Une vieille tradition s’éteint à Drummondville

DRUMMONDVILLE— Journée sublime dans la vaste campagne de Saint-Majorique dans le cadre du 15e et dernier tournoi des Anciens joueurs de la Ligue Senior provinciale (hockey et baseball).

J’avais le bonheur de faire équipe avec Marcel Guilbault, ex-lanceur étoile des Royaux de Drummondville, son ancien receveur Roger Ménard et Onil Duquette, un ancien juge de lignes encore solide du haut de ses 78 ans. Pour une fois que j’étais le plus jeune de mon quatuor!

Marcel Guilbault, ex-lanceur étoile des Royaux de Drummondville, n'aurait pas voulu rater le dernier tournoi de golf des Anciens de la Ligue Senior Provinciale.

Marcel Guilbault, ex-lanceur étoile des Royaux de Drummondville, n’aurait pas voulu rater le dernier tournoi de golf des Anciens de la Ligue Senior Provinciale.

Même s’il faisait très beau, il y avait de la tristesse dans l’air parce que Claude Côté a décidé de tirer sa révérence après avoir tenu l’événement à bout de bras durant toutes ces années. Il n’est toutefois pas impossible qu’un nouveau tournoi voit le jour en 2014. En attendant, voici les échos de la dernière édition:

  • Cinq anciens joueurs étaient à l’honneur: ANDY OCCHIONERO, Yvon Després, Pierre Thibault, Paul Desroches et Chuck Poxon. On a aussi rendu un hommage particulier à MICHEL SAWYER, ex-champion frappeur des Royaux de Drummondville. Michel est surnommé «Monsieur Baseball» au pays des Voltigeurs.
  • JOHN NOCE, ancien gérant des Royaux, est venu de la Californie pour participer à la fête. Il n’oubliera jamais les cinq étés qu’il a passés au stade de la rue Cockburn.
  • MARCEL DIONNE, ancien joueur étoile des Kings de Los Angeles, avait plein de cadeaux à remettre aux héros de son enfance. Il nous a aussi montré une vidéo des années 1970 où on le voit chanter avec BERNARD GEOFFRION et ROGATIEN VACHON. On faisait aussi des folies dans ce temps-là.
  • Avec la bague géante que les Kings lui ont donnée après leur conquête de la coupe Stanley, Marcel Dionne pourrait «clairer son hypothèque»!
  • HENRI CORBEIL a été le Sandy Koufax des Castors d’Acton Vale durant les années 1960. Il était content de revoir les GILLES DUBÉ, Bob Pépin, Marcel Guilbault, Tony Marrocco, John Elias et Claude Raymond. Âgé de 81 ans, Henri était accompagné de son fils Pierre. Il doit se déplacer avec une canne, mais son moral est excellent. Comme Frenchie, il a un faible pour le sudoku.
  • CLAUDE CÔTÉ a reçu une magnifique photo de la Coupe Canada 1976 en guise de remerciement pour sa contribution au tournoi. On y voit BOBBY ORR, Guy Lafleur et Marcel Dionne au centre de la patinoire après la victoire contre les Russes.

    Marcel Dionne ne rate jamais l'occasion de saluer les héros de son enfance.

    Marcel Dionne ne rate jamais l’occasion de saluer les héros de son enfance.

  • BEN LEBLANC était à la tête d’une forte délégation de Sorel. Il y avait GILLES CARTIER, Ti-Bi Cardin, Michel Mongeau, Richard Charron, Roby Joubert, Michel Lemieux, Pete Bisson et plusieurs autres «tire-bouchons».
  • ALAIN USEREAU, commentateur à RDS et recherchiste en baseball, a réalisé quelques entrevues.
  • GILLES DUBÉ portait fièrement sa bague de la coupe Stanley. Comme MARCEL BONIN, il l’a reçue 55 ans après avoir aidé les Red Wings à gagner le précieux trophée (en 1954).
  • Le DOC TRAHAN, de Saint-Maurice, était fidèle au rendez-vous avec le journaliste CLAUDE LORANGER.
  • ALAIN GAGNON, directeur général du club Le Drummond, et la gérante NATHALIE DEMANCHE ont vu au bon fonctionnement de la journée. Le service au bar et dans la salle à manger était assuré par MYLÈNE CÔTÉ, Linda Desjardins, Yanika Landry et Suzanne Rodier.
  • JEAN-GUY DUBOIS, ancien maire de Bécancour, en avait long à raconter à MARCEL JOYAL, Louis Beaudet et Claude Bernier. Ce dernier est président du club de golf Godefroy.
  • MICHEL PARIZEAU, ancien joueur des Nordiques, vit à Drummondville depuis 10 ans. Il a longtemps travaillé dans le monde de l’assurance, mais il est maintenant à la retraite.
  • MARCEL GUILBAULT s’est tapé un deuxième voyage à Terre-Neuve avec sa belle Diane. Le pays des Newfies est un paradis pour la chasse et la pêche.
  • Les collectionneurs CHARLES MONTELPARE et ONIL BOUTIN avaient plein d’objets à montrer aux participants.

