue nationale, dit-il. C’était la même chose pour un Gilbert Perreault, un Marcel Dionne ou un Guy Lafleur. Il faut cependant savoir que le talent ne suffit pas toujours à gravir les échelons. Il faut également avoir la volonté de réussir et la capacité de franchir les obstacles. J’ai vu des jeunes qui avaient un talent fou et qui n’ont jamais atteint la grande ligue».

Bordeleau cite en exemple Maurice Saint-Jacques, de Rouyn-Noranda. Durant sa jeunesse, «Moe» était de loin le meilleur joueur de son patelin, mais il n’a pas réussi surmonter les obstacles pour faire sa marque chez les professionnels. C’est la partie «intangible» qui a fait toute la différence.

Hull et Mikita

Durant sa carrière, Bordeleau a eu la chance de jouer avec et contre de très grands joueurs. Il place Bobby Orr dans une classe à part, mais il parle aussi avec enthousiasme de Stan Mikita et de Bobby Hull.

«Le talent, ça ne s’enseigne pas, dit-il. Bobby Orr est né pour être un joueur de hockey comme Tiger Woods est né pour jouer au golf ou Tom Brady au football. Hull et Mikita sont dans le même bateau. Le premier possédait un physique exceptionnel et une force herculéenne tandis que Mikita était super intelligent avec la rondelle».

Bordeleau est persuadé qu’il ne sert à rien de comparer le hockey d’aujourd’hui avec celui de son époque ou même celui des années 1990.

Bobby Hull et Stan Mikita: des joueurs comme il ne s'en fait plus.

Bobby Hull et Stan Mikita: des joueurs comme il ne s’en fait plus.

«Les joueurs sont tellement plus gros, plus rapides et plus en forme que dans mon temps, dit-il. Ils s’entraînent 12 mois par année. Il y a aussi l’équipement qui est beaucoup plus léger et sophistiqué. En revanche, je dois dire que je n’aime pas toujours ce que je vois sur la patinoire. Sans ligne rouge, les joueurs de défense deviennent vulnérables et plusieurs d’entre eux ne savent pas comment se protéger pour éviter les blessures. Qui plus est, il me semble que les joueurs pourraient se respecter davantage».

C’est toute la saga des coups vicieux à angle mort et des charges par derrière. Dieu sait quand la Ligue nationale parviendra à forcer ses joueurs à jouer à l’intérieur des limites permises.

Écoles pour entraîneurs

Enfin, Bordeleau est d’avis que notre hockey mineur se porterait mieux si on créait des écoles pour les entraîneurs, comme on le fait en Europe. Ces derniers pourraient ensuite faire profiter les jeunes de leurs connaissances accrues.

Cette suggestion rejoint celle que formulait jadis Jean Trottier, fondateur du Comité des Jeunes de Rosemont. Pourquoi ne pas embaucher des hommes de hockey dans le style de Jacques Lemaire pour faire avancer notre hockey mineur?

Le message est lancé à Sylvain Lalonde et à ses lieutenants.

La Java du jeudi

  • HUGO BERNARD, champion provincial de golf amateur, terminera ses études collégiales au Cegep ANDRÉ-LAURENDEAU avant de poursuivre son apprentissage avec l’équipe de l’Université SOUTH FLORIDA, à Tampa Bay. Le grand gaucher est originaire de GASPÉ et il habite à Mont Saint-Hilaire. Il cogne régulièrement la balle à plus de 300 verges. Il a deux rêves dans le golf: le circuit de la PGA et les Jeux olympiques.

    Hugo Bernard portera les couleurs de l'Université South Florida à compter de septembre 2014.

    Hugo Bernard portera les couleurs de l’Université South Florida à compter de septembre 2014.

