Yogi Berra était un géant à sa façon

Je me lève et j’apprends le décès de YOGI BERRA, une véritable légende du baseball majeur. Il avait 90 ans.

L’ancien receveur des Yankees a été un géant à sa façon. Il a frappé l’imaginaire des Américains autant que John Wayne, Marilyn Monroe ou Elvis Presley, ce qui n’est pas peu dire. Tout le monde aimait Yogi Berra, un gars humble et sincère.

Yogi Berra: tout un personnage!

Yogi Berra: tout un personnage!

Malgré sa petite taille, Yogi a été un des meilleurs joueurs de son époque. Il a frappé 358 circuits, fait compter 1430 points et mérité trois fois le titre de joueur par excellence dans la Ligue américaine entre 1951 et 1955. Il a aussi connu cinq saisons de 100 points produits et plus et il a aidé son équipe à gagner 10 Séries mondiales, un record qui ne sera jamais battu.

Lawrence (Yogi) Berra a grandi à Saint-Louis avec Joe Garagiola, un autre receveur qui a fait sa marque dans le baseball. Il avait le don d’obtenir des coups sûrs en s’élançant sur des tirs à l’extérieur de la zone des prises.

Parmi ses coéquipiers, il y avait d’autres légendes comme Billy Martin, Whitey Ford, Mickey Mantle, Moose Skowron, Elston Howard et Bobby Richardson. Plus tard, Roger Maris s’est joint au groupe.

Après sa carrière de joueur, Berra a été gérant et instructeur pour les Yankees, les Mets et les Astros. Comme gérant, a subi deux défaites en Série mondiale (1964 et 1973). Il a aussi vécu un triste épisode avec George Steinbrenner, mais il a fini par réintégrer la grande famille des Yankees.

En plus d’aider son équipe à remporter autant de championnats, Yogi s’est rendu célèbre par ses commentaires plus farfelus les uns que les autres. En voici quelques-uns:

  • «Le baseball, c’est 90% mental. L’autre moitié, c’est physique».
  • «Plus personne ne fréquente ce restaurant. Il y a trop de monde».
  • «J’aime les Petites Ligues de baseball. Ça empêche les parents de rester dans la rue».
  • «Tu fais mieux de couper la pizza en quatre. Je n’ai pas assez faim pour en manger six pointes».
  • «Si tu ne sais pas où tu vas, tu risques d’aboutir ailleurs».
  • «Même Napoléon a eu son Watergate».
  • «La moitié des mensonges à mon sujet ne sont pas vrais».
  • «J’ai participé au débarquement de la Normandie… dans le sud de la France».
  • «Si je connais une léthargie au bâton, ce n’est pas ma faute, mais celle de mon bâton».
  • «Ce gars-là frappe des deux côtés du marbre. Il est amphibien».
  • «Je n’achèterai pas d’encyclopédie à mes enfants. Ils feront comme moi et ils iront à l’école à pied».
  • «O.K., je suis laid, mais je n’ai jamais vu personne frapper la balle avec son visage».
  • «Je suis un gars chanceux. J’ai mon musée au New Jersey et je suis encore vivant».
  • «De nos jours, l’argent n’a plus de valeur. Une pièce de cinq sous ne vaut même pas 10 cents».
  • «Le futur n’est plus ce qu’il était».
  • «Ce n’est pas fini tant que ce n’est pas fini».

Il ne s’en fait plus des athlètes comme YOGI BERRA.

Rapido

  • GREG BIRD a frappé un circuit de trois points en début de 10e manche pour donner une victoire de 6-4 aux Yankees, mardi soir, à TORONTO. C’était son 10e circuit en 34 parties. DIONEER NAVARRO avait forcé la prolongation avec un coup de canon contre l’excellent releveur ANDREW MILLER. Le voltigeur de droite JOSE BAUTISTA a brillé en défense avec deux assistances.
  • JIM FURYK se retire du championnat de la coupe FedEx à cause d’une blessure au poignet gauche. Il préfère se faire soigner en prévision de la COUPE DES PRÉSIDENTS, du 8 au 11 octobre, en Corée du Sud. Il touchera quand même un chèque de 132 000$ pour s’être classé parmi les 30 premiers.

    Michel Simard poursuit son excellent travail au monticule pour les Blue Sox de Thetford Mines.

    Michel Simard poursuit son excellent travail au monticule pour les Blue Sox de Thetford-Mines.

