- ANDY PETTITE, ex-lanceur étoile des Yankees, 43 ans.
- WADE BOGGS, ancien joueur de 3e but des Red Sox, 57 ans.
- TIM LINCECUM, double vainqueur du trophée Cy Young, 31 ans.
- MARIO MORENCY, professionnel de golf à Fort Prével, 51 ans.
L’artilleur Tim Lincecum a aidé les Giants de San Francisco à gagner trois Séries mondiales.
- MARIO GOSSELIN, ex-gardien de but des Nordiques, 52 ans.
- DUSTY BAKER, ancien joueur des Dodgers et ancien gérant de plusieurs équipes, 66 ans.
- JOHNNY HALLYDAY, célèbre rocker français, 72 ans.
- MARIO DUROCHER, entraîneur des Foreurs de Val-d’Or, 52 ans.
- JUSTIN LEONARD, ex-vainqueur du British Open, 43 ans.
- BILLY WILLIAMS, ex-vedette des Cubs de Chicago, 77 ans.
- JESSE BELANGER, ancien joueur du CH et des Panthers, 46 ans.
- CEDRIC PIOLINE, champion de tennis, 46 ans.
- LANCE PARRISH, ancien receveur des Tigers, 59 ans.
- JEAN-MARC LALONDE, de Sun Media, 50 ans.
- RONALD VANASSE, de Piedmont, 70 ans.
- MARC JUNEAU, ancien joueur des Patriotes de Trois-Rivières, 59 ans.
- TY CLINE, ex-voltigeur des Expos, 76 ans.
- JEAN-FRANÇOIS LABBÉ, ex-gardien de but de la Ligue américaine, 43 ans.
- GAÉTAN LEROUX, constructeur de l’Estrie, 54 ans.
- ANDRÉ LEMOYNE, employé du Canadien au Centre Bell.
- MARIO DESROCHERS, ami FB.
- BRETT BUTLER, ancien des Dodgers, 58 ans.
- CLAUDE SYLVERSTRE, de Montréal.
- RONALD KAY, des JSH, 44 ans.
Le golfeur italien
C’est l’histoire de Giancarlo, un golfeur italien de 80 ans qui se présente chez le médecin pour un examen de routine.
Surpris de le voir en si grande forme, le docteur lui demande quel est le secret de sa jeunesse et de sa vitalité.
Giancarlo, le vieux golfeur italien.
– «Je suis Italien et je joue au golf à tous les jours, répond Giancarlo. Je me lève tôt et je me fais un devoir de marcher les 18 trous. De plus, à chaque jour je prends un bon verre de vin».
– Ça doit aider, mais il doit y avoir une autre raison. Quel âge avait votre père quand il est mort?
– «Qui vous a dit que mon père était mort? Il a 100 ans et il pète le feu. Il a d’ailleurs joué au golf avec moi ce matin. Ensuite, nous sommes allés au bistro de la plage et nous avons pris deux verres de rouge ensemble en surveillant les jolies femmes».
– Très bien, dit le docteur. Parlez-moi maintenant de votre grand-père. Quel âge il avait lorsqu’il est mort?
– «Qui vous a dit que mon grand-père était mort?»
– Mais quel âge a-t-il donc?
– «Il a 118 ans bien sonnés».
– Et je suppose qu’il a joué au golf avec vous autres ce matin?
– «Non, Pépé ne pouvait pas jouer ce matin parce qu’il se mariait».
– Se marier? Pourquoi un homme de 118 ans voudrait-il se marier?
– «Qui vous a dit qu’il voulait se marier? Il n’avait pas le choix, sa nouvelle blonde était enceinte!»
Encore Antoine!
Les Blackhawks peuvent gagner la coupe lundi soir
Même s’il n’est pas utilisé aussi souvent qu’il le voudrait, Antoine Vermette a le don de marquer de très gros buts pour les Blackhawks.
Samedi soir, le joueur de centre de Saint-Agapit a sauté sur un retour de lancer de Kris Versteeg en début de troisième période pour déjouer Ben Bishop et donner une victoire de 2-1 à son équipe sur la patinoire de Tampa. Pour l’ancien joueur des Sénateurs, des Blue Jackets et des Coyotes de l’Arizona, il s’agissait d’un deuxième but gagnant en finale et d’un troisième depuis le début des séries. Quelle acquisition pour les Éperviers Noirs!
Antoine Vermette: trois buts gagnants depuis le début des séries, dont deux en finale contre Tampa Bay.
Les Blackawks, en quête d’un troisième championnat en six ans, ont eu recours à leur profondeur et à leur vaste expérience pour disposer du Lightning et prendre les devants 3-2 dans la série. Lundi soir, ils auront l’occasion de gagner la coupe devant leur partisans pour la première fois depuis le 12 avril 1938.
En entrevue avec Scott Oake, de CBC, Vermette a déclaré: «Corey Crawford ne reçoit pas toujours le mérite qui lui appartient. Il a été encore une fois très solide ce soir. Nous avons beaucoup de respect pour nos adversaires et nous tentons de rester dans le moment présent. J’espérais que mon échange à Chicago produise de tels résultats».
Un peu plus tard, il a ajouté: «Je veux profiter de cette belle opportunité. Notre équipe est vraiment très spéciale. Je suis content de faire ma part, mais nous n’avons pas encore complété le boulot».
Les Blackhawks n’auraient peut-être pas gagné si Patrick Sharp n’avait pas profité d’un «cadeau» pour inscrire le premier but du match. Il a profité d’un manque de communication et d’une collision entre Bishop et le défenseur Victor Hedman pour loger la rondelle dans un filet désert et mettre un terme à une disette de 13 parties.
Un autre jeu-clé a été la collision survenue entre Corey Crawford et Nikita Kucherov. Ce dernier a frappé le poteau des buts dans sa chute et n’est pas revenu au jeu par la suite. «La perte de Kucherov nous a fait mal, a admis l’entraîneur Jon Cooper. Nous avons travaillé très fort ce soir. À part ce jeu bizarre, Bishop a été solide. Toutefois, nous avons marqué un seul but. Nous avons acquis beaucoup d’expérience depuis le début des séries. Nous sommes encore vivants et nous allons nous présenter à Chicago avec la ferme intention de tout donner pour remporter la victoire».
Comme d’habitude, Joel Quenneville a été peu bavard. Il a félicité Vermette pour son but avant de souligner l’excellent travail du défenseur Niklas Kjalmarsson et de ses joueurs de soutien (Versteeg, Taravainen, Kruger, Desjardins et cie).
Les Blackhawks savent quoi faire lorsque vient le temps de s’imposer et de fermer les livres. «Been there, done that» Depuis 2009, ils présentent une fiche de 42-14 après le match numéro 3. C’est du trois pour un!
De toute évidence, Chicago a maintenant le gros bout du bâton, mais la victoire finale n’est pas dans le sac. Il suffit de penser que les cinq premières parties ont été décidées par la marge d’un seul but. Fiez-vous à Quenneville pour le rappeler à ses joueurs durant les deux prochains jours.
«Deux belles équipes, a déclaré Ryan Callahan. Comme vous pouvez voir, la marge d’erreur est très mince. C’est le genre de hockey qui se pratique à ce temps-ci de l’année».
Il y aura de l’électricité dans l’air, lundi soir, au United Center.
Le mot d’humour
La maîtresse d’école présente un livre à son élève et lui dit: «On appelle cela de la lecture. C’est une nouvelle façon d’installer des logiciels dans ton cerveau».
Les anniversaires du dimanche 14 juin
En passant
- STEFFI GRAF, grande championne de tennis, 46 ans.
- ÉRIC DESJARDINS, ex-défenseur du CH et des Flyers, 46 ans.
- ERIC HEIDEN, roi de Lake Placid en patinage de vitesse, 57 ans.
- DON NEWCOMBE, ex-lanceur étoile des Dodgers, 89 ans.
Steffi a gagné 22 tournois du Grand Chelem avant d’épouser Andre Agassi.
- GILLES LACHANCE, champion de trot et amble, 62 ans.
- ISABELLE LAVOIE, ex-relationniste de la Brasserie Labatt.
- DONALD TRUMP, homme d’affaires newyorkais, 69 ans.
- PARKER MacDONALD, ancien des Red Wings, 82 ans.
- ANDREW COGLIANO, des Ducks d’Anaheim, 28 ans.
- SERGE FORTIN, ancien employé du Journal de Montréal, 72 ans.
- JOHN ELIAS, ex-lanceur des Cardinaux de Granby, 74 ans.
- GERALD McGRATH, ancien des Alouettes, 56 ans.
- YVES PRESTON, ancien du National Junior, 59 ans.
- GINETTE BUREAU, la belle écrivaine de Sherbrooke.
- BORIS ROUSSON, ancien du Titan de Laval, 45 ans.
- JACQUES DESJARDINS et GILLES PLOUFFE, de Sainte-Thérèse.
- SIMON et CHRISTIAN DEBLOIS, les jumeaux de Lucien Deblois, 35 ans.
- JAMES PATRICK, ancien des Rangers, 52 ans.
- PATRICE CORMIER, des Jets de Winnipeg, 25 ans.
- LUCIEN (Bébé) CHAGNON, ancien des Gaulois de Saint-Hyacinthe, 74 ans.
- GREG BROCK, ancien des Dodgers, 58 ans.
- YVES GAUDETTE, ancien lutteur, 84 ans.
- RANDY TOMLIN, ancien lanceur, 49 ans.
- DEAN HOWIE, sportif de la Rive-Sud.
- ROBERT DUGUAY, de Gatineau.
- ISABEL RICHER, comédienne, 49 ans.
- DENIS DESBIENS, du quartier Hochelaga.
- DANNY EDWARDS, vétéran de la PGA, 64 ans.
- JEAN LANDRY, des JSH.