- GREG MADDUX, ex-lanceur étoile des Braves, 49 ans.
- PETE ROSE, ancien joueur étoile des Reds, 74 ans.
- ROBERTO DeVICENZO, champion golfeur d’Argentine, 92 ans.
- MARIE-SOLEIL MICHON, animatrice.
- GUILLAUME LEBLANC, marcheur olympique, 53 ans.
- FRANCINE RUEL, comédienne.
- CHARLES HAMELIN, patineur de vitesse.
- ROGER DUBOIS, président de Canimex-Drummondville, 76 ans.
- DAVID JUSTICE, ancien joueur des Braves, 49 ans.
- DANA QUIGLEY, vétéran de la PGA, 68 ans.
- MARIE-THÉRÈSE FORTIN, comédienne.
- JEAN-MARIE LAFORGE, pro de golf à La Tuque, 81 ans.
- LOTHAIRE BLUTEAU, comédien.
- LOUIS SIMARD, ski nautique.
- STEVE LAROUCHE, ancien joueur des Draveurs, 44 ans.
- BOBBY NICHOLS, ex-champion de la PGA, 79 ans.
- ALAIN CÔTÉ, ancien joueur du CH, 48 ans.
- BOB McCAMMON, ancien coach des Flyers, 74 ans.
- JEAN-PIERRE JETTÉ, ancien joueur des Castors d’Acton Vale, 81 ans.
- SIMON WAKEFIELD, golfeur européen, 41 ans.
- JACQUES OLIVIER, sportif de la Rive-Sud, 71 ans.
- JULIE CHRISTIE, actrice, 74 ans.
- LORETTA LYNN, chanteuse, 80 ans.
- FRANCINE GRIMALDI, chroniqueure.
- ADRIAN BRODY, acteur, 42 ans.
- PIERRE MAILLETTE, de Montréal, 72 ans.
- PETER MUELLER, ancien joueur de l’Avalanche, 27 ans.
- NICOLE TERROUX, de Boucherville.
- PAUL MASNICK, ancien joueur du CH, 84 ans.
- STEVE AVERY, ex-lanceur des Braves, 45 ans.
- JAN SIEMERINK, tennis, 45 ans.
- ALDÉ LEHOUILLER, de Trois-Rivières, 74 ans.
- STÉPHANE CARON, des JSH.
- MARCEL MAGNAN, de Dorval, 68 ans.
Spieth aux trousses de McIlroy
AUGUSTA, Géorgie— «C’est le plus beau jour de ma vie, a dit Jordan Spieth en se présentant devant les journalistes du monde entier. Voir mon nom sur ce trophée et porter le veston vert, c’est un rêve devenu réalité».
«Augusta est mon club préféré pour toutes sortes de raisons, mais surtout à cause des verts très ondulés où il faut faire preuve d’imagination et de dextérité. Je suis content que le tournoi des Maîtres ait lieu toujours au même endroit!», a-t-il ajouté.
Spieth a parlé de ses deux victoires en Australie à la fin de 2014: «J’ai alors réalisé que j’étais capable de bien jouer sous pression et ça m’a donné confiance. J’ai d’ailleurs l’intention de retourner en Australie l’hiver prochain».
Le golfeur du Texas ne cache pas son ambition de devenir le meilleur golfeur de la planète, un titre qui appartient présentement à Rory McIlroy. «Je me rapproche du but, mais je ne frapperai jamais la balle aussi loin que lui, a-t-il dit. Je devrai trouver d’autres façons de le battre. Je ne sais pas s’il y aura une grande rivalité entre nous deux. Le temps le dira. Ce que je sais, c’est qu’il y a plusieurs bons jeunes joueurs sur le circuit et que personne ne souhaite de malheur aux autres».
Phil encouragé
Phil Mickelson aurait aimé ajouté un autre veston vert à sa collection, mais il n’était pas trop déçu. C’est la 9e fois qu’il termine deuxième dans un tournoi majeur. Il peut se consoler en pensant que c’est arrivé 19 fois à un certain Jack Nicklaus!
«J’ai joué un ronde solide (69), mais pas une ronde exceptionnelle, a-t-il avoué. Il aurait fallu que je sois sensationnel pour battre Jordan et je ne l’ai pas été. Les fanions étaient placés pour réussir un bas pointage, mais j’ai commis trois bogeys qui ont ralenti mes ardeurs. Si on m’avait dit au début de la semaine que je finirais le tournoi à «moins 14», je l’aurais pris volontiers.
«Donnez à Jordan tout le mérite qui lui revient. Chaque fois qu’il commettait une erreur, il répliquait avec un birdie. Il n’a pas de faiblesse apparente et il joue très bien sous pression. Il est aussi une très bonne personne. Je concentrerai maintenant mes efforts sur le championnat des joueurs (TPC) et sur l’Omnium des États-Unis. À mon âge, ce sont les tournois qui me font vibrer».
Pour ce qui est de Justin Rose, il a déclaré: «C’est une forte sensation que de jouer en finale à Augusta le dimanche après-midi. J’ai tenté de mettre la pression sur Jordan. J’ai commencé avec deux birdies, mais j’ai faibli sur la fin du premier neuf et ça m’a coûté cher. Jordan n’a jamais vraiment ouvert la porte. Il joue super depuis un mois et il est vachement impressionnant pour un gars de 21 ans. Je ne retiens que le positif et j’envisage une excellente fin de saison».
Les anniversaires du lundi 13 avril
En passant
- SERGEI GONCHAR, défenseur du Candien, 41 ans.
- PATRIK ELIAS, joueur de centre des Devils, 39 ans.
- DAVIS LOVE III, vétéran de la PGA, 51 ans.
- MAURICE RICHARD, fils du Rocket, 70 ans.
- HOCAN OLSSON, directeur de golf à Mont-Bruno, 62 ans.
- LORENZO CAIN, voltigeur des Royals de Kansas City, 29 ans.
- RENÉ VILLEMURE, ancien joueur des Bruins de Shawinigan, 63 ans.
- ANDRÉ YOUNG, golfeur et homme d’affaires de Trois-Rivières, 76 ans.
- ALEX STIDA, un as du vélo, 54 ans.
- PETER CARLSSON, tennis, 52 ans.
- YVES LORANGER, de Cap-de-la-Madeleine, 54 ans.
- GEORGES ZAOR, ancien patron du club de golf Venise, 73 ans.
- KEN HODGE Jr., ancien des Bruins, 49 ans.
- MARC PRÉVOST, de RDS.
- PATRICE PARÉ, ancien joueur du Canadien Junior, 54 ans.
- GARRY KASPAROV, champion joueur d’échecs, 52 ans.
- CATHY WILKIE, de Laval, 36 ans.
- JACQUELINE LEVASSEUR et PATRICK CHAPUT, des JSH.
Spieth haut-la-main
AUGUSTA, Géorgie— Fort d’une avance de quatre coups avant la finale, le jeune Jordan Spieth n’a jamais eu à s’inquiéter et il a gagné le 79e tournoi des Maîtres avec une facilité étonnante. Son total de 270 lui permet d’égaler la marque établie par Tiger Woods en 1997.
Il avait le record au bout du bâton, mais il a raté un roulé d’environ trois pieds au 72e trou. Ça n’enlève rien à son succès.
Franchement, on s’attendait à une fin de tournoi plus excitante, mais le brillant golfeur de 21 ans n’a pas été vraiment menacé par Justin Rose (70) et Phil Mickelson (69), ses plus proches poursuivants. Chaque fois qu’il commettait un bogey, il revenait plus fort.
Il devient ainsi le cinquième golfeur à gagner le Masters de bout en bout après Craig Wood (1941), Arnold Palmer (1960), Jack Nicklaus (1972) et Raymond Floyd (1976).
Deuxième l’an passé derrière Bubba Watson, Spieth suit les traces d’autres champions originaires du Texas: Byron Nelson, Jimmy Demaret, Ben Hogan, Ben Crenshaw, Jack Burke Jr. et Charles Coody.
Si on se fie aux propos d’Ernie Els et d’autres experts en la matière, on n’a pas fini d’entendre parler de M. Spieth durant les prochaines années. Il pourrait même dominer la scène du golf en compagnie de l’Irlandais Rory McIlroy. Ce sera une histoire à suivre.
Sous les grands pins
- La victoire de Spieth survient 40 ans après la fameuse bataille Nicklaus-Miller-Weiskopf, 20 ans après la victoire émotive de BEN CRENSHAW et 10 ans après le coup miracle de TIGER WOODS au 16e trou. Vous vous souvenez de la balle qui roulait lentement dans la coupe avec son logo Nike?
- TIGER WOODS (73) s’est sorti du tableau principal avec un bogey au 4e trou et un autre au 7e. Il a quand même assez bien joué pour un gars qui était absent de la scène depuis plus de deux mois et il a fait plaisir à ses nombreux supporters avec un aigle au 13e.
- RORY McILROY, qui jouait en compagnie de son idole de jeunesse, a terminé le tournoi en force avec un 66, mais c’était trop peu trop tard.
- Personne ne peut battre IAN POULTER en ce qui concerne la tenue vestimentaire. Une carte de mode des pieds à la tête. Le golfeur de 39 ans a retranché 10 coups à la normale durant les deux dernières journées. Il aurait dû y penser avant!
- MARK O’MEARA, 58 ans, s’est fait plaisir avec une dernière ronde de 68. Il a réussi quatre birdies sur le deuxième neuf. Le champion de 1998 termine ainsi le tournoi à «moins 2», sur un pied d’égalité avec le grand ERNIE ELS, Patrick Reed, Keegan Bradley et le colosse Angel Cabrera.
- STEVE STRICKER, de retour au jeu après avoir soigné une blessure, a également joué 68 en dernier parcours.
- Les commentaires des SPECTATEURS sont parfois savoureux, parfois insignifiants. Les gérants d’estrade ne manquent pas et ils parlent souvent aux joueurs comme s’ils les connaissaient personnellement.
- On nous a expliqué quoi faire pour respecter le PROTOCOLE lors de la journée des Médias, lundi. Si la Dame Nature veut collaborer, ce sera une journée inoubliable pour RÉAL LABBÉ et l’auteur de ces lignes.
- À plus.







