- ANDREI MARKOV, défenseur du Canadien, 34 ans.
- DAVID WRIGHT, joueur étoile des Mets de New York, 30 ans.
- DANNY DESRIVAUX, des Argonauts de Toronto, 31 ans.
- BILL CLÉMENT, ancien joueur des Flyers originaire de Thurso, 62 ans.
- CORY STILLMAN, ancien joueur des Flames, des Blues et des Panthers, 39 ans.
- LOÏC JOUAN, professionnel de golf à Rivière-du-Loup, 59 ans.
- ROBERT THÉRIEN, ancien député de La Plaine, 63 ans.
- AUBREY HUFF, réserviste des Giants de San Francisco, 36 ans.
- JAMES SHIELDS, lanceur des Rays de Tampa Bay, 31 ans.
- MARTIN LECLERC, journaliste sportif, 45 ans.
- FERNAND FAUCHER, du club de golf North Hatley, 81 ans.
- OSCAR GAMBLE, ancien joueur des Phillies, 63 ans.
- ALEX HILTON, ancien boxeur, 48 ans.
- CECIL COOPER, ancien joueur des Brewers de Milwaukee, 63 ans.
- NEIL ARMSTRONG, ex-recruteur du Canadien, 80 ans.
- PIERRE GERVAIS, golfeur de la Rive-Sud.
- CHRISTINE PICHÉ, fille de Ron Piché.
- CLÉMENCE GAGNÉ, du Regroupement Loisirs-Québec.
- ALBERT YANIRE, des JSH, 78 ans.
- JOSE DE LEON, ex-lanceur des Cards, 52 ans.
- MONICA MONAHAN, de Montréal.
Dodgers, Angels et Blue Jays auront beaucoup de pression en 2013
En passant
On dit souvent que l’argent n’achète pas les championnats. Allez donc expliquer ça aux Yankees, aux Phillies et aux Red Sox de Boston. Ou mieux encore aux Dodgers, aux Angels et aux Blue Jays de Toronto.
Les Dodgers, qui n’ont quasiment rien gagné depuis le fameux circuit de Kirk Gibson et les exploits au monticule d’Orel Hershiser en 1988, ont dépensé une fortune pour s’améliorer depuis qu’un groupe d’actionnaires dirigé par Magic Johnson a acheté l’équipe. Leur liste de paye l’été prochain frisera les 230 millions. C’est beaucoup de «salade» pour un club de baseball. «Nous sommes ici pour gagner», a dit Magic aux partisans.
Avec le duo Greinke-Kershaw au monticule et des joueurs comme Adrian Gonzalez, Hanley Ramirez, Matt Kemp, André Ethier et Carl Crawford, les Dodgers ne visent rien de moins que la Série mondiale. Il y a cependant loin de la coupe aux lèvres et leurs éternels rivaux de San Francisco ne renonceront pas à leur titre aussi facilement.
Pas très loin, à Anaheim, on a les mêmes ambitions. Avec un bon personnel de lanceurs et le trio formé de Josh Hamilton, Albert Pujols et Mike Trout, les Angels se croient capables de tout balayer sur leur passage.

Les Blue Jays de Toronto ont payé le gros prix pour arracher le lanceur R.A. Dickey aux Mets de New York. Âgé de 38 ans, Dickey est un spécialiste de la balle papillon.
À Toronto, les espoirs sont également très grands. Après avoir acquis Josh Johnson, Mark Buehrle et Jose Reyes des Marlins de Miami, les Blue Jays viennent de payer le gros prix pour mettre la main sur R.A. Dickey, dernier récipiendaire du trophée Cy Young dans la Ligue nationale.
Âgé de 38 ans, Dickey est un spécialiste de la balle papillon. Avant la dernière campagne, il présentait cependant une fiche en carrière de 41 victoires et 50 défaites. Ça donne à réfléchir. Il faut aussi préciser que les Blue Jays ont sacrifié leurs deux meilleurs joueurs d’avenir, le receveur Travis d’Arnaud et le lanceur droitier Noah Syndergaard, en retour de Dickey.
Le Montréalais Alex Anthopoulos, avec l’appui financier de Rogers Communications, a décidé de courir des risques afin de bâtir une équipe capable de rivaliser avec les Yankees, Baltimore, Boston et les Rays de Tampa Bay. Ça passe ou ça casse.