  • NORMAND MEUNIER et son ami PATRICK LAMPRON s’ajoutent au personnel du Viking de TROIS-RIVIÈRES (hockey senior). Normand sera gouverneur et directeur hockey tandis que Patrick agira comme entraîneur-adjoint.
  • ANDRÉ SAVARD, ancien joueur des Bruins, des Sabres et des Nordiques, était de passage au Centre Bell, mardi soir. Avant le début du match, il avait quelques anecdotes à raconter, dont sa défaite aux poings contre un certain IVAN BOLDIREV, des Blackhawks, au milieu des années 1970. Il se souvient aussi d’avoir jeté les gants contre le très rude JOHN WENSINK, des Royals de Cornwall.
  • Ancien patron du club Godefroy et de la Vallée du Parc, le Mauricien MICHEL LAFRENIÈRE a reçu un nouveau mandat comme directeur exécutif de l’Association provinciale des gérants de club de golf. Il fera équipe avec BERNARD VAILLANCOURT (nouveau président), MARC GÉLINAS (Rosemère), PATRICE FORCIER (Vallée du Richelieu), LOUIS-PHILIPPE DESJARDINS (Mont-Bruno), LOUIS LAROSE (Godefroy), STÉPHANE MALTAIS (Berthier), PASCAL SIMARD (Saguenay) et CHRISTIAN HAMEL (président ex-officio).
  • C’est rendu que je trouve qu’il fait CHAUD lorsque le mercure grimpe à -8 Celsius!
  • GUY CHAMPOUX, de Ville-Marie, soutient que CHRIS CHELIOS était supérieur à P.K. Subban au même âge. Une chose est certaine: SERGE SAVARD a frappé un noeud quand il a échangé Chelios aux Blackhawks en retour de DENIS SAVARD.
  • Les premiers CONDOS DU GOLF seront construits à Sainte-Victoire-de-Sorel au printemps 2014. À deux pas du club CONTINENTAL.
  • RAYMOND LABROSSE, du Journal de Montréal, est en train de s’installer dans son nouveau chalet des Laurentides.
  • J’ai été surpris d’apprendre que NORMAND GRATTON était décédé en 2010. Norm a gagné deux coupes Memorial avec le CANADIEN JUNIOR à la fin des années 1960 et il était le frère de l’ex-gardien de but GILLES GRATTON.

Le mot d’humour

Qu’est-ce qu’un taureau avec un string?

-Une vache folle!

Brière: ni mieux, ni pire que Gionta

Confortablement assis dans ma vieille Lexus, je roule en pleine campagne sur des routes enneigées. J’ai tout mon temps pour écouter la radio et admirer les vastes paysages des Cantons de l’Est. Le lundi, c’est la journée idéale pour faire son shopping et mettre de l’ordre dans ses papiers.

Entre 100 chansons de Noël (toujours les mêmes), je pitonne pour saisir les commentaires de mes collègues anglophones sur les ondes de 690. Comme je m’y attendais, ils n’ont pas de louanges à faire à Marc Bergevin, à Michel Therrien et aux joueurs du Bleu Blanc Rouge.

Daniel Brière n'arrive pas à justifier son riche contrat.

Daniel Brière n’arrive pas à justifier son riche contrat.

À Montréal, il suffit de trois ou quatre mauvais matchs pour qu’on se paye la tête des dirigeants et des patineurs du Centre Bell. Paraît-il qu’on est toujours plus exigeant pour ceux qu’on aime.

Cette fois, c’est la tête de Daniel Brière qui est mise à prix. Il faut dire que son rendement depuis le début du calendrier a de quoi faire jaser. Trimbalé d’un trio à l’autre, l’athlète de Gatineau n’arrive pas à justifier son gros contrat. Il est trop souvent invisible sur la patinoire. Aux yeux de plusieurs, sa carrière tire à sa fin et Bergervin a commis une grave erreur en l’attirant à Montréal.

Les prochaines semaines devraient nous dire si Brière a encore un peu d’essence dans le réservoir ou s’il est vraiment au bout du rouleau. Jusqu’ici, il n’a créé que déception.

On peut s’acharner sur Brière si on veut. La critique fait partie de la vie d’un joueur professionnel. À cela, j’ajouterai que le jeu du capitaine Brian Gionta n’est guère plus reluisant. Comme chef de file, on a vu mieux.

