Tout baigne dans l’huile sur la rue des Canadiens

Le Canadien s’est permis trois buts en avantage numérique pour battre les Flyers 6-3 et prolonger à cinq sa série de victoires avant de sauter dans un avion en direction de Détroit.

P.A. Parenteau et Dale Weise ont inscrit deux buts chacun pour donner à Michel Therrien son 300e gain dans la Ligue nationale. Le Canadien trône au sommet de l’Association de l’Est, un petit point devant Tampa Bay et deux devant Pittsburgh. Il n’en faut pas plus pour qu’on avance le nom de Therrien comme prochain récipiendaire du trophée Jack Adams! Il ne faudrait pas oublier que nous sommes à la mi-novembre, ce qui ne nous empêche pas de féliciter Michel pour avoir atteint un tel plateau.

Michel Therrien connaît des moments heureux derrière le banc du Canadien.

Michel Therrien connaît des moments heureux derrière le banc du Canadien.

Chose certaine, l’acquisition du «vieux» Sergei Gonchar s’avère profitable jusqu’ici. Il a récolté ses deux premiers points dans l’uniforme du Canadien, samedi soir.

Dans les autres parties à l’affiche, il faut retenir la victoire du Lightning contre les Islanders (5e but de Cédric Paquette) et celle des étonnants Flames de Calgary contre Ottawa. Mine de rien, le groupe de cols bleus de Bob Hartley n’est qu’à deux points des Ducks d’Anaheim et du premier rang dans l’Ouest.

Décès d’Alvin Dark

Alvin Dark, qui a mené les Athletics d’Oakland à la conquête de la Série mondiale en 1974, est mort en Caroline du Sud à l’âge de 92 ans.

Le nom de Dark sera toujours associé à ceux de Dick Williams et de Charlie O. Finley. En 1973, après avoir gagné deux Séries mondiales de suite avec ses moustachus, Williams a remis sa démission à Finley. Il ne pouvait plus tolérer son ingérence.

Alvin Dark a marqué l'histoire des Giants et des Athletics.

Alvin Dark a marqué l’histoire des Giants et des Athletics.

Dark a pris la relève et il a été sévèrement critiqué par les joueurs des Athletics, en particulier par le capitaine Sal Bando, mais ça ne l’a pas empêché de mener son équipe aux grands honneurs. Il a remporté le championnat de division l’année suivante, mais il a quand même été congédié par Finley.

Dark était un homme très religieux. Vers la fin de son règne à Oakland, il a accusé Finley d’être un pécheur, ajoutant qu’il irait en enfer s’il ne mettait pas de l’ordre dans sa vie. Voilà un bon moyen de se faire montrer la sortie!

Durant les années 1950, Dark a été un joueur-clé chez les Giants de New York et les a aidés à balayer la Série mondiale en 1954. Huit ans plus tard, il était à la barre des Giants de San Francisco lorsqu’ils ont perdu le septième match de la Série mondiale 1-0 contre les Yankees. Les amateurs d’un certain âge se souviendront que Bobby Richardson avait capté un coup en flèche de Willie McCovey avec un coureur au 3e but pour mettre fin à la série de façon dramatique.

Dark était un frappeur de ,290 et un très bon joueur d’arrêt-court. Il a aussi porté les couleurs des Braves, des Cardinals, des Cubs et des Phillies. Il ne s’entendait pas toujours très bien avec les journalistes. «Ils veulent toujours savoir où tu as commis une erreur», disait-il.

 

 

Adieu, Connie!

Connie Dion, le père du hockey et du golf à Asbestos, a été conduit à son dernier repos lundi après-midi. Il avait 96 ans.

La première fois que j’ai vu ce «petit bout d’homme», c’était au tout début des années 1960. Il était conférencier invité à l’occasion d’un dîner des Chevaliers de Colomb dans ma ville natale. J’avais été fasciné par sa passion pour le sport et par ses principes de vie, mais j’étais alors loin de me douter que je finirais par le connaître aussi bien.