Une chose est certaine: les Dodgers, les Angels et les Blue Jays auront beaucoup de pression sur les épaules en 2013.
L’Express de 23h.45
- On a confié notre sport national à des AMARICAINS. Ça donne ce que ça donne!
- Il y a 20 ans cette semaine, la ville de VAL-D’OR obtenait une concession dans la LHJMQ. Les pionniers des Foreurs s’appelaient JEAN-CLAUDE BABIN, Robert Meunier, Yvon Rioux, Jean Duplessis et Guy Saint-Julien. Merci à Guy Champoux et à Michel Tassé de nous le rappeler. Par la suite, le circuit Courteau s’est implanté dans les MARITIMES et dans des villes comme Rimouski, Baie-Comeau et Rouyn-Noranda. C’était le début d’un temps nouveau.
- ANDRÉ SAINT-JACQUES, ex-adjoint de Pierre Creamer au hockey junior, se passionne depuis longtemps pour le football de la NFL. Il s’est rendu récemment à New York et à Boston avec son ami MICHEL SÉVIGNY, du club Le Champêtre, pour y voir jouer les Giants et les Patriots. Ils ont adoré le spectacle et tout ce qui l’entoure. Ils ont aussi profité de leur passage à Boston avec «Les Sportifs en Voyage» pour visiter FENWAY PARK et le mythique Green Monster.
- MARK SANCHEZ, Rex Ryan et les Jets de New York ont connu la fin de saison qu’ils méritaient. Ils faisaient vraiment pitié dans la défaite contre Tennessee, lundi soir.
- CLÉMENT LADOUCEUR a acheté le club de golf DU MOULIN. Il possède maintenant trois parcours dans la région de TROIS-RIVIÈRES: le Métabéroutin, le Sainte-Flore et le Du Moulin.
- Bravo à MICHEL GERMAIN pour ses 1400 parties au micro de l’Océanic de RIMOUSKI.
- Par la magie du vidéo (YouTube), j’ai pu revoir les exploits défensifs de BROOKS ROBINSON lors de la Série mondiale de 1970. Le joueur de troisième but de Orioles avait été tellement extraordinaire dans cette série qu’on l’avait baptisé L’ASPIRATEUR HUMAIN. En plus de se distinguer au «coin chaud», Robinson avait frappé pour ,429 avec deux circuits et six points produits. Les Orioles avaient finalement disposé de la GROSSE MACHINE ROUGE de Sparky Anderson en cinq matchs. On avait rarement vu un joueur dominer une Série mondiale de cette façon. L’année suivante, c’était au tour du voltigeur de droite ROBERTO CLEMENTE, des Pirates de Pittsburgh, de nous en mettre plein la vue face aux Orioles.
- De passage à LACHUTE pour participer à un tournoi de golf organisé par le regretté CLAUDE MOUTON, du Canadien, Brooks Robinson nous avait plus tard raconté ses exploits sur le losange avec une belle humilité. En 1970, les autres héros des Orioles s’appelaient FRANK ROBINSON, Boog Powell, Paul Blair, Mark Belanger, Dave McNally, Mike Cuellar et Jim Palmer. Et dire que ça fait déjà 42 ans…
- Permettez-moi de souhaiter un beau voyage sous les palmiers à JEAN-GUY LAMARRE, de La Prairie. Durant la dernière année, l’ancien notaire et golfeur a été durement éprouvé par la mort de sa femme et de sa brue.
- Bien malgré moi, j’ai retrouvé un outil indispensable: ma PELLE À NEIGE. Et vous? Comme le chantait si bien DOMINIQUE MICHEL: «J’haïs l’hiver, maudit hiver!»
- GABY MANCINI, ancien président de la Fédération québécoise de boxe, se souvient d’avoir eu ARTURO GATTI sous son aile à l’époque des rencontres Québec-Italie.
- Le gros VINCE WOLFORK, des Patriots, est capable de lancer le ballon à 60 verges. Il l’a prouvé à BOB COSTAS devant les caméras de NBC.
Le mot d’humour
Natalie Wood: «Le seul moment où une femme réussit à changer un homme, c’est quand il est bébé».
Les anniversaires du mercredi 19 décembre
En passant
- AL KALINE, ex-voltigeur de droite des Tigers de Détroit, 78 ans.
- LORI KANE, golfeuse de la LPGA originaire de Charlottetown, 48 ans.