  • MICHEL SIMARD (3-1) a eu le meilleur sur FRANCIS MICHEL (4-1) dans une victoire de 2-0 à Victoriaville. Le deuxième match aura lieu vendredi soir à Thetford-Mines. Les BLUE SOX sont en quête d’un quatrième titre d’affilée dans le circuit Bélisle.
  • MAX PACIORETTY a reçu la bénédiction de CAREY PRICE en tant que nouveau capitaine du CH. C’est diguidou.
  • JASON DAY n’a pas volé sa place au premier rang mondial. Tous les regards seront tournés vers lui à ATLANTA, en fin de semaine.
  • Le grand ERNIE ELS, vainqueur de quatre tournois du Grand Chelem, reçoit le trophée PAYNE STEWART pour son implication auprès des enfants atteints d’autisme. Big Easy est un monsieur avec un grand M.
  • Le club de curling NORANDA, une belle institution en Abitibi, se prépare à entreprendre sa 84e saison. On y a accueilli plein de championnats depuis sa création en 1931.

    Caroline Ouellette s'est rendue en Russie pour enseigner le hockey aux filles.

    Caroline Ouellette s’est rendue à Terre-Neuve pour enseigner le hockey aux jeunes filles.

  • CAROLINE OUELLETTE, Kim Saint-Pierre, Julie Chu, Cathy Chartrand et FRANCE SAINT-LOUIS ont dirigé un camp de hockey féminin à TERRE-NEUVE.
  • Un très bel après-midi de septembre au club de golf WATERVILLE avec mon vieux chum de North Hatley. Le vieux parcours (1903) n’est pas très long (3000 verges), mais il représente encore un défi intéressant. Bravo à DONALD SAINT-PIERRE et à son associé (dont j’oublie le nom).
  • CHRIS NILAN est persuadé que Marc Bergevin doit continuer de GROSSIR son équipe et d’y ajouter de la robustesse.
  • GILLES ROBICHAUD, ex-voltigeur de centre des Alouettes de Sherbrooke, s’est rendu récemment à Sainte-Thérèse pour assister à un match de la LBMQ entre les Brewers et Thetford-Mines. Il a été particulièrement impressionné par STÉPHANE POULIOT, des Blue Sox. «Il me fait penser à CLAUDE GROULX, ancien joueur des Castors d’Acton Vale, dit-il. Il excelle au bâton et au monticule. Il a la même silhouette et la même attitude». Un beau compliment car Groulx a été un des joueurs les plus polyvalents de l’ancienne Ligue Senior du Québec.
  • JOHN McHALE Jr., vice-président exécutif du baseball majeur, dit que MONTRÉAL demeure en tête de liste pour l’obtention d’un club d’expansion ou un projet de relocalisation.
  • Le Sherbrookois ALAIN GUAY, retraité de la SQ, donne tout un spectacle sur un parcours de golf. En tout cas, il ne retarde pas le jeu!
  • MIKE WARD va parfois trop loin… et il n’est pas le seul.

Le mot d’humour

Sur son lit de mort, le mari dit à sa femme: «Mon heure est enfin venue. Avant de mourir, il faut que je t’avoue quelque chose pour avoir l’âme en paix. Chérie, je te demande pardon pour avoir couché avec ta soeur, ta mère et ta meilleure amie».

– «Mon amour, je savais tout cela. C’est pour ça que je t’ai empoisonné».

Méchant rêve et rumeur

La nuit dernière, j’ai fait un drôle de rêve. Je marchais au centre-ville de Burlington lorsque j’ai croisé le seul et unique Bill Lee. Voici le résumé de notre conversation:

– Salut, Bill. Veux-tu bien me dire ce que tu fais ici?

– «À 68 ans, je joue encore au baseball pour une équipe Senior du Vermont. Puisque nous sommes en congé aujourd’hui, j’ai décidé de venir en ville pour voir les boys et caler une couple de Rolling Rock».

Bill Lee: y'en a pas comme lui, si y'en a, y'en a pas beaucoup.

Bill Lee: y’en a pas comme lui, si y’en a, y’en a pas beaucoup.

– À Montréal, on parle de plus en plus du retour possible des Expos. Qu’est-ce que tu en penses?

– «Ils devraient bâtir un stade qui ressemblerait au Fenway Park avec plein de restos, de bars et de boutiques aux alentours. Pour l’ouverture officielle, ils peuvent compter sur moi. Je serai très content de revoir Ellis, le Hawk, Cro, Raines et tous mes anciens coéquipiers. De plus, j’en profiterai pour visiter les bars de la rue Crescent».

– Est-ce qu’on te parle souvent du coup de circuit que tu as accordé à Tony Perez dans le 7e match de la Série mondiale de 1975?

