Souvenirs du Boomer

En regardant le documentaire sur Bernard Geoffrion à RDS, plein de souvenirs me sont revenus en tête.

Comme tous les gens de mon âge, j’ai vu jouer Boom-Boom en noir et blanc, puis en couleurs chez les Rangers. En zone ennemie, il était quasiment aussi dangereux que Maurice Richard, le héros de son enfance. «Je possédais un très bon lancer, mais je n’aurais jamais connu une telle carrière si je n’avais pas joué avec Jean Béliveau, m’a-t-il souvent répété. Le Grand Jean savait réellement quoi faire avec une rondelle. T’avais juste à te placer au bon endroit et tu étais certain qu’il te l’enverrait sur le tape (ruban gommé)».

Bernard Geoffrion a porté fièrement les couleurs du CH de 1950 à 1964.

Bernard Geoffrion a porté fièrement les couleurs du CH de 1950 à 1964.

J’ai aussi vu Geoffrion faire le comique dans les pubs de Miller Lite avec Billy Martin, Dick Williams et d’autres grands noms du sport. Comme il avait le sens du spectacle, c’était pour lui un jeu d’enfant que de tourner ces commerciaux.

Le Boomer se défendait également assez bien comme chanteur. Il a même tourné un 45 tours, mais ça s’est arrêté là. Chanter sous la douche et en faire une carrière sont deux choses fort différentes. Mon ami Jacques B. Côté pourrait vous en parler longtemps…

Un dur coup

Geoffrion était un bon joueur d’équipe, mais il avait deux personnalités dans le vestiaire. «Il était «tout feu tout flamme» quand il vivait une heureuse période et il faisait la moue lorsqu’il traversait une léthargie», se souvient Gilles Tremblay.

Il a encaissé un dur coup le jour où ses coéquipiers lui ont préféré Jean Béliveau comme capitaine suite au départ de Doug Harvey pour New York (1961). Il n’en voulait pas à son ami Jean, mais il croyait que cet honneur lui revenait de plein droit après une dizaine d’années avec le Bleu Blanc Rouge. En bout de ligne, le vote a penché en faveur du Gros Bill.

Peu de gens s’en souviennent, mais Geoffrion a été entraîneur des As de Québec pendant deux ans. Parmi ses protégés, il y avait Doug Harvey et Gump Worsley. Semble-t-il que Frank Selke lui avait fait la promesse de diriger le Canadien après avoir fait ses classes dans la Vieille capitale, mais ça ne s’est pas produit. Frustré, le Boomer a choisi d’effectuer un retour au jeu avec les Rangers  et il s’est plutôt bien défendu après une absence prolongée.

Le Boomer a fait frémir de nombreux gardiens de but avec son puissant lancer frapper. Il pose ici avec la rondelle de son 270e but. Il en a marqué 393 en saison régulière et 58 dans les séries de la coupe Stanley.

Le Boomer a fait frémir de nombreux gardiens de but avec son puissant lancer frapper. Il pose ici avec la rondelle de son 270e but. Il en a marqué 393 en saison régulière et 58 autres dans les séries de la coupe Stanley.

Quelques années plus tard, il est devenu le premier entraîneur des Flames d’Atlanta. Il a travaillé fort pour populariser le hockey en Georgie, mais c’était une mission quasi impossible dans une région où le football, le baseball et le basketball avaient le haut du pavé.

En 1979, Irving Grundman, nouveau patron du Canadien, a décidé de faire appel à Geoffrion pour chausser les grands souliers de Scotty Bowman. Ken Dryden venait d’annoncer sa retraite, Jacques Lemaire prenait le chemin de la Suisse et Yvan Cournoyer était sur le point d’abandonner à cause d’un mal de dos chronique. Ce n’était plus la formidable équipe qui venait de se taper quatre conquêtes d’affilée.

Malgré toute sa bonne volonté, Geoffrion a tenu le coup pendant exactement 100 jours avant de remettre sa décision. La présence de son fils Danny dans l’alignement lui causait des maux de tête, mais ce n’était pas la seule raison. Le hockey était en pleine évolution et le Boomer était un homme d’une autre époque. C’est Claude Ruel qui a pris la relève pour le reste de la saison.