    Jacques B. Côté pourrait écrire un livre sur l'histoire des Royaux de Drummondville.

    Jacques B. Côté, un conteur exceptionnel, pourrait écrire un livre sur l’histoire des Royaux de Drummondville.

  • RÉJEAN BERGERON, ambassadeur Molson, et JACQUES B.CÔTÉ, vice-président de Ronor International, ont revu plusieurs amis de l’époque des Royaux.
  • Le docteur MORRIS DUHAIME représentait les Anciens de la Ligue Dépression.
  • RAYMOND FORTIN, ex-défenseur des Blues de Saint-Louis, est en grande forme après avoir éprouvé des problèmes de santé.
  • JOHN ELIAS ne vivra pas assez vieux pour oublier ses exploits dans l’uniforme des Chevaliers de Granby.
  • Parmi les inscrits, il y avait également l’ancien journaliste PIERRE ROUX, Renald Dionne, Gilles et Gilbert Sawyer, Serge Jutras, ANDRÉ LAGUEUX, Jean-Paul Tessier, Jean Hamelin, Claude Paquette, Pete Lalancette, Jess  Gaudreau, Adrien Daviault, GILLES ROBICHAUD, Frank Pignataro, Jacques Michel, Denis Dupéré, Clément Tremblay, Gerry Bolen, Keith Peak, Maurice Paiement et trois ou quatre membres de la famille Occhionero.

Selig met ses culottes et A-Rod se défend

L’enquête menée par un petit journal de Miami a fait tellement de tapage que le bureau du commissaire Bud Selig n’a eu d’autre choix que de prendre l’affaire en mains avant d’imposer des sanctions très sévères aux clients de la clinique Biogenesis.

C’est un jour noir pour le baseball majeur, un jour TRÈS NOIR. Après le rapport Mitchell et les accusations portées contre Barry Bonds, Mark McGwire, Roger Clemens, Éric Gagné, Rafael Palmeiro et quelques autres, on croyait que les choses iraient mieux, mais elles n’ont fait qu’empirer.

Pourquoi? Parce que la fin justifie souvent les moyens et que l’ambition finit par l’emporter sur le jugement. Tous les joueurs suspendus, en majorité des Latinos, ont choisi d’utiliser ces «substances défendues» dans le but de performer davantage et d’encaisser encore plus de pognon.

Alex Rodriguez perdra environ 35M$ s'il doit purger sa suspension de 211 parties.

Alex Rodriguez perdra environ 35M$ s’il doit purger sa suspension de 211 parties. Il accuse les Yankees d’avoir comploté avec les autorités du baseball majeur pour annuler son contrat.

Bien sûr, c’est Alex Rodriguez qui essuie la pire gifle. Suspendu pour 211 matchs, il accuse les Yankees d’avoir comploté avec les autorités du baseball majeur dans l’espoir d’annuler son très riche contrat. Ça lui coûtera une fortune en avocats pour «défendre sa peau», mais peut-on le blâmer de vouloir récupérer la plus grande partie de son dû, quitte à encaisser les huées et les sarcasmes? Vous feriez quoi à sa place?

«Je trouve dégueulasse que les Yankees le laissent jouer pendant qu’il porte sa cause en appel, me dit Claude Raymond. Je sais qu’ils sont mal pris au troisième but, mais ça ne fait rien. Lorsque Melky Cabrera a été suspendu pour 50 matchs l’an passé, les Giants ont décidé qu’il n’était plus le bienvenu dans le vestiaire et ça ne les a pas empêchés de gagner la Série mondiale».