Connie Dion a marqué l'histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l'Est.

Connie Dion a marqué l’histoire du sport à Asbestos et un peu partout à travers les Cantons de l’Est.

Gardien de but des Red Wings de Détroit et des Bisons de Buffalo dans une époque lointaine, Connie prêchait le respect et la discipline. À titre de gérant de l’aréna et responsable du hockey mineur dans la ville de l’amiante, il ne laissait rien au hasard. Il aimait profondément les jeunes, mais il était strict et il voulait qu’ils réussissent en suivant certaines règles de vie.

Il a si bien accompli son boulot que plusieurs de ses protégés ont fait leur marque au hockey, notamment Don Marcotte, Sean McKenna et les frères Hamel. Il était fier d’eux comme de tous ceux qui se sont servis du hockey comme «école de vie».

Après avoir convaincu la John’s Manville de construire un parcours de 18 trous, il a suivi la même politique au golf avec Josée Pérusse, Pierre Lallier et plusieurs autres.

«Son héritage est inestimable, me disait André Gagnon avant les funérailles. On lui doit notre aréna, notre club de golf, et bien d’autres choses encore. Il a été une véritable institution et un professeur émérite pour des centaines de jeunes».

Au début des années 1970, à l’époque où je couvrais le camp d’entraînement des Expos, j’ai eu l’occasion de jouer quelques parties de golf avec Connie Dion. Il passait alors une bonne partie de l’hiver à Daytona Beach avec son épouse Muriel. Malgré notre grande différence d’âge, nous avons tissé des liens qui ne se sont jamais effrités par la suite.

Au fil des ans, je l’ai revu des dizaines de fois à Asbestos. Son discours n’a jamais changé. Il fuyait les réflecteurs. Il était content de sa famille et de ce qu’il avait accompli dans sa vie et préférait laisser les honneurs aux autres.

À ses quatre fils, à sa fille et à toute sa famille Dion, mes plus vives condoléances.

Baker au panthéon

Bob Baker, qui a longtemps été un des meilleurs lanceurs de balle molle de la province, sera intronisé au Panthéon de la renommée de Softball-Québec le samedi 22 novembre. Un honneur hautement mérité pour le colosse de la Vieille capitale.

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour le voir!

Bob Baker a connu une grande carrière comme lanceur à la balle molle. SVP, tournez-vous la tête pour lui voir la face!

Durant sa carrière de 25 saisons (1960 à 1985), Baker a lancé plus de 2000 parties de balle molle. Il a réussi 15 parties parfaites et 50 parties sans point ni coup sûr. Il a également remporté une victoire de 1-0 dans un duel qui a duré pas moins de 23 manches.

Baker était dans la même classe que les Marc-André Carreau et Gilles Pinard. Il est aussi un parfait gentilhomme dans la vie de tous les jours. Bravo!

Gala de la LBMQ

Les lanceurs Francis Michel (Victo) et Michel Simard (Thetford-Mines) étaient à l’honneur lors du gala des champions de la Ligue de baseball Majeur du Québec à Victoriaville. On a également souligné les exploits au bâton de Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme).

L’équipe d’étoiles du circuit Bélisle est composée des joueurs suivants: STEVE CHARBONNEAU (Coaticook); Olivier Valiquette, Étienne Blanchette et Nicolas Trudeau (Saint-Jérôme); Frédéric Gaudreau et Martin Bérubé (Acton Vale); François-Alexandre Tambosso (Sainte-Thérèse).

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

Le lanceur Francis Michel, des Cactus de Victoriaville, a été le joueur le plus utile à son équipe en saison régulière.