Beaucoup trop tard

Après sa courte aventure derrière le banc, Geoffrion est rentré à Marietta, en Georgie, pour jouer au golf et s’occuper de sa famille grandissante. De temps à autres, il venait faire un tour à Montréal. Il avait toujours des anecdotes intéressantes à nous raconter. Il lui arrivait aussi d’être de mauvais poil et d’attaquer certains journalistes.

Geoffrion consulte le Montréal-Matin avec Jean Béliveau après un match oz ils ont marqué trois buts chacun.

Geoffrion consulte le Montréal-Matin avec Jean Béliveau après un match où ils ont marqué trois buts chacun. (Archives du CH)

Les années ont passé jusqu’à ce qu’il soit victime du cancer. On avait peu souvent de ses nouvelles jusqu’à ce que le Canadien décide, 25 ans trop tard, de retirer son chandail numéro 5.

On a décidé d’attendre jusqu’au printemps 2005 pour que la cérémonie officielle coïncide avec la visite des Rangers. Tant et si bien que Geoffrion est mort le matin même où il devait être honoré. Heureusement, son épouse Marlene, ses enfants et ses petits-enfants ont pu être réunis sur la patinoire du Centre Bell pour une soirée très émotive. Son chandail flottait enfin près de celui de son beau-père Howie Morenz.

Lorsque je pense à Geoffrion, je pense surtout à trois choses: son slapshot, ses grimaces et sa joie de vivre. Y’en avait pas deux comme le Boom!

Les anniversaires du mercredi 12 novembre

En passant

  • JASON DAY, as golfeur de la PGA, 27 ans.
  • SAMMY SOSA, ex-puissant frappeur des Cubs de Chicago, 46 ans.
  • NADIA COMANECI, reine des Jeux olympiques de Montréal, 53 ans.
  • RENALD LECLERC, un des premiers joueurs des Nordiques, 67 ans.
  • DENIS DEJORDY, ex-gardien de but des Blackhawks, 76 ans.

    Jason Day: encore en quête de sa première victoire dans un tournoi majeur.

    Jason Day: encore en quête de sa première victoire dans un tournoi majeur de la PGA.

  • LUC GUÉRIN, alias Willie Lamothe, 55 ans.
  • JAKOB HLASEK, tennis, 50 ans.
  • MARK HUNTER, ancien joueur du Canadien, 52 ans.
  • BRUCE BOCHTE, ancien joueur des Mariners de Seattle, 64 ans.
  • BRUNO GAGNON, de Rimouski.
  • JODY DAVIS, ex-receveur des Cubs, 58 ans.
  • PAUL LUPIEN, de BMW Terrebonne.
  • PAUL-ANDRÉ BOUDREAU, golfeur de Sherbrooke.
  • CLAUDE VALADE, chanteuse, 70 ans.
  • BRIGITTE TROTTIER, sportive de LaPrairie, 50 ans.
  • HUGO BOUCHARD, de Sainte-Adèle, 38 ans.
  • JEFF REED, ex-lanceur des Expos, 52 ans.
  • DANIEL VEILLEUX, golfeur de Val-Morin, 54 ans.
  • RENALDO DiCESARE, de Molstar, 64 ans.
  • MARC BOUVRETTE, de Saint-Jérôme, 78 ans.
  • MARIE-MAUD PROPHÈTE, de Soccer-Québec.
  • GREG GAGNE, ancien joueur des Twins, 53 ans.
  • MARIE DUVAL, d’Avignon.

Big 3: suite et fin

En passant

  • Le vétéran défenseur SERGEI GONCHAR, 40 ans, peut-il aider le CH? Sûrement autant que TRAVIS MOEN.

    Jon Lester sera-t-il de retour à Boston en 2015?

    Jon Lester sera-t-il de retour à Boston en 2015?