– «À chaque jour. Je ne sais pas encore ce qui m’a pris de lui servir un baloune en plein coeur du marbre. Je menais 3-0 après six manches et je n’avais aucune raison de faire ça. Une crampe au cerveau, je suppose». (Les Red Sox ont finalement perdu la partie et la série).

– Qu’est-ce que tu penses de Donald Trump et de sa volonté de devenir président des États-Unis?

– «Je ne comprends rien là-dedans. Plus fou que ça, tu meurs! Si jamais il est élu à la Maison Blanche, on en verra des vertes et des pas mûres. Moi, pour m’amuser, j’ai déjà été candidat du parti Rhinocéros. Mon slogan était: «Pas de fusil et pas de beurre. Les deux peuvent vous tuer».

– Est-ce que tu t’intéresses encore au hockey et au Canadien de Montréal?

– «Je m’ennuie de Lafleur, Lemaire et Cournoyer. Eux autres, ils savaient jouer».

– Pourquoi est-ce qu’on t’appelle Spaceman?

– «Parce que je viens d’une autre planète et j’en suis fier. Don Zimmer et la plupart de mes gérants n’ont jamais compris que j’étais dans une classe à part. Bowie Kuhn non plus. Il était tout énervé parce que je mettais un peu de marijuana sur mes crêpes».

– As-tu pleuré en apprenant la mort de Jim Fanning?

– «Pas du tout. J’ai fait la paix avec Jim il y a quelques années, mais je ne lui pardonnerai jamais d’avoir échangé mon ami Rodney Scott».

– Que se passe-t-il avec les Red Sox cette année?

– «Ils ont quelques bons frappeurs, mais ils n’ont pas de lanceurs. Vous connaissez le dicton: the name of the game is pitching. S’ils ont besoin de moi, ils savent où me trouver».

– Qu’est-ce que tu penses de l’État islamique?

– «Ça fait longtemps que ces gens-là me font peur. Même avant la tragédie du 11 septembre. Si on ne se réveille pas bientôt, les Musulmans vont prendre le contrôle de l’Occident».

– Est-ce que tu voyages encore autant?

– «Je vais partout où on m’invite et je ne refuse jamais un bon party. J’ai des amis dans tous les coins de l’Amérique. Je n’étais ni Koufax ni Gibson, mais j’avais du coeur au ventre. Les gens ne l’ont pas oublié».

– Merci, Bill, et bonne fin de saison au monticule. Après tout, tu es encore dans la fleur de l’âge!

Hurricanes à Québec?

  • La dernière RUMEUR émane des États-Unis et elle veut que les Hurricanes de la Caroline déménagent à QUÉBEC d’ici un an un deux. RIEN N’EST IMPOSSIBLE dans le monde du sport-spectacle.
    La dernière rumeur veut que les Hurricanes déménagent à Québec.

    La dernière rumeur veut que les Hurricanes déménagent à Québec.

    PETER KARMANOS est sans doute écoeuré de perdre de l’argent à Raleigh avec une équipe qui tourne en rond depuis la conquête de la coupe Stanley, en 2006. Les Hurricanes ont maintenu une pauvre moyenne de 12 500 spectateurs l’hiver dernier. À sa place, j’aurais envie de déménager dans une «vraie ville de hockey». Il est bien connu que le le football de la NFL, le basketball collégial et les courses de NASCAR sont beaucoup plus populaires que le hockey au pays des Rednecks.

  • D’autre part, on peut facilement imaginer que GARY BETTMAN préférerait accueillir deux équipes d’expansion à 500 millions la copie. Si jamais il accepte le déménagement des Hurricanes, ce sera à contre-coeur.
  • Enfin, notre ami PKP n’écarte pas la possibilité que la CAISSE DE DÉPÔT et de placement du Québec s’implique dans l’achat d’une équipe de la Ligue nationale. Peut-être aussi le Fonds de solidarité de la FTQ. Ce dossier n’a pas fini de faire jaser.

Partisan des Bruins?

Celle-là est de Gary Daigneault, sur Facebook. Ça se passe dans une école secondaire de la région de Boston.

Le professeur demande à ses élèves s’ils sont des partisans des Bruins de Boston. Ils lèvent tous la main, sauf le petit Frank.

«Moi, monsieur, je suis un partisan du Canadien de Montréal. Mon père, ma mère, toute la famille aime le CH».

En colère, le professeur réplique: «Si ton père était un idiot, si ta mère était une vache et si tes frères et soeurs étaient des épais, qu’est-ce que tu serais?»

– «Un partisan des Bruins, monsieur!»

Fête réussie à D’Ville

DRUMMONDVILLE— Le soleil n’était pas au rendez-vous et le parcours de Saint-Majorique était inondé par les pluies diluviennes de la veille, mais les anciens joueurs de hockey et de baseball de la Ligue Senior Provinciale affichaient leur bonne humeur habituelle.

Le 17e tournoi annuel des Anciens était organisé par Gerry Manseau, André Larose et l’irremplaçable Claude Côté, ex-patron des Royaux de

Claude Côté et Alain Gagnon ont participé au succès du tournoi annuel des Anciens de la Ligue Senior provinciale.

Claude Côté et Alain Gagnon ont participé au succès du tournoi annuel des Anciens de la Ligue Senior provinciale.

Drummondville. Il manque toujours une couple de soldats parce qu’ils sont malades ou ont été rappelés par «le grand club», mais ceux qui ont le privilège d’être en santé se font un devoir d’être là pour cogner la petite balle blanche, prendre une bière et ressasser les bons souvenirs.

Voici les échos de la fête:

  • EUGÈNE BERGERON, de Sorel, a enlevé les honneurs de la compétition avec une ronde de 74. MARCEL DIONNE l’a félicité en lui offrant un bâton du Temple de la renommée.
  • PAUL BAYEUR, ex-receveur des Canadiens de Saint-Jean, a participé au tournoi avec son fils ALAIN, Gaétan Duluth et Gilles Barker. Grâce à deux aigles, ils ont joué «moins 15» selon la formule Vegas.
  • Fondateur de Gagnon Auto Parts à Napierville, PAUL BAYEUR passe ses hivers dans la région de TAMPA BAY et il joue souvent au golf avec PHIL ESPOSITO. L’ancien joueur étoile des Bruins le surnomme Big Frenchie.
  • On a profité du banquet pour honorer cinq sportifs: RICHARD CHARRON, ancien joueur des Tigres de Victoriaville; MARCEL VAILLANCOURT, arbitre de réputation internationale; CHUCK ESTE, ex-voltigeur de centre des Royaux de Drummonville; JEAN-LUC BESSETTE, dinosaure du hockey à D’Ville, et MAURICE CHARRON, un arbitre originaire de Saint-Hyacinthe.
  • Comme il se doit, les arbitres Charron et Vaillancourt ont eu droit à quelques huées. Charron a été présenté aux convives par son bon ami ERROL GAUTHIER.
  • NORMAND (Ti-Nomme) BRAULT, de Saint-Jean-sur-Richelieu, est méconnaissable avec sa barbe blanche. On dirait le PÈRE AMBROISE!

    Marcel Dionne a profité de son passage à D'Ville pour revoir plusieurs héros de son enfance.

    Marcel Dionne a profité de son passage à D’Ville pour revoir plusieurs héros de son enfance.