On a aussi souligné les efforts de MARC-ANDRÉ JODOIN (meilleur gérant), Richard Lavallée (meilleur directeur général), Alain Lachance (parfait gentilhomme), Denis Lamontagne (meilleur joueur de 40 ans et plus), Martin Bérubé (plus beau retour), Étienne Blanchette et Jean-François Fyfe (frappeurs recrues), JACOB GOSSELIN-DESCHÊNES (lanceur recrue), Jean-Mathieu Filion (arbitre), Jérémy Legault (marqueur officiel) et François Lécuyer, organisateur du match des étoiles à Thetford-Mines

Enfin, la ligue a tenu à remercier le préfet de discipline JEAN SIMARD et la photographe NATHALIE MICLETTE avant d’admettre trois nouveaux membres au Panthéon de la renommée: SHAWN SMITH (Saint-Jérôme), ROGER BOURGEOIS (Acton Vale) et RÉMI DESHAIES (Victo).

En 2015, la ligue aura un nouveau look avec des équipes à SHAWINIGAN et à SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU.

Décès de Jean-Pierre Roy

Jean-Pierre Roy, ex-lanceur étoile des Royaux de Montréal, est décédé en Floride samedi matin. Il avait 94 ans. C’est Jean-Guy Talbot qui m’a appris la nouvelle depuis Trois-Rivières.

En 1945, Jean-Pierre a remporté 25 victoires dans l’uniforme des Royaux. Il était alors aussi populaire que Maurice Richard et le lutteur Yvon Robert. Il a ensuite poursuivi sa carrière sur la Côte du Pacifique, à Cuba, au Mexique et en République Dominicaine. Il a également joué pour quelques équipes québécoises, dont les Royals de Trois-Rivières, les Cubs de Drummondville et les Indiens de Sherbrooke. Il se décrivait lui-même comme l’aventurier du baseball.

Jean-Pierre Roy a remporté 25 victoires dans l'uniforme des Royaux de Montréal en 1945. Il est mort en Floride à l'âge de 94 ans.

Jean-Pierre Roy a remporté 25 victoires dans l’uniforme des Royaux de Montréal en 1945. Il est mort en Floride à l’âge de 94 ans.

Une fois sa carrière terminée, il a gagné sa vie à Las Vegas durant une dizaine d’années, puis il est rentré à Montréal pour devenir analyste des matchs des Expos à la radio et à la télévision. Au début, il était plus connu que la majorité des joueurs de l’équipe.

Il y a une vingtaine d’années, J.P. s’est installé en Floride avec sa belle Jane Duval, soeur de l’ancien commentateur sportif Lionel Duval. Il adorait la chaleur et il était très heureux dans le «Sunshine State». Chaque fois que je lui parlais, il remerciait le ciel d’avoir eu une vie aussi bien remplie.

J’avais promis d’aller le voir cet hiver, mais notre dernier rendez-vous vient d’être annulé. Je vous ferai signe dès que j’aurai d’autres informations.

Week-End Express

  • CAREY PRICE gagne encore une fois la coupe Molson. Ça vous surprend?
  • MIKAËL KINGSBURY, champion de ski acrobatique, vise le record du Français EDGAR GROSPIRON qui est de 28 victoires en Coupe du Monde. Mikaël en a 21. Tout juste derrière lui, il y a JEAN-LUC BRASSARD (20) et ALEXANDRE BILODEAU (19).
  • Les succès du CANADIEN sont d’autant plus étonnants que le JEU DE PUISSANCE est archi-pourri (9% d’efficacité) depuis le début du calendrier. On fait quoi avec ça?

    Maurice Richard aurait droit à un hommage pleinement mérité.

    Maurice Richard aurait droit à un hommage pleinement mérité.

  • Il semble de plus en plus certain que le futur PONT CHAMPLAIN portera le nom de MAURICE RICHARD. Ce serait un excellent choix. Le Rocket a vraiment marqué l’histoire du Québec. Il était le «chevalier sans peur et sans reproche».
  • Cinq joueurs des Giants peuvent tester le marché des joueurs autonomes: PABLO SANDOVAL, Jake Peavy, Ryan Vogelsong, Sergio Romo et Michael Morse.
  • JEAN MORIN, propriétaire du club Les Légendes à Saint-Luc, a visité PEBBLE BEACH pour la première fois de sa carrière.
  • Belle victoire de MILOS RAONIC aux dépens de ROGER FEDERER au Masters de Paris.
  • Le 2e volet du film PEE-WEE 3D sera tourné à Rouyn-Noranda et à Chicoutimi.
  • ANTHONY CALVILLO s’est rendu à Lennoxville cette semaine pour prononcer une conférence devant les étudiants de l’Université BISHOP’s. Il ne semble pas étonné par le retour en force des ALOUETTES en deuxième moitié de saison.