  • LESTER DE RETOUR: Selon des sources émanant de la région de Providence, les RED SOX seraient prêts à offrir un contrat de six ans au lanceur et joueur autonome JON LESTER pour le ramener à Boston. Le vétéran gaucher a été échangé aux A’s d’Okland l’été dernier en retour du voltigeur de gauche YEONIS CESPEDES. Les Athletics espéraient participer à la SÉRIE MONDIALE avec Lester au monticule, mais ils ont été éliminés par les Royals de Kansas City. Lester a gagné deux Séries mondiales dans l’uniforme des Red Sox (2007 et 2013). On estime qu’il faudra allonger 120 millions sur la table pour le convaincre de rentrer au bercail. La loi de l’offre et de la demande…
  • SERGE SAVARD: «Tout le monde parle du match de 3-3 entre le Canadien et l’Armée Rouge, le 31 décembre 1975, mais personne ne parle du match à PHILADELPHIE, quelques jours plus tard». Intimidés par les durs-à-cuire des Broad Street Bullies, les Russes avaient quitté temporairement la patinoire en début de rencontre. Ils étaient revenus sous la menace de ne pas être payés. Les Flyers avaient finalement gagné 4-1. Une partie que je n’oublierai jamais.
  • Quand il est devenu directeur général du Canadien, Savard a lui aussi embauché quelques MATAMORES. «Je suis contre les bagarres au hockey, mais je ne pouvais pas aller à la GUERRE avec des tire-pois», explique-t-il.

    Larry Robinson: les choses ont changé depuis l'époque où il patrouille la ligne bleue.

    Larry Robinson: les choses ont changé depuis l’époque où il faisait la patrouille à la ligne bleue.

  • Invité à comparer le hockey de son époque à celui des années 2000, LARRY ROBINSON a déclaré: «Les joueurs proviennent maintenant de cultures et de pays différents. C’est plus un BUSINESS. Dans mon temps, nous formions une famille et nous avions du plaisir à jouer ensemble».
  • DENNIS HULL, ancien joueur des Blackhawks et grand ami d’Yvan Cournoyer, a été soigné pour le cancer du pancréas. Aux dernières nouvelles, il prenait du mieux.
  • DAVE PERKINS, mon ancien voisin de droite dans la salle de presse à Augusta, se remet d’un infarctus dans un hôpital de Toronto.
  • La population de GREEN BAY frise les 100 000 personnes alors que le LAMBEAU FIELD, domicile des Packers, peut accueillir 81 000 spectateurs. Ce stade est aussi mythique que le WRIGLEY FIELD, Fenway Park, Churchill Downs ou Augusta National.
  • SERGE SAVARD est d’avis que son ancien coéquipier JEAN-CLAUDE TREMBLAY a bien fait d’aller finir sa carrière à QUÉBEC afin d’empocher un bien meilleur salaire. Chose certaine, les NORDIQUES auraient eu la vie dure dans l’Association mondiale sans l’immense contribution de J.C. Il jouait souvent 40 minutes par match.

    En 1972, J.C. Tremblay a quitté le Canadien parce que les Nordiques lui offraient de tripler son salaire.

    En 1972, J.C. Tremblay a quitté le Canadien parce que les Nordiques lui offraient de tripler son salaire.

  • Savard croit également que L’ASSOCIATION MONDIALE a été bonne pour les joueurs de son époque au point de vue financier. «Nous devons tous un gros merci à BOBBY HULL, ajoute-t-il. Sans lui, la ligue mondiale n’aurait jamais eu autant de crédibilité».
  • La FAMILLE RICHARD se serait passé de toute la controverse qui a entouré la possibilité que le PONT CHAMPLAIN porte le nom du Rocket.
    Il y a des gens qui ont voulu aller TROP VITE dans ce dossier. On peut s’imaginer que Samuel de Champlain s’est retourné deux ou trois fois dans sa tombe!
  • En rentrant de Myrtle Beach, RUSS CAMPBELL a eu le bonheur de fouler les allées du parcours numéro 2 à Pinehurst en compagnie de DANIEL CAZA, de Golf International. Russ a été longtemps associé à la compagnie Fletcher.
  • La première fois que RÉJEAN HOULE a vu jouer GUY LAPOINTE, il portait les couleurs des Maple Leafs de Verdun. Peanut jouait alors à Thetford-Mines avec GILBERT PERREAULT, Marc Tardif et d’autres espoirs du CH.
  • Lors de son dernier voyage à Montréal, le sportif DANNY PARKER, de Val-d’Or, a eu la chance de se faire photographier avec le Big 3 et Réjean Houle. Une photo qu’il conservera précieusement.
  • Parmi les nombreux sportifs qui ont rendu un dernier hommage à CONNIE DION à Asbestos, il y avait l’ex-défenseur JEAN-CLAUDE MARCOTTE, Gilles et Jean Hamel, Gaston et Larry Viens, Gilles Parenteau (père de P.A.), ANDRÉ MALTAIS, Marcel Dion, Guy Faucher, Roger Legault et J.C. Gagné. C’est l’abbé GUY GILBERT qui a prononcé l’homélie.