  • Le quatuor composé de CLAUDE RAYMOND, Morris Duhaime, Bob Plante et André Bessette totalisait 310 ans. Ça commence à faire de l’âge!
  • L’ex-gardien de but JEAN-PAUL TELLIER agissait comme animateur. Il n’oubliera jamais ses belles années à la crosse avec les RON WARD, Rick Harrington, Raymond Fortin et Ron Racette.
  • GILLES ROBICHAUD et MARCEL GUILBAULT ont impressionné le journaliste DENIS MESSIER par la puissance de leurs coups de départ. Gilles a été un excellent voltigeur de centre à Sherbrooke, Acton Vale et Plessisville. Guilbault, lui, a connu ses plus beaux moments comme lanceur à Granby, Drummondville et Trois-Rivières avant de travailler pour la Brasserie Labatt.
  • L’as collectionneur CHARLES MONTELPARE a fait le voyage à Saint-Majorique avec BERT BOURASSA, ex-défenseur des Braves de Valleyfield et des Reds de Providence. Bert a 86 ans.
  • MICHEL GAURON a pris des dizaines de photos pour la postérité.
  • ALAIN GAGNON et ses adjoints du club Le Drummond ont fait de leur mieux pour que le parcours soit pratiquable.
  • RÉJEAN BERGERON, ambassadeur Molson, est venu faire un tour avec ses amis PETE CIANFLONE et RENÉ JARRY.
  • BEN LEBLANC a réuni 44 golfeurs de SOREL pour participer au tournoi. Dans le groupe, il y avait JEAN DESROCHERS, Claude Cardin, Gilles Cartier, Paul Olivier, Pierre Thibault, Michel Mongeau, Claude Picard, Marcel Parenteau et MICHEL DEGUISE.
  • JACQUES MICHEL, de Victo, était fidèle au poste avec YVON POUDRIER, Denis Dupéré et Michel Beauchesne.
  • JEAN-PIERRE JETTÉ, ancien joueur des Castors d’Acton Vale, n’oubliera jamais les exploits d’HENRI CORBEIL au monticule. Corbeil était un SANDY KOUFAX en format miniature. Jean-Pierre a été barbier pendant 47 ans avant d’accrocher ses ciseaux au clou de la retraite.
  • MAURICE PAIEMENT, de Saint-Polycarpe, a servi une leçon de golf à BRUCE CLINE, Gerry Bolen et André Riopel.
  • GILLES SAINT-ONGE, ancien joueur étoile des Mets de Lachine, formait un quatuor avec JOS SETLAKWE, Chuck Poxon et Jean-Gilles Gagnon.
  • JOHN ELIAS, ex-lanceur des Cardinaux de Granby, suit de près la poussée vertigineuse des BLUE JAYS de Toronto.
  • DANIEL SAINT-DENIS, président des Castors d’Acton Vale, est très fier de son équipe de baseball et des rénovations qui ont été effectuées au stade Léo-Asselin.
  • MARCEL DIONNE a joué ses 18 trous avec JACQUES LEMIEUX, Gilbert Sawyer et Pit Léveillé. Lemieux a été longtemps président du tournoi Midget de D’Ville.
  • Parmi les quelque 140 Has Been, il y avait aussi TOM LABRECQUE, Keith Peak, Norm Bridges, John Beggs, Yvon Després, Sylvain Champagne, ANDRÉ LAGUEUX, Marcel Joyal, Roland Allard, Jess Gaudreau, Yves Rochefort, Jean-Luc Bonneau, Richard Denoncourt et Jos Capistran.
  • Merci pour l’invitation et longue vie aux Anciens de la Ligue Senior provinciale! «Amusons-nous, jeunesse, amusons-nous toujours. Le temps de la jeunesse ne dure pas toujours».

Décès de Frank Gifford

Frank Gifford, un des plus grands joueurs de l’histoire des Giants de New York, est mort subitement à sa résidence du Connecticut. Il avait 84 ans.

Gifford a brillé dans la NFL durant plusieurs saisons et il a été élu

Frank Gifford a été une grande vedette des Giants de New York avant de devenir commentateur à la télévision.

Frank Gifford a été une grande vedette des Giants de New York avant de devenir commentateur à la télévision.

joueur par excellence en 1956. Il était un grand ami de la famille Mara, propriétaire des Giants. Quelques années après sa retraite, il a ajouté à sa popularité en faisant équipe avec Howard Cosell et Don Meredith à l’émission «Monday Night Football».

En tout et partout, il a participé 411 fois à l’émission et il était reconnu pour son franc-parler. Il a aussi travaillé à la télé avec Al Michaels, Dan Dierdorf, Joe Namath et O.J. Simpson, mais on se souvient surtout de lui pour son travail au match du lundi soir.

Gifford a aussi été associé à l’émission «Wide World of Sports» et il a couvert plusieurs Jeux olympiques. En 1976, il a décrit avec brio la victoire du skieur Franz Klammer. Son mariage avec l’animatrice Kathie Lee Gifford a également fait la manchette. Disons qu’il a eu une vie drôlement bien remplie.

Blue Jays en feu

Les Blue Jays de Toronto sont l’équipe de l’heure dans le baseball majeur. En fait, ils sont en feu.

Après avoir acquis deux joueurs étoiles avant la date limite des transactions (David Price et Troy Tulowitzki), la formation torontoise vient non seulement de remporter huit victoires en ligne, mais elle a balayé les Yankees dans leur stade pour la première fois depuis 2003.

Josh Donaldson a frappé son 31e circuit de la saison dans un gain de 2-0 contre les Yankees à New York.

Josh Donaldson a frappé son 31e circuit de la saison dans un gain de 2-0 contre les Yankees à New York.

Dimanche après-midi, Josh Donaldson a cogné son 31e circuit de la campagne et Jose Bautista son 26e dans un gain de 2-0 dans le Bronx. Pendant ce temps, les frappeurs des Yankees se montraient impuissants face à Marco Estrada, LaTroy Hawkins et Roberto Osuna.

Présentement, la machine des Blue Jays roule à plein régime, tant au bâton qu’au monticule ou en défense. Ils ne sont plus qu’à une partie et demie du sommet et tous les espoirs leur sont permis.

Mardi, les Jays seront de retour devant leurs partisans pour une série de trois parties contre les Athletics, puis ils recevront la visite des Yankees en fin de semaine prochaine. Disons que la billetterie devrait bien fonctionner!