    Russell est un homme très convoité sur le marché des joueurs autonomes. Restera-t-il à Pittsburgh ou acceptera-t-il une offre plus alléchante dans une autre ville?

    Russell est un homme très convoité sur le marché des joueurs autonomes. Restera-t-il à Pittsburgh ou acceptera-t-il une offre plus alléchante dans une autre ville?

  • Les CUBS DE CHICAGO, encore et toujours en période de reconstruction, ont les yeux sur le receveur RUSSELL MARTIN et le lanceur JON LESTER. On raconte que le prochain contrat de Martin lui rapportera entre 13 et 15 millions par année!
  • RÉGIS LABEAUME sur les ondes de RDS: «Gary Bettman sait tout ce qui se passe à Québec et il est au courant de toutes mes déclarations». En d’autres mots: «Ferme-la, mon Régis, et croise-toi les doigts».
  • DANIEL LANGLOIS, ancien joueur des Éperviers de Sorel, est le nouveau directeur du poste de la SQ à Vaudreuil-Soulanges.
  • ANDRÉ ROY, de Saint-Eustache, a suivi le tournoi de la coupe Ryder avec grand intérêt. Il avait foulé les allées de GLENEAGLES avec ses amis Richard Marr, Sylvain Beaulne et André Labelle en 2012.
  • DENIS MESSIER et RÉAL LABBÉ ont adoré leur voyage de golf à L’ILE-DU-PRINCE-ÉDOUARD. Ils ont surtout apprécié le parcours du club DUNDERAVE. Denis a complété sa semaine de «travail» en calant un roulé de 60 pieds pour sauver la normale. Le VENT soufflait si fort qu’ils ont perdu les cartes de pointage!
  • Le RIRE renforce le système immunitaire, soulage la douleur, réduit le stress et les cellules cancéreuses et prévient les maladies cardiovasculaires. Pourquoi s’en priver?
  • GILLES CÔTÉ et FRANCE GOYER sont champions de la classe A au club de golf BEL-AIR.
  • GILLES BUREAU, ancien guitariste des Thunderbirds, vient de déménager à Sherbrooke après avoir vécu dans la campagne de Val-Joli pendant 33 ans.
  • ROGER BOUCHARD, ancien pro du club Alpine Inn, est allé visiter la SUISSE avec sa belle Carole.
  • CLAIRE TURCOTTE, directrice générale du club Dufferin Heights, songe à suivre des cours de PIANO pour accompagner son chanteur de mari!
  • STEVE DESCHÊNES, ancien pro du club Memphrémagog, cherche un nouveau défi dans le monde du golf.
  • YVAN RICARD, fidèle lecteur de la Mauricie, a rangé ses bâtons de golf après avoir joué plus de 100 rondes dans son coin de pays.
  • ELVIS FONTAINE sera de retour au Capitole de QUÉBEC l’été prochain.
  • Le Sherbrookois GUY MARCOTTE a été élu au Panthéon du cyclisme québécois à titre de bâtisseur.

Le mot d’humour

La jeune fille à son amoureux: «Chéri, il y a deux endroits où j’aimerais que tu m’embrasses».

– «Où ça?»

– «Venise et Capri».

Bumgarner a sauvé la Série mondiale

«Il n’y a rien comme le septième match de la Série mondiale. C’est un cadeau du ciel, tant pour les amateurs que pour les joueurs», disait le voltigeur Hunter Pence avant la dernière partie à Kansas City. Il a drôlement raison.

Plutôt «ordinaire» dans son ensemble, la plus récente Série mondiale a été sauvée par le brio de Madison Bumgarner au monticule. Il a non seulement battu les Royals à trois reprises, mais il a limité ses rivaux à un seul petit point en 21 manches. Le gaucher de 25 ans nous a offert une performance dont on parlera encore dans 40 ou 50 ans. Sa domination a été totale. Du grand art.

De par ses exploits, Bumgarner entre dans la légende du sport national des Américains. Voici quelques exemples de joueurs qui ont marqué l’histoire des Séries mondiales dans un 7e match:

1946: ENOS SLAUGHTER marque du premier but sur un coup sûr d’Harry Walker pour donner la victoire aux Cards de Saint-Louis contre Boston.

1952: BILLY MARTIN sauve la mise avec un catch désespéré près du monticule et les Yankees battent encore une fois les Dodgers.

1955: Le jeune gaucher JOHNNY PODRES blanchit les Yankees 2-0 sur leur terrain et met fin au long calvaire des Dodgers.

Lew Burdette a blanchi les Yankees 5-0 devant plus de 61 000 spectateurs au Yankee Stadium.

Lew Burdette a blanchi les Yankees 5-0 devant plus de 61 000 spectateurs au Yankee Stadium.

1957: LEW BURDETTE, des Braves de Milwaukee, blanchit les Yankees 5-0 devant plus de 61 000 spectateurs.

1958: BOB TURLEY venge les Yankees dans un gain décisif de 6 à 1.

1960: BILL MAZEROSKI claque un circuit en solo contre Ralph Terry et les Pirates sont champions après avoir subi des défaites de 10-0, 12-0 et 16-3.

1962: BOBBY RICHARDSON capte le coup en flèche de Willie McCovey avec deux coureurs en position de marquer et les Yankees battent les Giants 1-0 au Candlestick Park.

1964: Malgré la fatigue, BOB GIBSON tient le coup jusqu’à la fin et bat les Yankees 7-5 au stade Busch. Les circuits de Mantle, Boyer et Phil Linz n’ont pas suffi.

1965: SANDY KOUFAX revient sur la butte après seulement deux jours de repos et blanchit les Twins 2-0 avec sa formidable balle rapide.

1967: BOB GIBSON bat facilement Jim Lonborg, des Red Sox, pour enlever sa troisième victoire de la série.

1968: MICKEY LOLICH lance un match de cinq coups sûrs et les Tigers l’emportent 4 à 1. Cette fois, Gibson est le lanceur perdant.

1971: STEVE BLASS donne le championnat aux Pirates avec l’aide de Roberto Clemente.

1973: Les Athletics, en route vers trois championnats d’affilée, viennent à bout des Mets malgré les exploits au bâton de RUSTY STAUB. On assiste au dernier tour de piste de Willie Mays.

1975: Un simple de JOE MORGAN permet à la Big Red Machine de vaincre Boston dans une série très chaudement disputée, mais on se rappelle davantage du dramatique circuit de CARLTON FISK, la veille.

Willie Stargell était le grand leader des Pirates en 1979.

Willie Stargell était le grand leader des Pirates en 1979.

1979: WILLIE STARGELL est le grand héros des Pirates qui effacent un déficit de 1-3 pour vaincre Baltimore. We are family.

1982: Le receveur DARRELL PORTER mérite le titre de MVP dans la victoire des Cards contre Milwaukee.

1986: RAY KNIGHT mène les Mets au championnat, quelques heures après l’incroyable bévue de Bill Buckner, des Red Sox, sur un faible roulant de Mookie Wilson.

1991: JACK MORRIS, des Twins, blanchit les Braves pendant 10 manches et l’emporte 1-0 contre John Smoltz.

2001: LUIS GONZALEZ réussit un petit coup sûr contre Mariano Rivera en brisant son bâton et les Diamond’Backs l’emportent contre les Yankees.

2002: JOHN LACKEY triomphe de Barry Bonds et des Giants 4-1 pour donner aux Angels le seul championnat de leur histoire.

2011: DAVID FREESE s’illustre au bâton dans la victoire des Cards contre les Rangers du Texas.