    Jérémy Roy: un des quatre joueurs du Phoenix à porter un A sur son chandail.

    Jérémy Roy: un des quatre joueurs du Phoenix à porter un A sur son chandail.

  • La direction du PHOENIX de Sherbrooke a choisi d’imiter le Canadien en nommant quatre assistants-capitaines: SIMON DESBIENS, Jérémy Roy, Daniel Audette et Raphaël Lafontaine.
  • MILOS RAONIC a maintenant un dossier de 1-7 face à ROGER FEDERER. Y’a pas juste le service dans la vie…
  • STÉPHANE WAITE, du Canadien, a profité de son passage au Centre Lemay de Windsor pour discuter de sport avec ses PAT LAROCHELLE, Jean-Marc Dubois et Charles Pelletier, trois anciens coéquipiers au baseball senior.
  • Parmi les spectateurs au match Marieville-Windsor, il y avait aussi l’ancien numéro 7 GEORGES GUILBAULT, Gilles Dugas, Sylvain Parenteau, Luc Desrosiers, Réjean Morissette, SYLVAIN CORRIVEAU, Denis Côté, Gilles Salois, Bertrand Paquin, Patrick et Benoît Lefebvre.

    Georges Guilbault a fait un retour à Windsor pour assister à un match de hockey senior. Il a gagné la coupe Allan avec les Castors Seniors en 1965. Bientôt 50 ans!

    Georges Guilbault a fait un saut à Windsor pour assister à un match de hockey senior. Il a gagné la coupe Allan avec les Castors Seniors en 1965. Bientôt 50 ans!

  • CHARLES MONTELPARE, champion collectionneur de Sherbrooke, s’est rendu au Complexe Bell de Brossard pour obtenir l’autographe de JONATHAN TOEWS, un de ses favoris.
  • GUY LAPOINTE: «Mon frère Pierre a été un homme très important dans ma vie, dans les moments plus difficiles».
  • JEAN MORIN, un des fondateurs du Groupe Cossette, a été opéré avec succès à l’Institut de cardiologie de Montréal.
  • VLADIMIR TARASENKO, des Blues de Saint-Louis, est la vedette de l’heure dans la Ligue nationale. Quelles mains!
  • GILLES CARTIER, champion de la coupe Allan en 1965, joue encore au hockey une couple de fois par semaine au pays du Survenant.

Le mot d’humour

Mesdames, si un homme vous dit qu’il va réparer telle ou telle chose, il va le faire. Pas besoin de le lui rappeler à tous les six mois».

Adieu, Connie!

Connie Dion, le père du hockey et du golf à Asbestos, a été conduit à son dernier repos lundi après-midi. Il avait 96 ans.

La première fois que j’ai vu ce «petit bout d’homme», c’était au tout début des années 1960. Il était conférencier invité à l’occasion d’un dîner des Chevaliers de Colomb dans ma ville natale. J’avais été fasciné par sa passion pour le sport et par ses principes de vie, mais j’étais alors loin de me douter que je finirais par le connaître aussi bien.

Connie Dion a marqué l'histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l'Est.

Connie Dion a marqué l’histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l’Est.

