La crème de la crème

Comme des milliers de Canadiens, j’ai suivi avec intérêt les cérémonies d’intronisation du Temple de la renommée du hockey, lundi soir, à Toronto. Du travail bien fait par les dirigeants du panthéon et les artisans de TSN. Voici les commentaires que j’ai retenus pour vous:

  • DOMINIK HASEK, six fois vainqueur du trophée Vézina: «Je dois un gros merci à mes parents et à mes grands-parents qui n’ont jamais cessé de m’encourager. Dès l’âge de 6 ans, je voulais devenir gardien de but. J’ai décidé de tenter ma chance en Amérique peu de temps après la chute du MUR DE BERLIN. Il n’y avait pas de place pour moi à Chicago à cause d’ED BELFOUR, mais j’ai trouvé ma niche à Buffalo. J’ai eu des coéquipiers extraordinaires pour atteindre mes objectifs».

    Dominik Hasek était très ému lors de son entrée officielle au Panthéon du hockey.

    Dominik Hasek était très ému lors de son entrée officielle au Panthéon du hockey.

  • PETER FORSBERG: «J’aurais aimé avoir la santé pour jouer pendant 20 ans au lieu de 12. Je suis fier d’être le troisième Suédois à entrer au panthéon (après Borje Salming et Mats Sundin)».
  • MIKE MODANO: «Un gros merci à RICK WILSON, mon entraîneur à Prince Albert, et à BOB GAINEY, mon patron au Minnesota. Bob n’a jamais cessé de me pousser dans le dos. C’est lui qui a fait de moi un joueur complet. Je n’oublierai jamais cette coupe Stanley remportée au Texas».
  • ROB BLAKE: «À mes débuts avec les Kings, WAYNE GRETZKY m’a dit: «Si tu rates encore le filet, je ne te passe plus la rondelle. J’ai saisi le message!»
  • JASON BURNS, fils de Pat: «Avant de mourir, mon père m’a dit de bien me préparer pour faire ce discours. Il m’a dit aussi de ne pas oublier Wayne Gretzky, Charlie Henry et Lou Lamoriello».
  • JOE SAKIC: «Peter Forsberg était un mélange de talent, de finesse et de robustesse. Il était le parfait guerrier et il était toujours là quand nous avions besoin de lui».
  • BILL McCREARY: «Comme tous les jeunes, je rêvais de jouer dans la Ligue nationale. J’ai réalisé mon rêve autrement en devenant arbitre. Merci beaucoup à SCOTTY MORRISON, à John McCauley et à tous mes anciens confrères de travail».
  • GARY BETTMAN: «Le hockey est plus populaire que jamais à travers le monde. Ayons une bonne pensée pour JEAN BÉLIVEAU, Gordie Howe et Pat Quinn qui vivent des moments difficiles».
  • PAT LAFONTAINE: «Dominik Hasek était comme une pieuvre devant le filet. Je l’ai vu réussir des arrêts absolument impossibles».

Mardi en rafales

  • Pour une raison que j’ignore, le dossier du golfeur professionnel DUSTIN JOHNSON fait plus jaser en Europe qu’aux États-Unis. On sait que le colosse de MYRTLE BEACH a été invité à prendre congé durant quelques mois après avoir raté trois tests anti-dopage. Aucun joueur ou dirigeant de la PGA ne veut se mouiller et commenter l’affaire. «C’est un sujet délicat et je préfère m’abstenir», a déclaré PHIL MICKELSON avant un récent tournoi en Asie.

    Dustin Johnson fait parler de lui et pas pour les bonnes raisons.

    Dustin Johnson fait parler de lui et pas pour les bonnes raisons.

  • Un des plus longs cogneurs du circuit, Johnson est fiancé à PAULINA GRETZKY, fille de Wayne Gretzky, et ils attendent la venue d’un premier enfant. La rumeur veut que Johnson ait eu des aventures avec les épouses de deux autres joueurs de la PGA et qu’une de ces liaisons ait même causé un DIVORCE. Allez donc savoir. La PGA a souvent été accusée de manquer de TRANSPARENCE en ce qui concerne le dopage et les écarts de conduite de ses membres. Elle veut régler tous ses dossiers à l’interne. On s’attend à ce que Johnson soit bombardé de questions le jour où il pourra reprendre le collier.
  • Le botteur de précision DOMINIC LÉVESQUE était inconsolable suite à la défaite des Cougars du Collège Champlain dans le BOL D’OR du football collégial. Le Beauceron a raté un botté de 25 verges en fin de match et les Cougars ont finalement perdu en troisième prolongation face aux Spartiates du VIEUX-MONTRÉAL.
  • GUY BOUCHER, ex-entraîneur du Lightning de Tampa Bay, se dit heureux à la barre du CP BERNE, une des équipes de hockey les plus populaires en Europe. Il s’est installé sur une petite ferme en banlieue de Berne et il peut coucher à la maison à tous les soirs. Son plus long voyage en autobus dure trois heures. Merci à GABRIEL BÉLAND pour les infos.

    Ken Dryden était la tête d'affiche du dernier gala du Panthéon des sports. Il pose ici avec deux championnes également élues: Clara Hughes et Denyse Julien. (Photo P.Y. Pelletier)

    Ken Dryden était la tête d’affiche du dernier gala du Panthéon des sports. Il pose ici avec deux championnes également élues: Clara Hughes et Denyse Julien. (Photo P.Y. Pelletier)

  • CHARLIE HENRY, ancien patron des Olympiques de Gatineau, est le premier à applaudir l’élection de PAT BURNS au Panthéon du hockey. Il y avait un lien très solide entre les deux hommes.
  • JACQUES DOUCET vous propose Mémoires d’un micro, un livre qui raconte ses multiples aventures dans le monde du baseball. Écrit en association avec MARC ROBITAILLE.
  • SUPERBE SOIRÉE AU PILSEN: De nombreux sportifs ont participé à la soirée V.I.P. organisée par PAT LAJOIE et sa belle Nancy au resto-pub Pilsen de NORTH HATLEY… Parmi les invités, il y avait DONALD DEMERS, de Promoposte.com, le nettoyeur MICHEL LEBLANC, Christian Savoie, André Vézina, Carl Rodrigue, Julie Sage, Hélène Charest et ROBERT SAINT-DENIS… Le chef RAPHAËL, l’orchestre de TIM BRINKS, Katanou, Fred et la belle Roxane ont également contribué au succès de la soirée.
  • JASON DOLGY (Waterloo), JEREMY GOUCHIE et ALEXANDRE PICHÉ (Marieville) sont les héros hebdomadaires dans la Ligue de hockey Senior des Cantons de l’Est.

    Le Pilsen, une vieille tradition dans le petit village de North Hatley.

    Le Pilsen, une vieille tradition dans le petit village de North Hatley.

  • FRANCINE GAGNIER, veuve de l’ancien professionnel de golf André Gagnier, me donne de ses nouvelles depuis SAINT-SAUVEUR. «Je m’intéresse encore à plusieurs sports et je suis certaine qu’André veille toujours sur moi», écrit-elle.

Le mot d’humour

C’est l’histoire du Newfie qui envoie un texto à sa femme: «Je prends une dernière bière avec boys à la taverne. Si je ne suis pas de retour dans une demi-heure, lis de nouveau ce message!»

Pat Burns était un dieu à Toronto en 1993

Peter Forsberg, Rob Blake, Mike Modano et Dominik Hasek ont été admis au Temple de la renommée du hockey, lundi soir. On a aussi fait une place à l’arbitre Bill McCreary et à PAT BURNS, trois fois vainqueur du trophée Jack Adams avec trois équipes différentes (Canadien, Toronto et Boston).

Emporté par le cancer en novembre 2010, Burns aurait dû être honoré de son vivant, mais les décideurs ont attendu trop longtemps pour lui ouvrir les portes du temple. C’est son fils Jason et son épouse Line qui ont accepté les accolades à sa place.

Tout a été dit et écrit au sujet de ce flamboyant entraîneur qui a marqué à sa manière l’histoire du hockey, mais il fait bon revenir sur certains épisodes de sa carrière, spécialement son passage derrière le banc des Maple Leafs de Toronto.

Pat Burns: une coupe Stanley, trois trophées Jack Adams et une vie bien remplie.

Pat Burns: une coupe Stanley, trois trophées Jack Adams et une vie bien remplie.

En 1992, à peine quelques heures après avoir été remercié par Serge Savard, Burns a été embauché pour diriger les Leafs et il est rapidement devenu une légende vivante dans la Ville reine.

Ex-policier et agent double à Gatineau, Pat était un homme bourru, très exigeant envers ses joueurs. Il ne supportait pas les demi-mesures et ne se gênait pas pour égratigner ses protégés sur la place publique. À Toronto, on l’a baptisé Forrest Grump!

«Avec son regard de feu, il n’intimidait pas seulement les recrues. Il intimidait tout le monde, se souvient l’ex-défenseur Todd Gill. Tu savais exactement à quoi t’en tenir avec lui».

Battu par Gretzky

«Pat n’était pas toujours «commode», mais il savait sur quel bouton appuyer pour faire fonctionner l’équipe», a confié Wendel Clark à un journaliste du Toronto Star.

«Honnêtement, il était parfois un «enfant de chienne», a renchéri l’ex-défenseurDave Ellett. Il parlait fort et ne ménageait personne. Tu le savais très vite s’il n’était pas satisfait de ton rendement. Par contre, il te donnait toujours la chance de te racheter le lendemain. Il avait décidé d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour changer la culture perdante qui minait l’équipe depuis trop longtemps».

Burns a si bien fouetté ses troupes et cimenté l’esprit d’équipe que les Leafs ont atteint la troisième ronde des séries au printemps 1993. Ils ont même pris une avance de 3-2 dans leur duel contre les Kings, mais ils ont finalement été battus par Wayne Gretzky qui a joué «le match de sa vie» sur la patinoire du vieux Gardens.

Si les Leafs avaient gagné cette série, ils auraient affronté le Canadien en finale. Imaginez le spectacle auquel on aurait eu droit entre Burns et son ancien club. Burns parlait souvent de cette équipe de 1993 avec Doug Gilmour et Félix Potvin comme chefs de file. «Une équipe tissée serré», aimait-il rappeler.

Un prix à payer

Cliff Fletcher, qui était alors le grand manitou des Maple Leafs, n’oubliera jamais son ancien coach. «Il y avait quelque chose de spécial chez cet homme, dit-il. Pat commandait le respect. Ce gars-là a passé 30 jours en prison après avoir travaillé sur un dossier de revendeurs de drogue. Il faut avoir la couenne dure pour exercer ce genre de métier. Je pense que son passé de policier l’a aidé à devenir un excellent motivateur, mais il y a toujours un prix à payer si tu pousses constamment dans le dos de tes joueurs».

Dans le fond, Pat aimait ses joueurs et les poussait au maximum. Un beau jour, le message ne passe plus et il faut changer de ville. C’est comme ça, le coaching.

Henri Richard a procédé à l'inauguration officielle de l'aréna Pat-Burns à Stanstead. On aperçoit également Line Burns, le député Pierre Reid, Réjean Houle et Guy Carbonneau.

Henri Richard a procédé à l’inauguration officielle de l’aréna Pat-Burns à Stanstead. On aperçoit également Line Burns, le député Pierre Reid, Réjean Houle et Guy Carbonneau.

Burns a été limogé par les Leafs en 1996, puis il a vécu de nouvelles aventure avec Harry Sinden et Lou Lamoriello. Il a gagné un autre trophée Jack Adams à Boston avant de mener les Devils à la conquête de la coupe Stanley (2003) avec la complicité de Martin Brodeur. Au total, il a gagné 501 parties dans la Ligue nationale.

À Montréal, il a aussi connu de bons moments derrière le banc. À sa première campagne, il a mené le Canadien en finale de la coupe Stanley, mais ce sont les Flames de Calgary qui se sont sauvés avec la coupe.

Son caractère bouillant lui a causé certains ennuis et attiré quelques critiques. Une fois, exaspéré, il a même dit à Shayne Corson de «manger d’la marde».

Deux hommes différents

Burns était un homme très différent à la patinoire et dans la vie de tous les jours. Il était un ours au coeur tendre. Il pouvait être charmant et très drôle, surtout quand il racontait ses aventures dans la police. Ceux qui l’ont côtoyé à Magog, où il a longtemps passé ses étés, en gardent un excellent souvenir. Je le vois encore cigare au bec et scotch à la main devant l’Auberge Orford!

Vers la fin de sa vie, les gens de Stanstead lui ont fait un très beau cadeau en donnant son nom à leur nouvel aréna. À cause du cancer qui le rongeait depuis cinq ou six ans, il n’a pas vu le produit fini, mais c’était son héritage pour les jeunes de la région et il en était fier. En 2014, on cherche encore de l’argent pour compléter le financement de l’aréna.

J’ai un autre souvenir amusant. Vers la fin des années 1980, alors entraîneur des Canadiens de Sherbrooke, Pat s’est rendu à Milby pour participer à mon tournoi de golf. Juste avant d’arriver au club, il a été arrêté par la police pour excès de vitesse. Vous auriez dû le voir avant qu’il frappe sa première balle!

Après une si belle carrière, il est dommage qu’il n’ait pu être à Toronto pour recevoir l’hommage ultime. La vie est souvent injuste.

Les anniversaires du mardi 18 novembre

En passant

  • DAVID ORTIZ, leader des Red Sox, 39 ans.
  • WARREN MOON, ex-vedette des Eskimos et des Oilers de Houston, 58 ans.
  • FRANÇOIS BOURQUE, le Gaspésien Volant, 30 ans.
  • GARY SHEFFIELD, ancien voltigeur des Yankees, 46 ans.
  • PETER POCKLINGTON, ancien propriétaire des Oilers, 73 ans.

    François Bourque, ex-champion de ski alpin, fête ses 30 ans.

    François Bourque, ex-champion de ski alpin, fête ses 30 ans.

  • JOCELYN LEMIEUX, ancien joueur des Blackhawks, 47 ans.
  • ANNIE BENAYOUN, de Groupe Voyages Idéal.
  • ROCKET ISMAËL, ex-vedette des Argonauts, 45 ans.
  • JIM BAY, ex-commentateur sportif, 71 ans.
  • JEAN-FRANÇOIS MANIBAL, directeur général de Tennis-Québec, 58 ans.
  • BILL HAJT, ex-défenseur des Sabres, 63 ans.
  • BOB BRADLEY, sportif de Blainville, 66 ans.
  • LANE LAMBERT, ancien des Nordiques, 50 ans.
  • BOB DESJARDINS, hockey senior, 48 ans.
  • GERVAIS BISSON, sportif de Sherbrooke, 73 ans.
  • DANTE BICHETTE, ancien joueur des Rockies, 51 ans.
  • FLASH GORDON, ancien lanceur, 47 ans.
  • RUDY MIGAY, ancien des Maple Leafs, 86 ans.
  • JOSÉE GARDNER, ex-employée de la LHJMQ.
  • TED SATOR, ex-entraîneur des Sabres et des Rangers, 65 ans.
  • LUIS PUJOLS, ex-receveur des Astros, 59 ans.
  • MARTIN FECTEAU et ANDRÉ JOYAL, des JSH.

CH: 6e victoire de suite

Le Canadien disputait une quatrième partie en six jours, mais ça ne l’a pas empêché de vaincre les Red Wings 4-1 sur leur patinoire, dimanche soir. Comme dirait le maire Labeaume: «Quand c’est bien mené, c’est bien mené».

Brandon Prust, à son mieux depuis qu’il joue avec Eller et Sekac, a sonné la charge avec son premier but de la campagne, puis Subban et Plekanec ont porté la marque 3-0. Les Red Wings ont tenté de renverser la vapeur au troisième tiers, mais Dustin Tokarski leur a fermé la porte et Brandon Gallagher a mis fin à leurs espoirs avec un but chanceux depuis l’arrière du filet.

