Tous les regards sont tournés vers Pinehurst

En ce week-end de la fête des pères, tous les regards sont tournés vers Pinehurst à l’occasion du 114e Omnium des États-Unis. Voici les premiers échos du tournoi:

  • L’Allemand MARTIN KAYMER, récent vainqueur du championnat TPC à Jacksonville, a été la grande vedette de la première journée avec une ronde de 65. Kaymer est une émule de BERNHARD LANGER et il sait quoi faire avec un bâton de golf.
  • Le célèbre parcours numéro 2, connu dans le monde entier, a été «restauré» par BILL COORE et BEN CRENSHAW en 2011 en respectant les plans originaux de l’architecte DONALD ROSS, une sommité dans le domaine.
  • Plus sablonneux que jamais, le parcours de championnat s’étire jusqu’à 7562 verges. Pour la première ronde, la distance était d’environ 7350 verges.

    Voici à quoi ressemble le parcours Pinehurst #2 depuis les modifications effectuées par Bill Coore et Ben Crenshaw.

    Voici à quoi ressemble le parcours Pinehurst #2 depuis les modifications effectuées par Bill Coore et Ben Crenshaw.

  • Six fois victime de défaites cruelles dans l’Open des États-Unis, PHIL MICKELSON a joué la normale 70. C’est le seul tournoi majeur qu’il n’a pas encore gagné.
  • Le jeune RICKIE FOWLER, toujours aussi coloré, s’est présenté sur les lieux avec des pantalons bouffants en hommage au regretté PAYNE STEWART, champion à Pinehurst en 1999.
  • JOHNNY MILLER, meilleur analyste de golf à la télé américaine, aime la façon dont le parcours a été redessiné. «Un beau mélange de trous faciles et de trous plus difficiles», dit-il. Évidemment, les verts ULTRA-RAPIDES causeront des ennuis à tous les participants.
  • BUBBA WATSON, deux fois champion du Masters en trois ans, n’a pu faire mieux que 76. Il ne semble pas entiché de ce parcours.
  • JORDAN SPIETH, deuxième à Augusta en avril, a seulement 20 ans, mais il parle comme un gars qui en a 30 ou 40.
  • JIM FURYK, régulier comme un métronome, a gagné ce tournoi à Chicago en 2003. Il a terminé 20 fois parmi les 10 premiers dans les tournois du Grand Chelem. Originaire de la région de Pittsburgh, Furyk est un partisan des Pirates et des Steelers.
  • GRAEME McDOWELL, champion en 2010 à Pebble Beach, a connu un très bon départ (68).
  • Le Nord-Irlandais DARREN CLARKE, un des golfeurs les plus populaires en Europe, a fondu de 40 livres durant les derniers mois.
  • JASON DUFNER joue très bien, mais son fer droit refuse de collaborer depuis le début de la saison en cours. Il n’y a rien de plus démoralisant qu’un «putter froid».
  • Chose certaine, Dufner serait un excellent joueur de POKER. On ne sait jamais s’il est content ou pas.
  • KEEGAN BRADLEY continue de me taper sur les nerfs. Est-il golfeur professionnel ou danseur de cha-cha?
  • WILL GRIMMER, 17 ans, est le plus jeune golfeur à prendre part au tournoi. Il a joué 77 en première ronde.

Les anniversaires du vendredi 13 juin

En passant

  • JASON SPEZZA, joueur de centre des Sénateurs, 31 ans.
  • TERRY EVANSHEN, ancien joueur étoile des Alouettes, 70 ans.
  • JACQUES ROUGEAU, promoteur de lutte, 54 ans.
  • VALERI BURE, ancien joueur du Canadien, 40 ans.
  • JEAN-PIERRE BORDELEAU, ancien des Blackhawks, 65 ans.
  • GLENN MICHIBATA, champion de tennis, 52 ans.
  • CHRISTIAN BERLAND, gouverneur du club Médaille d’Or, 71 ans.
  • CHUCK TEKENOS, l’ancien pro du club Whitlock, 62 ans.
  • VINCENT ROSELLI, joueur de tennis de Sherbrooke, 70 ans.
  • PIERRE DONAIS, de Gatineau, 63 ans.
  • DENIS SAINT-PIERRE, un as du trot et amble, 53 ans.
  • BETTINA BUNGE, tennis, 51 ans.
  • ERNIE WHITT, ex-receveur des Blue Jays, 62 ans.
  • MEL LUNSFORD, ancien joueur de la LCF, 64 ans.
  • RICHARD BOUSQUET, de l’UQAM.
  • BOB CARPENTER, ancien des Devils, 51 ans.
  • HECTOR POTHIER, ancien joueur des Eskimos, 60 ans.
  • GAÉTAN FORTIER, fondateur du tournoi bantam de Sherbrooke, 70 ans.
  • JACQUES BROUILLETTE, des Patriotes de Trois-Rivières.
  • WILLIE HAMPTON, ancien joueur des Alouettes, 57 ans.
  • VÉRONIQUE LAVOIE, de Chicoutimi.
  • CÉLINE HUET, sportive de l’Outaouais.

Lundqvist sauve la peau des Rangers

Si les Kings de Los Angeles n’ont pas encore bu dans la coupe Stanley, c’est à cause d’un seul homme: Henrik Lundqvist.

Critiqué à quelques reprises depuis le début de la série finale, le grand Suédois a offert une performance magistrale, mercredi soir, pour permettre à son équipe d’éviter l’élimination et de retourner en Californie pour le match numéro 5.

Henrik Lundqvist a sauvé la mise pour les Rangers, mercredi soir, au Madison Square Garden.

Henrik Lundqvist a sauvé la mise pour les Rangers, mercredi soir, au Madison Square Garden.

Lundqvist a été particulièrement brillant durant les deux dernières périodes alors que les Rangers s’accrochaient à une mince avance de 2-1 (résultat final). Il a réussi ses meilleurs arrêts contre le trio de Jeff Carter, Tanner Pearson et Tyler Toffoli. Il a aussi eu de la veine à une couple de reprises alors que la rondelle a bien failli franchir la ligne rouge.

«Les Kings ont obtenu deux fois plus de lancers, mais nous avons trouvé une façon de gagner. C’est tout ce qui compte. Bien sûr, nous devons une fière chandelle à Henrik. Nous sommes acculés au mur et nous devons continuer de nous battre. Nous n’avons pas d’autre choix», a déclaré Martin Saint-Louis, auteur du but gagnant.

Évidemment, les Kings sont encore largement favoris pour gagner la série et ils y mettront toute la gomme au Staples Center, vendredi soir.

Grâce à Lundqvist, les Blue Shirts ont évité l’humiliation de se faire éliminer devant leurs partisans, mais ils vivent encore sur le respirateur artificiel!

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Java du jeudi

  • Selon Guy Carbonneau, DANIEL BRIÈRE n’a jamais été placé dans une situation gagnante depuis son arrivée à Montréal.
  • Dans le club des «fat cats»: BRAD RICHARDS et RICK NASH.
  • La plus grosse nouvelle du mois, c’est la nomination d’ALDO GIAMPAOLO comme nouveau gérant de CÉLINE DION. Je lui souhaite tout le succès possible. Aldo est un champion avec un grand C.
  • JASON SPEZZA veut changer d’adresse. Il est dangereux en zone adverse, mais il provoque beaucoup de revirements. Il serait étonnant qu’il figure dans les plans du CANADIEN.

    Le grand Jason Spezza veut quitter Ottawa.

    Le grand Jason Spezza veut quitter Ottawa.

  • JOHN McENROE et MARK MESSIER étaient parmi les spectateurs, mercredi soir.
  • MARC-ANDRÉ BERGERON, un ancien du Tricolore, est le nouveau président des Aigles de TROIS-RIVIÈRES (Ligue Canam).
  • DANIEL SANTERRE, de Rivière-Rouge, a gagné le Rendez-Vous HONDA avec une carte de 69 au club Château Bromont.
  • BENOÎT BRUNET à RDS: «J’aurais aimé ça jouer sur un quatrième trio avec un salaire de 5,5M$».
  • ERIC LINDROS est papa pour la première fois. Fiston s’appellera Carl Pierre.
  • Depuis le milieu des années 1980, les équipes de l’Association de L’OUEST ont gagné la coupe Stanley 17 fois sur 28.
  • THOMAS VANEK veut avoir le gros lot dans la ville de son choix. J’ai bien peur qu’il gagnera sur toute la ligne.
  • Le tournoi de la Fondation CSSS MEMPHRÉMAGOG a produit une recette de 125 000$, à la grande joie de GILLES POULIOT et de ses bénévoles.
  • BRAVO, BILL!: Mon frère Richard, qui a longtemps travaillé chez Bourassa Pontiac-Buick à Laval, joue le meilleur golf de sa vie depuis qu’il a déménagé ses pénates en Estrie. Hier, il a joué 75 «les yeux fermés» à MILBY. Je songe sérieusement à devenir son caddie!
  • Les aveux de JEAN-YVES LORTIE ont de quoi nous faire réfléchir.
  • La coupe NORTH AMERICA aura lieu à la piste de MOHAWK avec une bourse globale de 1M$, samedi.
  • RÉNO-DÉPÔT lance une promotion en collaboration avec ALAIN CÔTÉ, ancien joueur des Nordiques, MICHEL BERGERON et KERRY FRASER. Alain vous le dira: «Le but était bon, c’est l’arbitre qui n’était pas bon!»
  • Le Sherbrookois VINCENT LAMY, 14 ans, rêve de devenir joueur de soccer professionnel.
  • DANIEL SAINT-LAURENT, de Magog, a célébré ses 56 ans en jouant une ronde de 97 à Milby. Son frère Robert n’a qu’à bien se tenir!

Le mot d’humour

Pourquoi les gens ont-ils l’habitude de commander un cheeseburger double et une grosse frite avec un coke diète?

Deux visions différentes

La FEMME rêve d’un homme en or: beau, intelligent, musclé et attentif à son discours.

Un homme qui réfléchit avant de parler, qui lui téléphone souvent pour prendre de ses nouvelles.

Un homme qui la traite comme une reine, adore cuisiner et faire le ménage…

Tandis que L’HOMME rêve d’une athlète nymphomane, propriétaire d’un bar à deux pas du terrain de golf.

Une femme compréhensive qui approuve allègrement ses excursions de pêche et ses longues soirées avec les boys!

Comment on fait pour concilier les deux?