Gardien de but des Red Wings de Détroit et des Bisons de Buffalo dans une époque lointaine, Connie prêchait le respect et la discipline. À titre de gérant de l’aréna et responsable du hockey mineur dans la ville de l’amiante, il ne laissait rien au hasard. Il aimait profondément les jeunes, mais il était strict et il voulait qu’ils réussissent en suivant certaines règles de vie.

Il a si bien accompli son boulot que plusieurs de ses protégés ont fait leur marque au hockey, notamment Don Marcotte, Sean McKenna et les frères Hamel. Il était fier d’eux comme de tous ceux qui se sont servis du hockey comme «école de vie».

Après avoir convaincu la John’s Manville de construire un parcours de 18 trous, il a suivi la même politique au golf avec Josée Pérusse, Pierre Lallier et plusieurs autres.

«Son héritage est inestimable, me disait André Gagnon avant les funérailles. On lui doit notre aréna, notre club de golf, et bien d’autres choses encore. Il a été une véritable institution et un professeur émérite pour des centaines de jeunes».

Au début des années 1970, à l’époque où je couvrais le camp d’entraînement des Expos, j’ai eu l’occasion de jouer quelques parties de golf avec Connie Dion. Il passait alors une bonne partie de l’hiver à Daytona Beach avec son épouse Muriel. Malgré notre grande différence d’âge, nous avons tissé des liens qui ne se sont jamais effrités par la suite.

Au fil des ans, je l’ai revu des dizaines de fois à Asbestos. Son discours n’a jamais changé. Il fuyait les réflecteurs. Il était content de sa famille et de ce qu’il avait accompli dans sa vie et préférait laisser les honneurs aux autres.

À ses quatre fils, à sa fille et à toute sa famille Dion, mes plus vives condoléances.

Baker au panthéon

Bob Baker, qui a longtemps été un des meilleurs lanceurs de balle molle de la province, sera intronisé au Panthéon de la renommée de Softball-Québec le samedi 22 novembre. Un honneur hautement mérité pour le colosse de la Vieille capitale.

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour le voir!

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour lui voir la face!

Durant sa carrière de 25 saisons (1960 à 1985), Baker a lancé plus de 2000 parties de balle molle. Il a réussi 15 parties parfaites et 50 parties sans point ni coup sûr. Il a également remporté une victoire de 1-0 dans un duel qui a duré pas moins de 23 manches.

Baker était dans la même classe que les Marc-André Carreau et Gilles Pinard. Il est aussi un parfait gentilhomme dans la vie de tous les jours. Bravo!

Gala de la LBMQ

Les lanceurs Francis Michel (Victo) et Michel Simard (Thetford-Mines) étaient à l’honneur lors du gala des champions de la Ligue de baseball Majeur du Québec à Victoriaville. On a également souligné les exploits au bâton de Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme).

L’équipe d’étoiles du circuit Bélisle est composée des joueurs suivants: STEVE CHARBONNEAU (Coaticook); Olivier Valiquette, Étienne Blanchette et Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme); Frédéric Gaudreau et Martin Bérubé (Acton Vale); François-Alexandre Tambosso (Sainte-Thérèse).

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

On a aussi souligné les efforts de MARC-ANDRÉ JODOIN (meilleur gérant), Richard Lavallée (meilleur directeur général), Alain Lachance (parfait gentilhomme), Denis Lamontagne (meilleur joueur de 40 ans et plus), Martin Bérubé (plus beau retour), Étienne Blanchette et Jean-François Fyfe (frappeurs recrues), JACOB GOSSELIN-DESCHÊNES (lanceur recrue), Jean-Mathieu Filion (arbitre), Jérémy Legault (marqueur officiel) et François Lécuyer, organisateur du match des étoiles à Thetford-Mines

Enfin, la ligue a tenu à remercier le préfet de discipline JEAN SIMARD et la photographe NATHALIE MICLETTE avant d’admettre trois nouveaux membres au Panthéon de la renommée: SHAWN SMITH (Saint-Jérôme), ROGER BOURGEOIS (Acton Vale) et RÉMI DESHAIES (Victo).

En 2015, la ligue aura un nouveau look avec des équipes à SHAWINIGAN et à SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU.