- CRISTOBAL HUET, ex-gardien de but du Canadien, 39 ans.
- VITTORIO SALVATORE, boxeur et restaurateur, 47 ans.
- JACQUES DESLAURIERS, ex-défenseur des Braves de Valleyfield et du Royal Senior, 86 ans.
- MIKE WALTON, ancien des Maple Leafs, 65 ans.
- GERRY MEEHAN, ancien joueur des Sabres, 68 ans.
- MARTIN GERBER, ex-gardien de but des Sénateurs, 40 ans.
- CAROL LÉVEILLÉE, hockey amateur, 66 ans.
- ALAN BANNISTER, ex-lanceur des White Sox, 63 ans.
- CHRISTINE BOUDRIAS, championne de patinage de vitesse.
- YVON POIRIER, trot et amble, 75 ans.
- OZOOMA OKEKE, ancien des Alouettes, 44 ans.
- ANDRÉ (Barber) FAUVELLE, de Gatineau.
- DOMINIC BRISSON, des Élite de Mercier.
- CAROLINE CHÊNEVERT, de Sherbrooke.
- STEVE DUSSAULT, de Saint-Laurent, 60 ans.
- JACQUES LOTTINVILLE, trot et amble, 87 ans.
- LISE LACOURSE, de la Place Dupuis, 60 ans.
- MICHAL ROZSIVAL, des Coyotes de Phoenix, 36 ans.
- NATE ROBERTSON, ex-lanceur des Tigers, 37 ans.
Mardi Express
En passant
- J’ai dévoré les commentaires de LUCIEN BOUCHARD à l’émission 24/60. Je retiens ceci: «Dans la vie, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a de talent et de courage… Nos enfants sont notre plus grande richesse… La SOUVERAINETÉ PURE, ça n’existe pas… J’ai le plus grand respect pour JACQUES PARIZEAU et je souhaite bonne chance à PHILIPPE COUILLARD».
- JACQUES PRIMEAU, ancien réalisateur de La Soirée du Hockey à Radio-Canada, sera à l’emploi de TVA Sports durant la prochaine saison. Il réalisera les 22 matchs du SAMEDI SOIR et quelques parties de la LHJMQ. L’ami Jake travaillait à Toronto depuis quelques années.
- On attendait RORY McILROY au fil d’arrivée, mais c’est CHRIS KIRK qui a gagné le tournoi Deutsche Bank en banlieue de Boston. Âgé de 29 ans, Kirk est un produit de l’Université de la Géorgie. Il croise les doigts en espérant que sa victoire forcera TOM WATSON à lui faire une place dans l’équipe américaine de la coupe Ryder.
- Plus de 7200 clics sur mon site web durant les deux dernières journées. Merci beaucoup.
- EUGÉNIE BOUCHARD manque-t-elle de confiance en soi ou tout simplement d’expérience?
- DANIEL (Tiger) MARCOUX est très fier de sa troisième place dans le championnat du club au BLAINVILLIER.
- CHANTAL MACHABÉE et SERGE DESLONGCHAMPS ont animé la toute première émission à RDS le 1er septembre 1989.
- COLE HAMELS et trois autres lanceurs des Phillies ont combiné leurs efforts pour lancer un match sans point ni coup sûr contre les Braves. Du jamais vu dans la longue histoire des Phillies (132 ans).
- ALAIN PRIMEAU, de la compagnie NAPA, a travaillé sous les ordres de CAROL VADNAIS durant sa jeunesse. «Il a eu une grande influence sur ma carrière, dit-il. Carol croyait à la jeunesse».
- RICKY RAY, des Argonauts, est le 6e quart-arrière de la LCF à gagner 50 000 verges par la voie des airs. ANTHONY CALVILLO est en tête de liste avec plus de 79 000 verges.
- La Sherbrookoise MÉLANIE GILBERT et le Bromontois MATHIEU GRONDIN ont enlevé les honneurs du DÉFI DES COLLINES à Sainte-Catherine-de-Hatley. ROLAND ROBICHAUD, 70 ans, a mérité le trophée Jonathan Martel pour sa détermination et sa persévérance.
- Il y a 12 ans aujourd’hui, le journaliste sportif CLAUDE LAROCHELLE, membre du Panthéon du hockey, nous quittait pour un monde supposément meilleur.
- Les BREWERS DE MILWAUKEE ont subi six défaites de suite pour céder le premier rang de leur division aux CARDS de Saint-Louis. Il y a aussi les PIRATES de Pittsburgh qui tiennent bon dans la course au championnat.
- HENRY SETLAKWE, 86 ans bien sonnés, a enlevé le championnat des 65 ans et plus au club SAINT-RAPHAËL. Originaire de Thetford-Mines, Henry a longtemps été membre du club ISLESMÈRE. Il a aussi été responsable d’un club de golf à FREEPORT. Tout un personnage!
- Le colosse ADAM DUNN a frappé un circuit à sa première présence au bâton dans l’uniforme des ATHLETICS d’Oakland.
- Le premier week-end de la FÊTE DES VENDANGES a attiré plus de 50 000 personnes à MAGOG-ORFORD. C’est tout le contraire à VICTORIAVILLE où les Fêtes victoriennes ont laissé la population indifférente.
- Le gérant BO PORTER a été congédié suite aux insuccès des ASTROS de Houston. Un gérant n’est jamais meilleur que ses joueurs.
- Le CACTUS de Victoriaville est venu de l’arrière pour arracher la victoire aux Blue Sox à THETFORD-MINES. La série est égale 1-1.
- Mes chers RED SOX ont plusieurs nouveaux visages. Je suis optimiste pour la saison 2015.
- PIERRE CHARETTE, du Château Cartier (Aylmer), organise un voyage de golf à VARADERO durant les deux premières semaines de décembre. Il y a encore quelques places disponibles. On se renseigne au 1.800.807.1088.
- GUY DRAPEAU a réussi un as avec son fer 7 au club Royal-Estrie.
- SIR PAUL McCARTNEY s’oppose à l’indépendance de l’Écosse.
- Première bordée de NEIGE dans le Wyoming. Gardez ça pour vous autres, svp!
Le mot d’humour
Lee Trevino: «Vous voulez savoir pourquoi je n’ai jamais eu un professeur de golf? Je n’en ai jamais vu un qui pouvait me battre!»
N’allez pas pleurer sur ma tombe
Suite au décès de Carol Vadnais, nous avons tous le coeur plein de larmes. Pourtant, la vie continue. Permettez-moi de vous rappeler les paroles d’un vieux sage:
«N’allez pas pleurer sur ma tombe. Je ne suis pas là, je ne dors pas. Je suis les mille vents qui soufflent, le scintillement des cristaux de neige, la lumière qui fait briller les champs de blé, la douce pluie de l’automne, l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, l’étoile qui brille dans la nuit.
«Relâchez-moi, laissez-moi partir. Ne pleurez pas en pensant à moi. Soyez plutôt reconnaissants pour les belles années que nous avons passées ensemble. N’allez pas sur ma tombe pleurer. Je ne suis pas là, je ne dors pas».
Je suis pas mal certain que Vad nous dirait la même chose.
Lorsque je pense à Carol, je le revois en train de signer des autographes sur le trottoir avant la fermeture officielle du vieux Garden de Boston, à la fin des années 1990. Les partisans des Bruins ne l’avaient pas oublié. Cela avait été une soirée absolument magique avec la présence des Bobby Orr, Raymond Bourque, Normand Léveillé, Milt Schmidt, Fern Flaman et autres légendes des Bruins.
Rapido du lundi
- RDS (le Réseau des Sports) fête aujourd’hui ses 25 ans. Un toast aux pionniers et à tous les artisans de la station.
- S’il y a un homme qui est profondément touché par la mort de Carol Vadnais, c’est son grand ami SERGE SAVARD. Les deux hommes étaient comme des FRÈRES. D’ailleurs, le grand Serge a vécu dans la maison de la famille Vadnais quand il est arrivé de LANDRIENNE (Abitibi) pour tenter sa chance dans l’organisation du Canadien, au début des années 1960. Un de mes plaisirs était de les voir se «tirer la pipe». Du bonbon!
- Je suis un peu étonné, voire assommé, par le NOMBRE DE RÉACTIONS suite à mon article sur le décès de Carol Vadnais. Les commentaires fusent de partout. Même s’il a fait carrière aux États-Unis, Carol avait visiblement de nombreux admirateurs au Québec et plusieurs amis dans le monde du golf.
- JEAN-GUY TALBOT, de Trois-Rivières, a été l’entraîneur de Vadnais chez les Rangers.
- DOMENIC FAZZIOLI, propriétaire du resto La Cantina, en est un autre qui digère mal le départ de son ami Carol. Les deux hommes étaient ensemble environ 300 jours par année.
- JOSE BAUTISTA, des Blue Jays, a cogné la longue balle à ses cinq dernières parties, mais son équipe est encore à 10 matchs de la tête.
- Après avoir vendu sa maison de Magog, CLAUDE RAYMOND est en train de rénover sa résidence de Saint-Luc. À 77 ans, Frenchie est plus actif que jamais. Rita le garde en forme!
- Bonne chance à DAVID FOUCAULT chez les Panthers de la Caroline et à LAURENT DUVERNAY-TARDIF chez les Chiefs de Kansas City. Foucault est un produit des Carabins de Montréal tandis que Duvernay-Tardif a fait ses classes chez les Redmen de McGill.
- MICHEL SIMARD n’a permis que trois petits coups sûrs et il a passé 10 frappeurs dans la mitaine pour mener les BLUE SOX de Thetford-Mines à une victoire de 4-1 contre Victo. Le deuxième match de la série demi-finale a lieu ce soir à Thetford. Dans l’autre série, SAINTE-THÉRÈSE a pris une avance de 1-0 en allant battre les Castors à ACTON VALE.
- MARIO LANGLOIS a profité de son récent séjour en Outaouais pour s’entretenir avec DANIEL BRIÈRE, Sylvain Saint-Laurent, Patrick Lavoie, Vincent Dunn et l’homme fort HUGO GIRARD.
- GUY ÉMOND est encore une fois hospitalisé dans le secteur de Repentigny. Je me joins à ses anciens lecteurs pour lui souhaiter un prompt rétablissement.
- Tu veux faire de l’argent? Lâche FACEBOOK, ferme ton ordinateur, lève ton cul et va travailler!
- ANNIE BENAYOUN, de Groupe Voyage Idéal, est en deuil de sa maman. Les funérailles ont eu lieu à PARIS, la semaine dernière. Annie est aussi affectée par le décès de CAROL VADNAIS qu’elle a bien connu lors d’un voyage des Anciens Canadiens au MAROC.
- La Ligue CONTINENTALE de hockey a perdu trois équipes: le SPARTAK de Moscou, les Lions de PRAGUE et une équipe de DONETSK. Elles seront remplacées par le Lata de TOGLIATTI, le HC Sotchi et le Jokerit d’Helsinki.
- Trop d’absents au prochain CHAMPIONNAT DE QUÉBEC, mais on devrait quand même en faire un succès.
- En apprenant la mort de Carol Vadnais, MARC DE FOY a déclaré simplement: «Que Dieu l’accueille dans son club de hockey».
- MATT KUCHAR, un des golfeurs les plus populaires de la PGA, est affecté pour sa part par la mort d’ANGELA BENNETT, jeune épouse de son caddie de longue date LANCE BENNETT. Kooch avait les larmes aux yeux quand il a cogné sa première balle au tournoi de la Deutsche Bank, en banlieue de BOSTON.
- ROBERTO MANAGO, restaurateur du West Island, est en deuil de son père. Décidément, c’est une très mauvaise semaine pour bien du monde.
- Vieillir est obligatoire tandis que MATURER est optionnel.
- Longue vie à la CLINIQUE MÉDICALE DES PAPETIERS et bravo à RAPHAËL FRANCOEUR pour la revilatisation du centre-ville de Windsor.
- FRED JACQUET, président de Chronogolf à Gatineau, a été baptisé le GRAND FANAL DE PARIS!
Le mot d’humour
Lorsque j’ai une décision difficile à prendre, je me demande toujours ce que le Christ ferait à ma place et je finis par prendre un verre avec une douzaine de disciples!
Carol Vadnais est mort; nous sommes tous sous le choc
- Combien de fois je lui ai rendu visite à son petit bureau de la rue Bergar?
- Combien de fois nous avons festoyé ensemble à La Cantina avec Jean-Guy, Robert et Mimo? 700 fois, 800 fois, mille fois? Ça n’a plus aucune importance.
- Combien de fois nous avons discuté de sport et de la vie en général sur la terrasse de son magnifique condo de l’Ile-Patton en buvant les meilleurs vins d’Italie et en grillant les meilleurs cigares de Cuba?
- Sans compter nos joyeuses escapades à Hilton Head, à Boston, à Augusta ou à Cape Cod.
- Combien de fois il m’a parlé de sa belle Raymonde, l’amour de sa vie? Comment elle lui manquait.
- Combien de fois il m’a répété: «Rousseau, il nous reste moins de Noëls qu’avant»? À cause de la maladie qui le rongeait petit à petit, je savais très bien ce qu’il voulait dire.
Notre grand ami Carol Vadnais est mort du cancer, dimanche matin, dans un Centre de soins palliatifs de Laval. Vingt-cinq jours avant de fêter ses 69 ans. Après un sursis de cinq ou six ans, la maladie est revenue, plus vicieuse et virulente que jamais. À la fin, il n’existait plus aucun poison pour empêcher le grand C de faire son oeuvre.
Cela nous rappelle encore une fois que ne nous sommes qu’un «petit grain de sable dans l’immensité de l’univers».
Son heure de gloire
Je connais Vad depuis le début des années 1970. Durant la saison estivale, le solide défenseur des Bruins s’arrêtait dans la petite salle de rédaction de la rue Port-Royal pour saluer Jacques Beauchamp et ses jeunes journalistes. Puisque nous avions une passion commune pour le golf et pour la vie, nous nous sommes vite liés d’amitié.
Carol était comme la majorité des hockeyeurs de son époque: une force de la nature, talentueux, bon patineur, sûr de ses moyens, un gars d’équipe et un bon vivant. Natif du quartier Ahuntsic, il aurait bien aimé passer toute sa carrière dans l’uniforme du Canadien, mais son destin était ailleurs.
En juin 1968, une couple de mois après avoir aidé les Glorieux à gagner la coupe Stanley, il était réclamé par les misérables Golden Seals de la Californie. Pendant environ quatre ans, il a ensuite mangé son pain noir en «patins blancs» avec l’équipe de Charlie O. Finley avant de passer aux Big Bad Bruins dans une transaction impliquant Reggie Leach, future vedette des Flyers.
C’est un peu comme s’il avait gagné le gros lot à la 6/49. Pendant trois ans et demi, il a joué pour une équipe qui faisait la pluie et le beau temps et il s’est lié d’amitié avec des athlètes comme Bobby Orr, Phil Esposito, Gerry Cheevers, Eddie Johnston, Wayne Cashman, Johnny Bucyk, Derek Sanderson, John McKenzie, Eddie Westfall et Gary Doak.
Combien d’histoires et d’anecdotes il m’a racontées au sujet du fameux Number Four? Son admiration était sans bornes pour le meilleur défenseur de tous les temps parce que Bobby Orr, mis à part son talent exceptionnel, était avant tout «one of the boys».
«Si j’avais joué avec Bobby pendant 10 ans, j’aurais accumulé assez de points pour être élu au Temple de la renommée», disait-il souvent.
Échangé aux Rangers
À l’automne 1975, dans un hôtel de Vancouver, Vad a eu la surprise de sa vie lorsque Don Cherry a cogné à sa porte tôt le matin pour lui annoncer qu’il était échangé aux Rangers avec Phil Esposito en retour de Brad Park, Jean Ratelle et un certain Joe Zanussi. Kaboom!
Avec l’aide de son avocat, il a insisté pour toucher sa prime de départ, puis il a bouclé sa valise et il a déménagé dans le Big Apple où il a aidé les Rangers de Fred Shero à atteindre la finale de la coupe Stanley. C’est d’ailleurs lui qui a marqué le dernier but contre Ken Dryden, au printemps 1979.
Carol a complété sa carrière au New Jersey avec Herb Brooks et Joel Quenneville, mais la passion n’y était plus après 17 ans sur les glaces de la LNH. De retour à Montréal, il a dirigé brièvement le Canadien Junior, puis il est devenu recruteur pour le Canadien sous la gouverne de son grand ami Serge Savard.
Quand il allait voir un match de hockey, il faisait exactement comme Jean-Claude Tremblay, recruteur en Suisse. Il surveillait et analysait soigneusement les joueurs en se fiant à leur numéro de chandail, puis il faisait son rapport au grand Serge. Il a joué un rôle majeur dans la transaction qui a amené Pierre Turgeon et Vladimir Malakhov à Montréal.
Le grand ménage de 1995, quelques semaines avant le départ tragique de Patrick Roy, lui a fait très mal au coeur. Ce n’était quand même pas sa faute si le Canadien avait amorcé la saison avec quatre défaites. Il en a voulu longtemps au président Ronald Corey. Par la suite, il n’a jamais eu la même attitude envers l’équipe de son enfance. La cicatrice était profonde.
Trop jeune pour prendre sa retraite, il s’est recyclé en agent immobilier et il a connu beaucoup de succès à Laval avec son associé et ami de longue date Jean-Pierre Proulx. Je le trouvais amusant lorsqu’il parlait de ses transactions immobilières et de ses pieds carrés. Plus drôle encore quand il avait une prise de bec avec ses copains Fazzioli, Pilon et Blanchette. La chanson des «Copains d’abord» leur collait parfaitement à la peau. Parfois, ça discutait fort, mais leur amitié était inébranlable.
Je ne suis que de passage…
Le printemps dernier, je me suis douté que l’état de santé de Carol se détériorait lorsqu’il a renoncé à son membership au club Islesmère en disant que son nerf sciatique le faisait trop souffrir. Il n’avait plus le même entrain et restait souvent seul à la maison. Heureusement, l’oncologue Jacques Laplante veillait sur lui comme s’il avait été son propre fils.
Comme tout le monde, Carol avait peur de la mort, ce grand inconnu. À la blague, il disait qu’il y a peut-être un terrain de golf au ciel et qu’il finira peut-être par jouer une partie avec Tiger Woods. Au plus fort de sa maladie, il avait encore le sens de l’humour. Voilà un homme que nous n’oublierons jamais.
À la radio, Renée Martel chante «Je ne suis que de passage dans ce monde…» en reprenant les paroles de son papa. Au hasard du temps, voilà une chanson de circonstances.
Mes plus vives condoléances à Michèle Vadnais, sa fille unique, à son gendre Alain Journeault, à leurs deux enfants, Ariane et Alexis, ainsi qu’à tous ses parents et amis. Je vous préviendrai lorsque j’aurai les informations concernant les obsèques.
Vad, tu peux maintenant aller rejoindre ta belle Raymonde. Repose en paix, mon ami!