- ROBERT MARTIMBEAULT, ancien aubergiste de Magog, 67 ans.
- FERNAND BÉDARD, grand sportif de Trois-Rivières, 81 ans.
- PIERRE NADEAU, ancien journaliste de Radio-Canada, 76 ans.
- ERIC WEINRICH, ex-défenseur du Canadien et des Flyers, 46 ans.
- MATT STAJAN, des Leafs de Toronto, 29 ans.
- KEVIN McHALE, ancien joueur des Celtics de Boston, 55 ans.
- ANDRÉ MARIER, ancien patron de Blue Bonnets, 69 ans.
- ALAIN GOUSSE, professionnel de golf et champion de billard, 74 ans.
- LAURENT PELLETIER, nouveau chroniqueur de Magog, 69 ans.
- BEHN WILSON, ex-défenseur des Flyers, 54 ans.
- ÉRIC HOUDE, ancien joueur du Canadien, 36 ans.
- RICHARD COMTOIS, du Courrier Ahuntsic, 63 ans.
- PIERRE (Pinto) GASTONGUAY, de Grand-Mère, 69 ans.
- GEOFF ZAHN, ex-lanceur des Twins du Minnesota, 66 ans.
- TONY TAYLOR, ancien joueur des Phillies, 77 ans.
- MICHELINE MARTEL, de Boucherville, 72 ans.
- GISÈLE MARION, partisane du Tricolore.
- PIERRE SÉGUIN, des JSH, 56 ans.
- ANDRÉ TRAHAN, du Journal de Montréal, 55 ans.
- ROBERT LANG, ancien joueur du Canadien et de sept autres équipes, 42 ans.
- RON SHOCK, ancien joueur des Penguins, 69 ans.
- ROXANE THERRIEN, de Laval.
François Godbout et l’avenir du Parc olympique
François Godbout, ancien conseiller du maire Drapeau, se réjouit du rapport qui a été rédigé par Mme Lise Bissonnette concernant l’avenir du Parc olympique.
«Je pense le plus grand bien de ce rapport, dit-il. Il faut faire du Parc olympique le foyer du sport au Québec, son moteur et son quartier général. Si le projet se concrétise, ce sera une excellente nouvelle pour tous ceux et celles qui ont oeuvré dans ce dossier depuis 1976.
«Durant les 35 dernières années, il y a eu beaucoup trop d’indécision. On n’a jamais statué clairement sur l’avenir du Parc olympique. On a même parlé de faire un hôtel avec la tour olympique et de convertir le stade en centre de foires. C’était tout à fait ridicule».

François Godbout préconise la construction d’un toît amovible qui permettrait d’accueillir toutes sortes d’événements selon les saisons.
Juge à la retraite et ancien membre de l’équipe canadienne de la coupe Davis, Godbout a toujours suivi le dossier du Stade olympique avec grand intérêt.
«L’idéal serait d’avoir un toît rétractable, ce qui permettrait d’accueillir toutes sortes d’événements selon les saisons, dit-il. Si une telle toiture avait été installée du temps où les Expos étaient le locataire principal, peut-etre qu’ils seraient encore à Montréal. Par les beaux soirs d’été, peu de gens voulaient aller s’enfermer dans un stade couvert».
En lisant le rapport de Mme Bissonnette, François Godbout n’a pu réprimer un sourire narquois en pensant à l’ancien maire Jean Drapeau et au rapport Malouf.
«Le rapport Malouf parlait de l’irresponsabilité de la Ville de Montréal. Il blâmait aussi le choix d’un architecte étranger (Roger Taillibert) pour la construction du Stade olympique. Les autres facteurs ne comptaient pas.
«Pour diverses raisons, le maire n’a jamais vraiment répondu au juge Malouf. Aujourd’hui, Mme Bissonnette affirme que l’architecte Taillibert a servi de bouc émissaire dans le dossier et je suis entièrement d’accord avec elle. Je crois que le maire Drapeau peut maintenant dormir en paix».
Évidemment, la relance du Parc olympique et la construction d’un nouveau toît auront un prix. La facture risque d’être salée. Dans un contexte économique difficile, on a hâte de voir quelle sera la prise de position du gouvernement Marois.
En principe, personne ne s’oppose à la revitalisaton du Parc olympique. Cela aurait dû se faire bien avant aujourd’hui. Reste à voir si on a les moyens de passer aux actes et de préserver notre héritage sportif.