Dustin Tokarski a été solide dans la victoire du Canadien à Détroit. Il a bloqué 28 des 29 rondelles dirigées vers lui.

Dustin Tokarski a été solide dans la victoire du Canadien à Détroit. Il a bloqué 28 des 29 rondelles dirigées vers lui.

Le Canadien s’attaquera maintenant aux Penguins et aux Blues sur la patinoire du Centre Bell (mardi et jeudi) avant d’aller jouer à Boston et à New York en fin de semaine prochaine.

Jusqu’à date, les additions de Marc Bergevin portent fruit et le CH continue de surprendre les observateurs. À ce rythme, il connaîtra une excellente saison.

Une seule chose me chicote: la tuque de P.K.! Fait-il si froid dans le vestiaire du Canadien?

Dimanche Expres

  • Le receveur RUSSELL MARTIN profite de son statut de joueur autonome pour arracher une FORTUNE aux Blue Jays de Toronto. Tant mieux pour lui. Si j’ai bien compris, JOHNNY BENCH vaudrait 30M$ par année dans le marché d’aujourd’hui. Au bas mot!
  • ROBERT MONGRAIN, ancien joueur des Sabres de Buffalo, a été embauché comme consultant par la RADIO TÉLÉVISION SUISSE.

    Russell Martin: à son tour de faire sauter la banque.

    Russell Martin: à son tour de faire sauter la banque.

  • Je ne me souviens pas d’avoir vu les ALOUETTES dévorer les Lions de Vancouver de cette façon, mais il n’y avait que 15 000 personnes dans les gradins du stade McGill. C’est inquiétant pour la direction de l’équipe. Ces gars-là vont-ils gagner la coupe Grey dans l’indifférence?
  • FRED PELLERIN, Éric Salvail, Louis Morissette et Véronique Cloutier ont offert tout un spectacle à Tout le monde en parle dimanche soir. J’ai également aimé l’intervention du professeur NORMAND BAILLARGEON. Une autre p’tit shot de Smirnoff? Enwèye donc!
  • L’excellent JAMAAL CHARLES a brillé de tous ses feux pour mener les Chiefs de KANSAS CITY à une victoire serrée (24-20) sur les Seahawks de Seattle. Charles est une vraie gazelle, une réplique d’ERIC DICKERSON.

    Jamaal Charles, des Chiefs de Kansas City: un porteur de ballon exceptionnel.

    Jamaal Charles, des Chiefs de Kansas City: un porteur de ballon exceptionnel.

  • Les SEAHAWKS forment encore une bonne équipe, mais ils auront beaucoup de mal à rester champions. Ça ne clique pas comme l’an passé.
  • LARS ELLER mène la Ligue nationale avec 4 buts gagnants. Quand il veut s’en donner la peine…
  • ELI MANNING a subi cinq interceptions dans la défaite des Giants de New York contre les 49ers. Ses meilleurs jours semblent derrière lui.
  • BRAD RICHARDS, des Blackhawks, a atteint le plateau des 1000 matchs, rejoignant ainsi son coéquipier MARIAN HOSSA.
  • PIERRE VERCHEVAL, Bruno Heppell et Matthieu Proulx font du bon boulot à RDS.
  • PIERRE-ÉDOUARD BELLEMARE, jeune joueur des Flyers, a appris à jouer au hockey en FRANCE. Son discours ne ressemble en rien à celui de Moose Dupont ou de Simon Nolet!
  • Le journaliste MICHEL TASSÉ a reçu le prix du président de L’AUTODROME GRANBY en tant que personnalité de l’année dans le monde du stock-car. Bravo!
  • J’ai assisté au spectacle de LAURENT PAQUIN à l’Université de Sherbrooke, samedi soir. Honnêtement, il est plus drôle que je pensais.
  • CHARLIE THIFFAULT, ancien adjoint de Michel Bergeron, Pat Burns et Jacques Demers, se passionne pour le football américain.

Le mot d’humour

Une sainte femme: «Je ne croyais pas à la religion, mais j’ai changé d’avis. Depuis que j’ai marié ce gars-là, je sais que l’enfer existe!»