Gionta joue du bout de la palette, tourne en rond et ne provoque absolument rien. Il ressemble de plus en plus à Scott Gomez.

Les déboires de Brière et de Gionta, ajoutés à ceux de Desharnais il n’y a pas si longtemps, donnent raison à ceux qui affirment que le Canadien ne gagnera pas grand chose avec des attaquants aussi frêles. Marc Bergevin le sait. Il tente d’acheter du temps, mais il se retrouve dans une position difficile. Quant à Therrien, il peut presser le citron, mais jusqu’à un certain point.

Cela mis à part, tout va très bien, madame la Marquise!

Mardi Express

  • LUCIEN DEBLOIS, recruteur des Canucks, a vu jouer le jeune CONNOR McDAVID une couple de fois et il a lui aussi une très haute opinion de ce joueur exceptionel. «Même s’il n’a qu 16 ans, il est déjà plus grand et plus gros que SIDNEY CROSBY, dit-il. Il est un joueur complet avec un solide coup de patin, de très bonnes mains et une excellente vision du jeu. Je suis convaincu qu’il participera au prochain championnat mondial avec Équipe Canada Junior et qu’il sera un PREMIER CHOIX à la séance de repêchage de 2015».

    Connor McDavid: un talent exceptionnel.

    Connor McDavid: un talent exceptionnel.

  • Les SAGUENÉENS sont prêts à échanger CHARLES HUDON afin d’améliorer leur équipe en vue du tournoi de la coupe Memorial 2015, mais ils vont se montrer exigeants.
  • MILAN LUCIC vient de vivre une mauvaise expérience dans sa ville natale. Il dit qu’on ne l’y reprendra plus.
  • GEORGE PARROS voudrait bien continuer à pratiquer son sale métier, mais il ferait mieux d’abandonner avant qu’il soit trop tard. Après un certain nombre de commotions cérébrales, les dommages sont irréparables.
  • Au Colorado, le Canadien JUSTIN MORNEAU aura pour mission de faire oublier le vétéran TODD HELTON, maintenant à la retraite. Il touchera environ 12M$ durant les deux prochaines années.
  • TOM BRADY: «Il faut vivre avec les blessures. Personne ne va prendre notre équipe en pitié».
  • JACOBY ELLSBURY avait des millions de raisons d’enfiler la casquette des Yankees. Un traitre? On aurait fait quoi à sa place?
  • STEVEN MERCIER, des Huskies, s’est blessé à une cheville, voyant ainsi sa série de matchs consécutifs s’arrêter à 156.
  • ÉRIC DESJARDINS, ex-défenseur du Canadien et des Flyers, vous invite à lui rendre visite au Pub Urbain de SAINT-SAUVEUR.
  • Les EXPOS sont la seule équipe du baseball majeur à avoir déménagé dans une autre ville (Washington) depuis 1972.

Le mot d’humour

Un député au parlement britannique: «Monsieur Churchill serait-il en train de dormir pendant que je parle?»

Et Churchill de répliquer: «Si seulement je pouvais!»

Fricassée du lundi

En passant

  • MICHEL THERRIEN dit que ses joueurs sont «vidés» parce qu’ils ont joué beaucoup de matchs durant les dernières semaines. N’est-ce pas le lot de toutes les équipes en cette année olympique? N’en déplaise à ses partisans, le Canadien traverse une très MAUVAISE PÉRIODE et son rendement durant la dernière semaine a été tout simplement AFFREUX. Jusqu’à preuve du contraire, cette équipe est encore pas mal FRAGILE.

    Michel Therrien n'a pas de quoi être très fier de son équipe depuis une semaine.

    Michel Therrien n’a pas de quoi être très fier de son équipe depuis une semaine.

  • Mardi soir, le Tricolore reçoit la visite des COYOTES, puis il prendra la route jusqu’au 2 janvier, visitant tour à tour Saint-Louis, Nashville, Tampa Bay, Miami, Raleigh et Dallas. L’équipe profitera toutefois de cinq jours de repos entre le 22 et le 27 décembre.
  • Avez-vous vu le ralliement des PACKERS à Arlington? Tirant de l’arrière par 23 points à la demie, ils ont marqué cinq touchés pour arracher la victoire aux Cowboys devant une foule incrédule. Le réserviste MATT FLYNN s’est comporté comme Aaron Rodgers en lançant quatre passes de touché. TONY ROMO a trouvé le moyen de subir deux interceptions en fin de partie et DEZ BRYANT, si talentueux soit-il, a quitté le banc de son équipe avant la fin de la rencontre.
  • On a rendu un hommage posthume à MAURICE (Mad Dog) VACHON à la Cage aux Sports de la PLACE VERSAILLES. La soirée était organisée par PAT LAPRADE. Parmi les invités, il y avait PAUL LEDUC, Guy et Paul Vachon, Michel Longtin, Bert Hébert, Yves Thériault et le barbier Ménick.

    Jacques Proulx a marqué l'histoire de la radio au Québec. (photo 985fm.com)

    Jacques Proulx a marqué l’histoire de la radio au Québec. (photo 985fm.com)

  • En apprenant la mort de JACQUES PROULX, en fin de semaine, CLAUDE QUENNEVILLE a écrit sur Facebook: «Lorsque j’ai pris ma retraite, il y a deux ans, Jacques a été le premier à téléphoner pour prendre de mes nouvelles. Je garde le souvenir d’un homme chaleureux, brillant et attachant. Jacques Proulx a marqué l’histoire de la radio au Québec. On vient de perdre un grand communicateur».
  • PAUL HOUDE en est un autre qui voue le plus grand respect à son ancien mentor à CKAC. «Jacques Proulx est dans la même classe que ROGER BAULU, Réal Giguère et Serge Bélair», dit-il.
  • SERGIO GARCIA vient de gagner un tournoi en Thaïlande avec sa blonde comme caddie. Ce gars-là aurait dû gagner deux ou trois tournois majeurs, mais son «putter» n’a jamais voulu coopérer. S’il avait battu PADRAIG HARRINGTON à Carnoustie en 2007, peut-être que l’histoire aurait été différente.
  • JEAN-FRANÇOIS PLANTE est la surprise de l’année chez le PHOENIX de Sherbrooke: 29 buts en autant de matchs.
  • Magnifique reportage sur LE MONT SAINT-MICHEL, dimanche, à TV5. Entre ciel et mer, le rocher sacré est plus majestueux que jamais. J’y suis allé en 1989 et j’y retournerais demain matin.
  • QUINZE matchs de suspension à SHAWN THORNTON pour son attaque aux dépens de BROOKS ORPIK. C’est un pas dans la bonne direction. Le joueur des Bruins perdra 84 615$ en salaire. BRENDAN SHANAHAN devra imposer d’autres suspensions du genre s’il veut ramener les joueurs à la raison.
  • L’Académie de golf de FRED COLGAN a fêté ses 20 ans à QUÉBEC. Fred a formé plusieurs champions et c’est pas fini.
  • MARTIN BRODEUR a enregistré son 124e jeu blanc dans un gain de 3-0 contre Tampa Bay. Ce record ne sera JAMAIS BATTU.
  • Selon Pierre Durocher, ANTHONY CALVILLO confirmera sa retraite à la mi-janvier.
  • ALEX OVECHKIN a marqué 51 buts à ses 54 dernières parties. Au rythme actuel, il terminera la saison avec 72 buts.
  • La prochaine victoire de TOM BRADY sera la 147e de sa carrière et il rejoindra DAN MARINO au quatrième rang.
  • LAURENCE D’ARABIE n’est plus. Ne fut-ce que pour ce rôle, PETER O’TOOLE aura marqué l’histoire du cinéma.

Le mot d’humour

Tu portes une médaille pour montrer que tu as du courage?

– Et puis après, du portes bien une alliance!