On estime que Rodriguez perdra environ 35M$ s’il doit purger ses 211 matchs de suspension.

D’autre part, on a hâte de voir comment les Rangers et les Tigers réagiront dans les dossiers de Nelson Cruz et de Johnny Peralta, deux joueurs de premier plan. Les deux hommes deviendront joueurs autonomes cet automne et ils auront le droit de participer aux séries de championnat après avoir purgé leur suspension de 50 matchs.

Ce qui est très mauvais dans cette affaire, c’est qu’elle éclabousse tout le monde. La majorité des joueurs sont «clean» et ne veulent pas utiliser de produits dopants. Reste à voir si les dernières sanctions seront suffisantes pour faire peur à tous ceux qui auraient envie de tricher.

Mark McGwire, instructeur chez les Cards de Saint-Louis, s’est fait repentant dans les dernières heures et il a lancé un bon message aux amateurs de baseball: «J’aimerais n’avoir jamais été impliqué dans ces histoires. Je souhaite et je prie pour que ce soit la fin (de la tricherie). S’il le faut, qu’on impose des sanctions encore plus sévères».

Est-ce que le baseball s’en remettra? Bien sûr que oui. La «game» est plus forte que ses acteurs!

Mariano = respect

Fier comme un paon, Mariano Rivera s’est amené du champ centre sous les applaudissements de la foule et des meilleurs joueurs de balle de la planète.

Rares sont les athlètes qui imposent un tel respect. En plus d’être le meilleur «pompier» de l’histoire du baseball et le roi incontesté de la «cut fastball», Rivera est un gars d’équipe et un formidable ambassadeur pour son sport. C’est pour toutes ces raisons qu’on lui a rendu un si bel hommage, mardi soir, dans le cadre du 84e match des étoiles du baseball majeur.

Meilleur releveur de l'histoire du baseball, Mariano Rivera a eu droit à un hommage bien senti, mardi soir, à New York.

Meilleur releveur de l’histoire du baseball, Mariano Rivera a eu droit à un hommage bien senti, mardi soir, à New York.

Visiblement ému, «Mo» s’est installé sur la butte et n’a eu besoin que de 16 tirs pour liquider les trois frappeurs à lui faire face en fin de huitième manche, ce qui lui a valu une autre ovation.

Le gérant Jim Leyland avait promis de le faire lancer en huitième ou neuvième manche. «Je veux quitter New York vivant!», a-t-il expliqué avant le début de la rencontre.

«Ce moment-là n’a pas de prix, a déclaré Rivera à la télévision. Je le place tout de suite après mes victoires en Série mondiale. Leyland avait promis de me faire jouer et il a tenu parole. Je remercie aussi le commissaire Bud Selig pour ses bons mots, de même que tous les amateurs. New York est une ville unique au monde pour un joueur de baseball».

À 43 ans, Rivera est encore un des meilleurs de sa profession. Il pourrait prolonger sa carrière d’un an ou deux. Cependant, il y a tout lieu de croire qu’il en est à sa dernière campagne. Les Yankees n’ont personne pour lui succéder, mais ils trouveront l’argent nécessaire pour convaincre un des as de la relève de poursuivre sa carrière dans le zoo du Big Apple.

LES ÉCHOS DU MATCH DES ÉTOILES

  • Les LANCEURS de la Ligue américaine ont été tellement bons qu’ils ont limité les frappeurs de la Nationale à trois petits coups sûrs. JIM LEYLAND voulait absolument gagner ce match afin de profiter de l’avantage du terrain si jamais ses Tigers atteignent la SÉRIE MONDIALE. À noter que les neuf dernières Séries mondiales qui se sont rendues à la limite (sept parties) ont toutes été gagnées par l’équipe locale.
  • Le gros PRINCE FIELDER a fait rire tout le monde quand il a couru de toutes ses forces pour réussir un triple en début de 9e manche, mais personne n’a réussi à le pousser au marbre.
  • L’excellent TIM McCARVER en est à sa dernière saison comme analyste pour le réseau FOX. Il a autographié sa feuille de pointage (mardi soir) et elle sera exposée à COOPERSTOWN. Durant sa carrière, McCarver a été le receveur de BOB GIBSON et de STEVE CARLTON. Il a aussi porté brièvement les couleurs des EXPOS au début des années 1970.

    Clayton Kershaw, des Dodgers, serait le premier choix de Tim McCarver pour bâtir une nouvelle équipe.

    Clayton Kershaw, des Dodgers, serait le premier choix de Tim McCarver pour bâtir une nouvelle équipe.

  • «Si je bâtissais une nouvelle équipe, mon premier choix se porterait sur le lanceur CLAYTON KERSHAW, des Dodgers, a dit McCarver. Il parle aussi avec enthousiasme des jeunes JOSE FERNANDEZ (Miami), Bryce Harper (Washington), Mike Trout (Angels) et Manny Machado (Baltimore).
  • DAVID ORTIZ est très heureux chez les nouveaux Red Sox et il vante le travail du gérant JOHN FARRELL. Personne à Boston ne s’ennuie de Bobby Valentine.
  • TOM SEAVER a eu l’insigne honneur de lancer la première balle. «Tom Terrific» est le meilleur lanceur de l’histoire des Mets. On avait aussi invité DARRYL STRAWBERRY, Dwight Gooden, Keith Hernandez et d’autres anciennes gloires de l’équipe.
  • La LIGUE NATIONALE reste en avance dans le match des étoiles: 43-39-2.
  • Il y avait quelques absents de marque cette année: DEREK JETER, Alex Rodriguez, Albert Pujols, Roy Halladay et C.C. Sabathia.
  • Tout le monde parle du coup de bâton de MIGUEL CABRERA, mais on oublie son travail au «coin chaud». Il se défend très bien pour un joueur aussi lourd.
  • Le jeune MANNY MACHADO a réussi le plus beau jeu du match sur une balle frappée très solidement le long de la ligne du troisième but par PAUL GOLDSCHMIDT. Machado est tellement brillant que BROOKS ROBINSON se rend souvent au stade des Orioles pour le voir à l’oeuvre.

    Manny Machado, des Orioles de Baltimore: un futur Brooks Robinson?

    Manny Machado, des Orioles de Baltimore: un futur Brooks Robinson?

  • ROBINSON CANO a été atteint au genou par une rapide de MATT HARVEY en début de match. Les partisans des Yankees sont inquiets.
  • Le grand gaucher CHRIS SALE, des White Sox, a le don de faire mal paraître les frappeurs avec ses balles tombantes.
  • Le match a attiré 45 186 spectateurs. C’est la plus grosse foule jamais enregistrée au CitiField.
  • NEIL DIAMOND a animé la foule en 8e manche en venant chanter SWEET CAROLINE.
  • «Il faut apprécier chaque moment. On ne sait jamais si on reviendra ou pas», a noté le vétéran TORII HUNTER, des Tigers. CLAUDE RAYMOND aurait dit la même chose.
  • Le voltigeur de centre ADAM JONES, de Orioles, est un athlète exceptionnel.
  • Les PIRATES, au plus fort de la course, misent beaucoup sur ANDY McCUTCHEON en deuxième demie.
  • GRANT BALFOUR, des Athletics, a préservé 43 victoires d’affilée.
  • L’an prochain, le match des étoiles sera présenté dans le nouveau stade des Twins du MINNESOTA.
  • MIGUEL CABRERA frappe pour ,443 avec des coureurs en position de compter. Ça dit tout.
  • Les joueurs des ORIOLES portent le numéro 4 sur leur uniforme en mémoire d’EARL WEAVER, le meilleur gérant de leur histoire.
  • JOSE FERNANDEZ, des Marlins, pourrait devenir le meilleur lanceur cubain de tous les temps. Il n’a que 20 ans et il pousse sa rapide à 98 milles à l’heure.
  • Les joueurs soupçonnés d’avoir utilisé des SUBSTANCES ILLICITES ne connaîtront probablement pas leur sentence avant l’an prochain. C’est un long processus et il faut établir des PREUVES SOLIDES.
  • JIM LEYLAND et BRUCE BOCHY sont deux anciens receveurs, mais ils n’avaient pas le talent de JOE TORRE.
  • En 1964, les Mets avaient accueilli la classique des étoiles au stade Shea et JOHNNY CALLISON, des Phillies, avait été la grande vedette avec un circuit de trois points en fin de match.

Baseball à Cuba et ailleurs…

Pour la première fois depuis 1961, on a présenté un match de baseball des ligues majeures à la télévision cubaine.

Dimanche soir dernier, on a retransmis un match vieux de deux mois entre les Braves d’Atlanta et les Nationals de Washington. La réponse des Cubains a été mitigée parce qu’il n’y avait aucun de leurs compatriotes dans les deux formations.

Ils préféreraient voir des joueurs comme la recrue Yasiel Puig, des Dodgers, ou l’as lanceur Aroldis Chapman, des Reds de Cincinnati.

Tony Perez: un des plus grands joueurs de baseball issus de Cuba.

Tony Perez: un des plus grands joueurs de baseball originaires de Cuba.

Le baseball est le sport national au pays de Fidel Castro. On y a produit de fameux joueurs, dont Tony Perez, Tony Oliva, Bert Campaneris, Jose Canseco, Mike Cuellar, Minnie Minoso, Cookie Rojas, Sandy Amoros et Camilo Pascual. Ils ont tous dû déserter leur pays pour aller faire fortune aux États-Unis.

Il y a quelques jours, la télé cubaine a présenté en différé quelques parties de la finale de la NBA. Elle offre aussi des matchs de baseball en provenance du Japon, de la Corée du Sud, de Taiwan, du Mexique et des pays d’Amérique latine.

On peut rêver au jour où Cuba aura son équipe dans les ligues majeures, mais c’est loin d’être fait.

(Source: Associated Press)

BASEBALL EXPRESS

  • Lorsque CARL YASTRZEMSKI a gagné la Triple couronne en 1967, il touchait un salaire de 50 000$ par année. Quand MIGUEL CABRERA a répété l’exploit 45 ans plus tard, son salaire était de 21M$.
  • ANDY PETTITE, l’as gaucher des Yankees, a devancé le légendaire WHITEY FORD avec son 1958e retrait au bâton. C’est un sommet chez les Yankees.
  • MARK TRUMBO, des Angels, et ANTHONY RIZZO, des Cubs, ont cogné les deux plus longs circuits cette saison. Des claques de 475 pieds.
  • Dans l’espoir de remporter le championnat de leur section, les ORIOLES ont obtenu le lanceur partant SCOTT FELDMAN, des Cubs de Chicago. En retour, ils ont sacrifié le jeune lanceur JAKE ARIETTA.
  • Le joueur de troisième but MANNY MACHADO est la nouvelle coqueluche des partisans des Orioles. Il a fait compter 42 points depuis le début du calendrier et on dit de lui qu’il est le meilleur joueur de troisième but de l’équipe depuis un certain BROOKS ROBINSON.

    Johnny Bench et Carl Yastrzemski, deux des plus grandes stars des années 1970.

    Johnny Bench et Carl Yastrzemski, deux des plus grandes stars des années 1970.

  • Les DODGERS ont les yeux sur le joueur de deuxième but CHASE UTLEY, des Phillies.
  • CASEY JENSEN fait sensation en courte relève pour les BLUE JAYS. Il a réussi 17 de ses 18 dernières missions.
  • Les RED SOX auraient envie de rapatrier le releveur JONATHAN PAPELBON.
  • Le jeune BRYCE HARPER, des Nationals, a salué son retour au jeu avec un coup de circuit.
  • Après avoir arraché un contrat de 75M$ aux Braves, B.J. UPTON frappe pour ,177 avec huit circuits et 19 points produits.
  • FERNANDO RODNEY, des Rays de Tampa, a saboté cinq sauvetages de suite.
  • LEONARDO OCHOA, des Castors d’Acton Vale, est le joueur du mois au baseball senior. Au monticule, les honneurs vont à son coéquipier DANY COULOMBE. Le héros de la semaine est SHWAN SMITH, de l’équipe de Saint-Jérôme.
  • L’excellent JERED WEAVER n’a remporté qu’une seule victoire pour les Angels depuis le début de la saison.
  • Les YANKEES seraient prêts à échanger CURTIS GRANDERSON, Joba Chamberlain et Phil Hughes… si on leur fait une offre raisonnable.